Les personnes battues, violées ou séquestrées reçoivent souvent à peine un tiers du montant obtenu pour tort moral.
Les personnes battues, violées ou séquestrées n'obtiennent que rarement la réparation à laquelle elles ont droit pour tort moral. Leurs bourreaux n'ont souvent pas les moyens de payer. Bon nombre de victimes reçoivent au final à peine un tiers du montant espéré.

30’000.– par mois pour carlito,mais les victimes nada,voila la justice suisse.
Les travaux forcés pour les bourreaux !