Au sommaire de l’actualité de ce jeudi 16 février 2017 :
1) Sécurité / Affaire Luhaka : Scènes de chaos à Barbès
2) International / Adoption du CETA au Parlement européen
3) Économie / Qui va acheter les TGV d’Alstom ?
4) Europe / Pays-Bas : Les populistes à qui gagne perd
5) L’actualité en bref
Madame, Monsieur, bonsoir !
Tout de suite pour commencer, retrouvez Elise Blaise pour votre rendez-vous politique quotidien : Cap sur l’Elysée !
Madame, Monsieur Bonsoir, Bienvenue dans Cap sur l’Elysée,
Ca continue pour François Fillon. Le Parquet National Financier a décidé de ne pas se dessaisir de l’affaire et donc de poursuivre l’enquête sur les emplois présumés fictifs des proches du candidat des Républicains. Les avocats de François Fillon dénoncent une procédure abusive, considérant qu’elle ne correspond pas aux compétences du PNF. De son côté le candidat déplore un “acte de communication du parquet”. L’ombre d’une mise en examen plane donc toujours. De quoi alimenter les troubles qui secouent le parti. Jean-Frédéric Poisson, président du parti démocrate, ancien candidat à la primaire de la droite et du centre et actuel soutien de François Fillon nous a confié l’atmosphère qui régnait dans les rangs du parti.
La position difficile de François Fillon a d’autres conséquences : les attributions des investitures aux élections législatives. Conscient de la position délicate du candidat, l’UDI semble pousser les murs au détriment d’autres sensibilités politiques… dont le Parti Chrétien Démocrate.
Brexit, Trump, Fillon, Hamon, ils ont un point commun : ils ont fait mentir les sondages… Depuis plusieurs mois, les études d’opinion tombent de plus en plus loin de la réalité. Pourtant, inlassables, ils continuent de donner leurs chiffres sortis du chapeaux et les medias les prennent non pas pour un indicateur parmi d’autre, mais pour argent comptant. La leçon a t-elle été retenue pour la présidentielle de 2017 ? Rien n’est moins sûr !
Marine Le Pen qualifiée au second tour avec Emmanuel Macron. François Fillon battu, tout comme Benoît Hamon, en 4e position devant Jean-Luc Mélenchon… Voilà désormais la rengaine chantonnée par tous les instituts de sondages. Au delà des ratés des études ces derniers mois, peut-on se fier aux projections ? D’une part, on considère d’emblée que les marges d’erreur oscillent autour des 2 %… Dans les derniers sondages, Macron et Fillon sont au coude à coude, le plus souvent à 1 % d’écart… de fait, l’ordre d’arrivée est à prendre avec d’énormes pincettes. Dans le même temps, alors que les sondages se disent représentatifs, les chiffres varient encore qu’il s’agisse de l’IFOP, d’OpinionWay ou de BVA.
