Un élève tué à coups de couteau devant le lycée Charles-De-Gaulle, le proviseur du lycée Maurice-Ravel et son adjoint blessés par des « jeunes » qui tentaient de s’introduire dans l’établissement « pour en découdre », un adolescent passé à tabac devant le lycée Paul-Valéry… Alors que la journée de lundi a été particulièrement sanglante dans les établissements parisiens, les autorités ne cachent plus leur incapacité à maîtriser les agissements des bandes ethniques dans la capitale.
Règlements de comptes
Lundi, en début d’après-midi, un élève du lycée Charles-de-Gaulle est ainsi décédé après avoir été poignardé, à proximité de son établissement, par un groupe de plusieurs « jeunes » qui ont immédiatement pris la fuite. Suspecté d’être « impliqué » dans l’affaire, un adolescent appartenant à une bande rivale a été placé en garde à vue mardi matin. Mais, de sources policières, son degré d’implication restait encore à définir.
Enième épisode, donc, d’affrontements entre bandes ethniques rivales qui ne cessent de se multiplier à Paris et dans sa proche couronne. Ainsi, il y a quelques semaines, ce sont deux gangs rivaux qui échangeaient des coups de feu dans le nord de la capitale, faisant trois blessés au total. Peu après, une rixe opposait plusieurs dizaines de personnes armées de barres de fer. Début novembre, les policiers interpellaient deux « jeunes » impliqués dans l’agression d’un autre, découvert au printemps, lardé de coups de couteau et en partie scalpé…
Une affaire par jour
Un phénomène qui, laxisme judiciaire aidant, ne cesse de s’aggraver depuis des années. Ainsi, les autorités suivraient-elles de près les agissements d’une quarantaine de ces bandes violentes et auraient-elles identifié au moins 126 membres présumés dans la capitale et sa proche couronne. Des bandes qui, l’an dernier, se seraient illustrées chaque mois dans une trentaine d’affaires. Soit, une par jour en moyenne !
Les affrontements entre bandes ethniques rivales représenteraient environ un tiers de ces faits et, selon la police, 80 % de ces affaires seraient marquées par l’utilisation d’armes.
Cet article Paris livré aux bandes ethniques est apparu en premier sur Présent.
Extrait de: Source et auteur
Le fait d’être un grain de café, musulman de surcroît, donne accès à tant de privilèges qu’il ne faut pas s’étonner de ce que les caisses publiques sont vides.
Aménagements de toutes sortes, soins gratuits, logements sociaux, exonération d’impôts, clémence des tribunaux , rentes viagères et autres.
De plus, ils ne servent strictement à rien et nous empoisonnent le biotope à longueur d’année.
D’autres migrants, les Polonais ou les Vietnamiens par exemple , n’ont jamais rien revendiqué et on les assimile à la peste brune qui saccage l’Europe!
Il ne faut pas mélanger les torchons et les serviettes.
malheureusement il n’y a pas que Paris, mais de nombreuses villes de province sont également touchées par ces phénomènes de bandes et par l’insécurité…. il n’y a pas réellement de territoire urbanisé épargné. La prolifération des zones dites sensibles, mais en réalité de non droit, ne cesse de se répandre. Cette une lèpre qui se répand et ne cesse de croitre, dans l’indifférence ou la compromission des acteurs publics, mais surement pas de leur naïveté.
Mais la France va subir la punition : Déjà de nombreux touristes Indiens et Chinois ne veulent plus aller à Paris !…
Et l’UE veut interdire les armes en Suisse….. qu’ils règlent déjà leurs problèmes au sein de l’UE….