Cinq hommes principalement musulmans de Rotherham, dont trois frères, ont été reconnus coupables de soumettre durant deux ans deux jeunes filles à des abus sexuels violents, incluant le viol et la séquestration.
Matloob Hussain, Mohammed Sadiq, et les frères Basharat, Nasser et Tayab Papa, ont été reconnus coupables de 21 infractions sexuelles à la Cours d'Assise de Sheffield.
Leurs infractions remontent à la fin des années 1990 et au début des années 2000 quand les filles ont reçu l'alcool et du cannabis et ont été intimidées afin d'exécuter des actes sexuels.
L'inspecteur en chef Martin Tate, qui a supervisé l'enquête, a déclaré dans un communiqué: «La cour a entendu les témoignages poignants de deux femmes très courageuses dont l'enfance a été volée par ces hommes.
"Elles ont été ciblées, systématiquement conditionnées et soumises à des abus sexuels horribles alors qu'elles étaient des jeunes filles vulnérables, à l'aube de leur adolescence.
"Aucun enfant ne devrait jamais avoir à vivre ce que ces femmes ont dû endurer (...).
En 2014, le rapport du gouvernement Jay a constaté que plus de 1200 filles de Rotherham avaient été violées, victimes de trafics, et abusées par des gangs principalement musulmans. Le rapport a conclu que les agressions avaient pu se poursuivre pendant une dizaine d'années car les autorités craignaient les accusations de racisme.
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Les musulmans pratiquants n’ont pas les mêmes valeurs que les suisses. Pour eux, violer une femme, brutaliser une femme ne sont pas péché. Ce qui est grave c’est violer la parole d’Allah ou de son messager. Le Sheikh Muhammed Ould Dedew, l’un des guides doctrinaires salafistes les plus hauts de Mauritanie, fait valoir que, parce que “le mari est gardien dans sa maison… il est nécessaire d’y mettre en œuvre la loi d’Allah. Cela signifie que “si l’un des membres de la famille viole la parole d’Allah, le mari devient complice du péché s’il ne l’empêche pas ou ne discipline pas le violeur.» Le point crucial de son argument est, que si un homme ne bat pas sa femme quand elle commet des péchés et des impiétés, c’est lui qui en payera le prix dans l’au-delà.
Et vous aurez bien un crétin d’avocat pour leur trouver des excuses…
Il est évident qu’ils n’oseraient pas faire cela à leurs épouses musulmanes, qui d’ailleurs ne doivent rien en savoir.
Mais comme ce sont des “mécréantes”, selon les textes de la religion, ces jeunes filles peuvent tout subir. Devenir esclaves sexuelles et autres.
Donc 1200 jeunes femmes ont subi des violences sexuelles à Roterham sans que cela ne dérange la classe politique. Juste par peur de crier au “racisme”??? Vraiment? Une enquête sérieuse devrait être faite pour bien cerner “le problème”.