Huit mois avant les élections parlementaires en Allemagne, qui auront lieu le 24 septembre, un sondage de l’institut YouGov montre que deux Allemands sur trois ne veulent pas voir Angela Merkel reconduite dans ses fonctions. 42% des sondés souhaitent «fortement» son départ et 22% voudraient «probablement» un nouveau dirigeant. Ils ne sont que 19% à considérer qu’«il vaudrait mieux» ne pas changer de chancelier et 8 % veulent absolument qu’elle soit réélue.
En ce qui concerne les chances de son parti, l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne (CDU), de remporter les élections, 35% des sondés considèrent que cela ne sera pas possible avec Angela Merkel.
Si la baisse de popularité d’Angela Merkel n’est pas une surprise, les organisateurs du sondage se disent en revanche étonnés par les opinions positives en faveur du grand rival, le Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD).
En décembre dernier, le parti de Martin Schulz avait en effet enregistré son pire score de popularité, en dessous de 20%. Mais d’après le sondage de YouGov du 31 janvier, il est remonté à 30% d’opinions favorables.
D’après les analystes de l’institut d’enquêtes, ce revirement de l’opinion publique est le résultat du départ de l’ancien président du SPD, Sigmar Gabriel qui a renoncé, le 24 janvier dernier, à se présenter contre Angela Merkel.
Source Via CivilWarInEurope
Comme Mao et Staline, elle s’accroche au pouvoir et nous méprise. Ouvrez vos yeux! Avec l’introduction de l’Euro, l’UE est subrepticement devenue le champ de bataille de la dernière invasion politico-économique germanique de l’Europe. Il suffit de comparer l’excédent des exportations allemandes et françaises, les taux de chômage et les dettes des pays européens du sud, pour se rendre compte de qui mène le jeu dans le couple franco-germanique et à Bruxelles. Les victimes autour de l’Allemagne sont les entrepreneurs qui, faute de commandes et saignés par les charges sociales et les impôts, ferment leurs entreprises, les employés victimes des restructurations et de la non préférence nationale, les usagers des services publiques dont la qualité se dégrade alors que leurs coûts et leurs bureaucraties augmentent, les chômeurs, les travailleurs détachés, les individus sans formation, la classe moyenne appauvrie, etc.
@ Bussy
Si c’est pour la remplacer par Schultz, ça ne va absolument rien changer…
Raus le boulet de l’Europe !
Et voilà pourquoi l’abominable Schultz a quitté ses fonctions européennes, la mafia se doutant que Merkel risquait de ne pas passer, ils ont mis en place un backup. Les allemands n’ont visiblement pas compris que choisir entre Merkel ou Schultz, c’est comme choisir entre Rosa de Luxembourg et Léon Trotski, autant dire choisir entre le Sida et l’Ébola. Les allemands sont mal barrés et nous aussi !!!
Entre ce que les gens disent et ce que les gens votent, il y a tout un monde…