Un homme qui comparaissait pour avoir attaqué des policiers à coups de couteau est ressorti libre du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis), mercredi. Une décision de justice que ne comprend pas le syndicat de policiers Alliance.
Le parquet de Bobigny lui aussi a été stupéfait par cette décision. Il a donc décidé de faire appel.
Dans le contexte actuel de tension avec manifestants et policiers, une décision de justice passe mal à Bobigny. Mercredi, un homme qui comparaissait pour avoir attaqué des policiers à coups de couteau est ressorti libre du tribunal. Il a été condamné à une mesure de contrainte pénale alors que le procureur avait réclamé trois ans de prison ferme.
Arrestation compliquée. L’homme de 46 ans, un dealer présumé, avait été interpellé le 18 décembre, à Saint-Denis. Refusant son arrestation, il avait sorti un couteau de 20 centimètres et attaqué un policier. Ce dernier avait évité une blessure au cœur grâce à son gilet pare-balle. Les policiers avaient fini par utiliser leur taser pour parvenir à le maîtriser, selon les informations recueillies par Europe 1.
En détention provisoire pendant deux mois. Ce dernier avait ensuite été placé en garde à vue, puis présenté au tribunal en comparution immédiate le 20 décembre. Mais comme le prévenu voulait un délai pour préparer sa défense, il avait été placé en détention provisoire durant deux mois, jusqu’à sa comparution mercredi.
Pour ces faits de violences avec armes sur les policiers, le procureur avait requis trois ans de prison ferme à l’encontre du prévenu. Mais les juges de Bobigny n’ont pas suivi : ils n’ont prononcé qu’une contrainte pénale, à savoir huit mois de mise à l’épreuve. L’agresseur est donc ressorti libre du tribunal.
« C’est inadmissible« . « C’est plus que choquant, c’est inacceptable, c’est inadmissible. Aujourd’hui vous pouvez attaquer un policier, vous pouvez tenter de le tuer et vous ne serez pas puni« , s’indigne Jean-Claude Delage, secrétaire général du syndicat de police Alliance.
« Le parquet avait réclamé trois ans de prison ferme ce qui nous semblait peu mais déjà plus réaliste que la décision prise par le tribunal« . [...]
Europe1 Via Fdesouche.com
DANS QUELLE REPUBLIQUE VIVONS-NOUS?
Quand je pense que mon pauvre père, pour avoir contrarié verbalement un policier, s’était vu convoqué au tribunal avec une amende qui valait son salaire de l’époque. A son époque le pouvoir de la police était exagéré, mais aujourd’hui je suis bien consciente que ces policiers sont vraiment à plaindre.
Si notre police ne peut plus se protéger ou être protégée par la justice, les citoyens sont en droit non seulement d’être angoissés et de ne plus faire confiance à l’état.
S’il a été relaxé, c’est parce qu’il est:
Ou noir
Ou musulman
Ou maghrébin
Les trois pouvant être cumulés.
Nul besoin d’aller dans un pays “normal” pour s’en assurer. Allez faire un tour en Corse; là-bas pas de vandalisme, pas de cités pourries (peut-être Bastia aux dires de certains), pas de voitures qui brûlent, pas d’abruties déguisées en apicultrices. Les derniers incidents de Cisco ont valu un rappel à l’ordre aux éventuels illuminés qui voudraient en découdre.
Là-bas, le premier “allogène” qui bronche lui vaut des brodequins en ciment et 20 m d’eau au-dessus de la tête si ça n’est pas lesté de plomb dans un coffre de voiture ou élément constitutif d’un édifice de béton.
Il n’est pas impossible que cela se généralise lorsque nos banlieues de non-droit essaieront de conquérir plus ample territoire.
Pouvoir judiciaire au service de la socialie. La séparation des pouvoirs n’existe plus !
On entre dans cette Europe “Orange mécanique”, une Europe de barbares qui commencent à faire la loi, donc qui tueront en tout impunité !
Et les autres, les gens biens ? Pas plus que des poulets en batterie, juste bons à être massacrés pour la rapine ou le fun !
Bravo la justice. Après on s’étonne que des coups de matraques se perdent !
Dans un pays normal, il serait 6 pieds sous terre, ou servirait de nourritures aux poissons…on devient vraiment des sous-nations, vivement la révolution!