Par ailleurs, il faut rappeler qu’en 2012, près de 20 % des citoyens français se sont abstenus… soit 1/5 eme de la population en âge de voter… Une proportion qui peut faire basculer un scrutin…
Autre élément permettant de douter des chiffres, la répartition entre la droite et la gauche… En effet, après 5 ans de quinquennat Hollande, on peine à croire que les Français soient majoritairement de gauche… Pourtant, si l’on observe le dernier sondage Ifop, le total des voix de Jean-Luc Mélenchon (10,5), de Benoît Hamon (14,5) et d’Emmanuel Macron (19,5), s’élève à 45,5 % des voix … tandis que les celles de droite cumulées, entre Marine Le Pen (25,5), François Fillon (18,5) atteignent 44 %… Une différence défavorable pour la droite qui semble peu crédible et ne peut simplement se clarifier avec l’ajout des 5 % de François Bayrou ou des 3 % de Nicolas Dupont-Aignan…
Ultime élément perturbateur, l’incertitude des électeurs… Et dans ce cadre, c’est bien le chouchou des médias qui remporte la palme… En effet, l’Ifop estime que seulement 36 % des électeurs d’Emmanuel Macron sont certains de leur choix… A peine plus d’un tiers… Une volatilité qui s’explique sans doute en partie par l’absence de programme du candidat… Pour Benoît Hamon, on se hisse à 58 %, 62 pour Mélenchon, 70 pour Fillon et 81 % pour Marine Le Pen, qui dispose de l’électorat le plus captif.Le pompon des chiffres qui ne veulent rien dire revient au “ baromètre de popularité ”… Digne du classement de la personnalité préférée des Français, ces études peuvent dire tout et son contraire… C’est dans la dernière synthèse du genre de l’Ifop que François Fillon dévisse de 19 points … en guise de comparaison, Jérôme Cahuzac avait perdu 21 points de “sympathie” au moment de son affaire de compte en Suisse. Seuls 26 % des sondés conservent donc une bonne impression du candidat les Républicains, contre 45 % il y a un mois… De son côté, le candidat socialiste Benoît Hamon est à 50 % d’opinions positives, comme Jean-Luc Mélenchon qui a gagné 1 point… Marine Le Pen est quant à elle à 31 % … alors même qu’elle est en tête de tous les sondages… Le meilleur pour la fin… La personnalité qui bénéficie de la sympathie de 58 % des Français est… Alain Juppé… Comme quoi, plus on est loin du pouvoir, plus on nous aime.
Et voilà, c’est la fin de Cap sur l’Elysée. Dès à présent, retrouvez le reste de l’actualité avec Olivier Frèrejacques, quant à moi, je vous retrouve demain, Bonsoir.
Merci Elise ! Et maintenant, retour sur les titres de l’actualité !
1) Sécurité / Affaire Luhaka : Scènes de chaos à Barbès
Regain de violence en marge de l’affaire Luhaka ! Deux semaines après l’arrestation de l’individu dans le cadre d’une opération anti-drogue, la pression de la rue se maintient. Peu de manifestants mais des profils connus : racailles de banlieues et militants d’extrême gauche.
Notre reportage, Pierre Bergerault
Deux semaines après l’arrestation musclée de Théodore Luhaka et le début des violences urbaines qui ont suivi, on pensait que la tension allait baisser mais il n’en n’est finalement rien et le territoire connaît une progression croissante des violences. A Rouen et à Lille quelques centaines d’individus ont manifesté contre la violence policière. Des manifestations qui n’ont rien de spontané ! En effet, ces initiatives ont été organisées, sinon largement relayées, par des officines d’extrême gauche dites “antifascistes”. Et comme en témoigne les images, les manifestants, notamment ceux de Barbès dans le 18ème arrondissement de Paris, ne sont pas tout à fait les mêmes que ceux que l’on pouvait voir pendant les émeutes de banlieue même si dans le cortège on pouvait voir, une fois n’est pas coutume, une alliance tacite entre les militants d’extrême gauche et certains jeunes des banlieues.
Des scènes de chaos au centre de la capitale et qui contrastent avec les émeutes ethniques jusqu’alors plutôt réservées aux périphéries. La nuit de mardi à mercredi ayant été déclaré à tort plus calme par le gouvernement, on pouvait envisager que la situation s’apaise, une prévision qu’ont déjouée les organisations d’extrême gauche… Deux semaines après les événements d’Aulnay-Sous-Bois, la situation semble échapper au gouvernement socialiste qui a multiplié les signaux contradictoires entre soutien à l’individu arrêté et déclarations de fermeté à l’encontre des émeutiers. La relative bienveillance des média mainstream à l’égard de l’exécutif pourrait éviter aux socialistes une fin de quinquennat explosive au sens propre du terme. Quoiqu’il advienne, la suite des événements à moyen et long terme est plus que préoccupante puisque 60 % des émeutiers de banlieue sont mineurs…
2) International / Adoption du CETA au Parlement européen
Le CETA a été adopté ! Le Parlement européen a ratifié mercredi le traité commercial entre le Canada et l’Union européenne malgré l’opposition d’un certain nombre d’eurodéputés. Des centaines de personnes ont également manifesté à Strasbourg pour exprimer leur mécontentement. Hermine Costa
Des centaines de personnes ont manifesté contre le CETA ! Le traité de libre échange entre le Canada et l’Union Européenne a été ratifié hier à Strasbourg après 7 ans de négociation. Pourtant, le CETA ne fait pas l’unanimité. En effet, de nombreux eurodéputés dont Jean-Luc Mélenchon et Marine le Pen ont exprimé leur désaccord et ont demandé le retrait du CETA.
