Quatre jeunes filles, membres d'un groupe qui se faisait surnommer "les lionnes", ont été interpellées mardi matin par les policiers de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Agées de 14 à 18 ans, elles ont été interpellées notamment dans l'Oise et en région parisienne.
L'une d'entre elles, née en janvier 1999, a été arrêtée par les services antiterroristes à Creil, dans l'Oise, ont précisé la source judiciaire et des sources proches de l'enquête, confirmant une information de France 3 Hauts de France. Une autre est née à Mulhouse, dans l'est de la France.
En lien avec Kassim. Toutes étaient en lien avec le djihadiste français Rachid Kassim via l'application Telegram. Les enquêteurs les interrogent actuellement pour tenter d'en savoir plus sur leurs projets, notamment pour savoir si elles envisageaient de commettre un acte de nature terroriste en France.
Ces interpellations ont eu lieu dans le cadre d'une information judiciaire sur une autre mineure, une adolescente de 16 ans arrêtée en août 2016 à Melun, en Seine-et-Marne. Elle avait été interpellée alors qu'elle se disait prête à commettre une action violente au nom du djihad, dans les messages qu'elle envoyait sur le compte qu'elle administrait sur Telegram.
L'inspirateur de plusieurs attentats en France. Membre du groupe Etat islamique (EI) et considéré comme l'inspirateur de plusieurs attentats en France, Rachid Kassim a été vraisemblablement tué courant février dans un bombardement de la coalition contre l'EI près de Mossoul, en Irak, selon des sources américaines et françaises.
Pour adhérer à ce mouvement islamiste, il faut avoir quelques affinités avec ce groupe : notamment le goût de la haine, un attrait pour la violence et le goût de la tuerie de l’autre, des autres.
Décider qu’il y a une problématique suicidaire ET SEULEMENT CELA derrière chacune de ces jeunes femmes est d’une grande naïveté. Décider qu’elles ont été seulement victimes de grands manipulateurs est tout aussi naïf.
Il faudra bien les questionner sur le pourquoi de ce goût de la tuerie des autres pour lesquels elles n’ont aucune compassion. UN JUGE devrait avoir le devoir de les amener quotidiennement dans un hôpital où des individus qui ont été “démembrés” handicapés à vie et bénéficiant d’ un suivi médical de longue durée, leur seraient présentés. Cela leur permettrait de voir l’horreur et les souffrances qu’elles seraient capables de produire. CE DEVRAIT ETRE LE PREMIER DEVOIR D’UN JUGE AYANT EN CHARGE CES JEUNES FEMMES.
Après avoir passé un ou des mois en hôpitaux spécialisés dans les soins aux victimes d’attentats, leur “psychisme” commencerait à se remettre à l’endroit.
(désolé pour la coupure) “cela dit, on n’a aucune peinje à prévoir…” l’attitude débonnaire et laxiste des magistrats qui auront à instruire cette affaire, du procureur et des juges qui auront à décider des peines. Parions qu’on essaiera de “déradicaliser” ces crânes de piafs voilées ?
Des “lionnes” ? Tout au plus des bourriques. D’ailleurs cela leur irait bien : le jument mythique de Mahomet s’appelait “Al Buraq”. Mais le fait doit nous faire réfléchir : les demi-habiles prétendent que l’islam impose la sujétion aux femmes. Ce n’est évidemment pas faux, MAIS force est bien de reconnaître que cette sujétion ne perdure que parce que des femmes considèrent leur état d’infériorité comme de droit divin, et abondent dans ce sens dans leur v ie, dans l’éducation de leurs filles. Autrement dit, il faudra revoir les concepts de “soumission” et de “radicalisation” dans un contexte d’intoxication morbide par la religion.
Cela dit, on n’a aucune peine à prévoir l’