[VIDEO] https://www.youtube.com/watch?v=lY1PZjUOxjE de 0.58 à 1.42
Ayant pour but de dynamiser les échanges entre le Canada et l’Union Européenne, le CETA prévoit une baisse des barrières de l’importation, avec la suppression des droits de douane. Les entreprises canadiennes et européennes pourront aussi participer aux marchés publics de leur partenaire. Cependant, les centaines d’opposants qui se sont rassemblées mercredi devant le Parlement européen craignent de graves conséquences sur l’emploi, sur l’environnement, sur le changement climatique ou sur la sécurité alimentaires. Le CETA est même jugé antidémocratique. Les manifestants vêtus de combinaisons blanches, masque sur la bouche, ont formé une chaîne humaine, qu’il fallait enjamber pour accéder au grand bâtiment du Parlement.
Andrée Munchenbach, présidente du parti Alsacien Unser Land, était présente lors de cette manifestation
A l’issue des discussions, le CETA a obtenu le vote favorable de 408 eurodéputés, tandis que 254 d’entre eux se sont prononcés contre. Le premier ministre canadien, Justin Trudeau, s’est rendu ce jeudi à Strasbourg pour s’exprimer au Parlement européen. Néanmoins, le texte doit maintenant être ratifié par les différents parlements des États membres de l’Union Européenne. Une application provisoire devrait débuter en avril.
3) Économie / Qui va acheter les TGV d’Alstom ?
Pas un jour ne passe sans que le gouvernement ne nous prouve son amateurisme… Dans l’affaire des TGV que l’Etat devait acheter à Alstom, pour sauver l’usine de Belfort, il devrait y avoir un nouveau rebondissement. C’est finalement la SNCF qui va acheter ces trains, contre son gré… mais avec une incitation financière pour le faire à la clef. Décryptage, Natasha Koenigsberg
Soit une usine dont l’activité est insuffisante depuis déjà des années pour que son propriétaire, Alstom, continue à la faire tourner, soit un gouvernement qui ne peut pas se permettre de voir une usine fermer à quelques mois des élections, jetant des centaines d’ouvriers à la rue. La solution : acheter des TGV à Alstom… et tant pis si l’usine de Belfort ne fabrique que des locomotives… tant pis également si acheter des TGV ne se décide pas au saut du lit ou d’un claquement de doigts.
Pourtant, c’est bien ce que le gouvernement -à l’époque encore dirigé par Manuel Valls – a tenté de faire à la rentrée 2016. Annonçant qu’il lui suffisait de se servir d’un contrat cadre signé entre la SNCF et Alstom en 2007, pour ne pas avoir à lancer un nouvel appel d’offres. Et tant pis si ce contrat n’était pas signé par l’Etat, mais en présence de l’Etat. Quelques semaines plus tard, on apprenait par un rapport confidentiel que le risque juridique était beaucoup trop important, les concurrents d’Alstom n’ayant pas l’intention de laisser passer un tel marché sans se battre, dénonçant la pratique anti-concurrentielle.
Il faut dire que l’on parle d’une commande de 450 millions d’euros, ce qui expliquait d’ailleurs le refus formel de la SNC d’acheter ces trains dont elle estimait ne pas avoir besoin, du moins, pour l’instant. Les choses devraient pourtant changer : lors du prochain conseil d’administration de la SNCF, le 23 février, la commande de 15 TGV à Alstom devrait faire son apparition. Le gouvernement a en effet promis en catimini à la SNCF qu’il allait lui faire cadeau d’une remise de taxes, la fameuse contribution de solidarité territoriale prélevée sur le chiffre d’affaires de la SNCF pour financer les lignes intercités.. opérées par la SNCF, mais sous la responsabilité de l’Etat, dans le cadre de sa mission d’aménagement du territoire..
L’Etat va donc faire économiser 420 millions d’euros à la SNCF sur 5 ans, quand la commande de 15 TGV coûte un peu plus de 450 millions.. Bien entendu, tout cela est totalement fortuit et nullement lié, c’est du moins ce que l’on essaye de faire croire du côté de l’Etat… Problème : les autorités européennes, et en particulier le commissaire européen à la concurrence, pourraient bien ne pas du tout apprécier ces hasards qui ressemblent surtout, à s’y méprendre, à des aides d’Etat déguisées. On risque encore de parler de ces TGV, qui ne sont pour l’instant, ni commandés formellement ni bien entendu construits pendant quelques mois, voire, quelques années.
4) Europe / Pays-Bas : Les populistes à qui gagne perd
Geert Wilders en passe de devenir numéro 1 ! Dans moins d’un mois, les Pays-Bas vont renouveler leurs représentants et le Parti pour la liberté est en passe de devenir le premier mouvement du pays. Une victoire aux législatives ne serait cependant pas synonyme de prise de pouvoir. Explication, Olivier Frèrejacques
Le 15 mars prochain les hollandais seront appelés aux urnes pour renouveler les 150 membres de leur Chambre des représentants. Un scrutin qui pourrait bien voir les populistes arriver en tête. En effet le parti de Geert Wilders est annoncé en tête dans tous les sondages devant les libéraux démocrates et le parti travailliste.
Seulement voilà, le scrutin hollandais est proportionnel ! Un système qui profite à une large représentation des sensibilités du paysage politique batave mais qui ne permet pas à un parti de dégager une majorité politique homogène et contraint à avoir recours au jeu des alliances.
La chambre des représentants étant composée de 150 députés élus, il faut réunir un minimum de 76 parlementaires pour diriger le pays. Un système qui profite à des alliances entre le centre, la gauche et la droite. L’actuel premier ministre, le libéral démocrate Mark Rutte a d’abord dirigé le pays avec les centristes de l’Appel Chrétien Démocrate d’octobre 2010 à avril 2012 avant de se tourner vers les travaillistes, coalition qui tient depuis novembre 2012.
En cas de large victoire, le Parti de La Liberté peut espérer une petite quarantaine de siège contre seulement 10 aujourd’hui, pas de quoi être majoritaire donc même si un bon score pourrait contraindre d’autres formation à intégrer les populistes à un gouvernement. Une hypothèse bien peu probable tant le Parti de La Liberté est idéologiquement très éloigné des autres formations politiques. En pointe dans la lutte contre l’islamisation, le mouvement de Geert Wilders, par ailleurs pro-israélien, est aussi favorable à une sortie de l’Union Européenne et de la zone euro. Ces deux dernières positions, comme en France, effraient les électeurs et empêchent toute forme d’alliance. Et pourtant le rejet de l’Europe de Bruxelles est facilement palpable aux Pays-Bas où 64 % des électeurs se sont prononcés contre l’accord UE/Ukraine en avril dernier.
Mais l’élection ne se joue pas que dans les urnes chez nos voisins bataves puisque de grandes multinationales s’intéressent de près à ce scrutin. Ainsi des groupes comme Unilever, Shell, Philips ou Delhaize entendent lutter contre le populisme qu’ils estiment contraire au « progrès ». Favorables à l’immigration, qui permet notamment de tirer les salaires vers le bas, ces entreprises prônent une coalition excluant Geert Wilders, mettant ainsi à l’écart deux millions et demi d’électeurs.
5) L’actualité en bref
“La politique de la France depuis le premier jour a consisté à soutenir les terroristes en Syrie”.
Voilà ce qu’a déclaré le président Bachar al-Assad ce jeudi dans un entretien accordé à Europe 1 et TF1. Le chef d’Etat accuse directement la diplomatie française et les pays occidentaux comme étant responsables des tueries faisant écho aux propos de François Hollande qui déplorait récemment de ne pas avoir déclaré la guerre à la Syrie en 2013. Bachar al-Assad n’a pas manqué de se moquer de son homologue français et de ses 11 % de popularité estimant qu’il a touché le fond comme jamais aucun de ses prédécesseurs dans l’histoire de France.
Un double meurtre en direct sur internet ! Un jeune enfant de 2 ans et un homme de 26 ans ont été abattus d’une balle dans la tête à Chicago. La scène a été filmée et diffusée en direct sur Facebook. Il s’agirait d’un règlement de compte lié à une guerre de gangs. La violence continue d’exploser dans la ville de Barack Obama. Le mois dernier, 4 afro-américains avaient déjà filmé la séquestration et la torture d’un jeune homme handicapé à Chicago.
Une femen condamnée pour exhibition ! Mercredi, la Cour d’appel de Paris a confirmé la condamnation d’Eloïse Bouton à un mois de prison avec sursis pour exhibition sexuelle. Elle avait mené une action seins nus le 20 décembre 2013 dans l’église de la Madeleine à Paris mimant un simulacre d’avortement de l’enfant Jésus avec des morceaux de foie de veau devant l’autel. Eloïse Bouton devra également verser 2 000 euros de dommages et intérêts au conseil du curé de l’église de la Madeleine. Féministe mais à sa manière, Eloïse Bouton a, pendant un temps, pratiqué une double activité : militante d’extrême gauche chez les femen et prostitué !
Arrestation d’un étudiant soupçonné de préparer un attentat ! Ismael, 18 ans, a été interpellé mardi à Wattignies dans le Nord. Il est soupçonné d’avoir cherché à préparer un attentat à Lille selon une source policière. Une enquête préliminaire pour “association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste” avait été ouverte le 30 décembre dernier. L’individu devrait être transféré rapidement dans les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure à Levallois Perret.
Une skieuse française en or ! Tessa Worley a été sacrée championne du monde de géant ce jeudi à Saint Moritz. La Française a devancé l’Américaine Mikaela Shiffrin et l’Italienne Sofia Goggia. Tessa Worley est sacrée championne du monde pour la 2ème fois de sa carrière.
C’est la fin de notre édition. Dans un instant, notre Zoom du jour. Marc Fromager, directeur de l’Aide à l’Eglise en Détresse, nous présente son dernier livre “Guerre, Pétrole et radicalisme.. les Chrétiens d’Orient pris en étau”. Il revient sur la situation des Chrétiens d’Orient présents en Syrie et en Irak et explique comment les chrétiens réussissent à résister à l’emprise de l’Etat Islamique, le rôle qu’ils jouent pour entretenir une entente entre les chiites et les sunnites sans oublier leur façon de pratiquer la religion chrétienne.
Ce soir, retrouvez notre émission “Géopôles”. La spécialiste en géopolitique Caroline Galacteros est l’invitée de Richard Haddad. Elle évoque la question Turque : une des trois grandes puissances régionales du Moyen-Orient. Longtemps principal allié des Etats-Unis dans la région et membre de l’OTAN, la Turquie a toujours été un point d’appui pour la politique étrangère et de défense étasunienne mais depuis 2011 et le début de la guerre en Syrie, la stratégie du président Erdogan est illisible et ressemble à un double jeu entre proximité tantôt avec Moscou tantôt avec Washington.
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Et tout de suite, une nouvelle chronique de la France de Campagnol avec Christian Combaz. Merci de votre fidélité, à demain, bonsoir !
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