L’accès aux médias, grâce au développement technologique, est tel que beaucoup de gens ont la possibilité de partager instantanément l’information et de la diffuser de manière capillaire. Ces informations peuvent être bonnes ou mauvaises, vraies ou fausses. Par le passé, nos pères dans la foi parlaient de l’esprit humain comme de la meule d’un moulin qui, actionnée par l’eau, ne peut pas être arrêtée. Celui qui est responsable du moulin a cependant la possibilité de décider de moudre du grain ou de l’ivraie. L’esprit de l’homme est toujours en action et ne peut cesser de « moudre » ce qu’il reçoit, mais c’est à nous de décider de quel matériel l’approvisionner (cf. Cassien le Romain, Lettre à Léonce Higoumène).
(…) Je pense qu’il faut briser le cercle vicieux de l’anxiété et endiguer la spirale de la peur, fruit de l’habitude de concentrer l’attention sur les « mauvaises nouvelles » (les guerres, le terrorisme, les scandales et toutes sortes d’échec dans les affaires humaines). Il ne s’agit pas évidemment de promouvoir une désinformation où le drame de la souffrance serait ignoré, ni de tomber dans un optimisme naïf qui ne se laisse pas atteindre par le scandale du mal. Je voudrais, au contraire, que tous nous cherchions à dépasser ce sentiment de mécontentement et de résignation qui nous saisit souvent, nous plongeant dans l’apathie, et provoquant la peur ou l’impression qu’on ne peut opposer de limites au mal. D’ailleurs, dans un système de communication où domine la logique qu’une bonne nouvelle n’a pas de prise et donc ne constitue pas une nouvelle, et où le drame de la souffrance et le mystère du mal sont facilement donnés en spectacle, il peut être tentant d’anesthésier la conscience ou de tomber dans le désespoir.
Je voudrais donc apporter une contribution à la recherche d’un style ouvert et créatif de communication qui ne soit jamais disposé à accorder au mal un premier rôle, mais qui cherche à mettre en lumière les solutions possibles, inspirant une approche active et responsable aux personnes auxquelles l’information est communiquée. Je voudrais inviter à offrir aux hommes et aux femmes de notre temps des récits marqués par la logique de la « bonne nouvelle ».
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La Croix via Fdesouche.com
Si la prophétie de Saint Malaquie est juste, François est le dernier pape avant la destruction de la ville aux sept collines (Rome). J’ai comme l’impression que c’est bien parti…
En clair, il veut abrutir les gens en prétendant que tout va bien, qu’il n’y a pas de problèmes, que tout cela tient du fantasme. Ainsi il pourra continuer à propager tranquillement sa propagande pro migrants et pro islam pendant que les chrétiens sont massacrés au Moyen-Orient. Et comme par hasard, comme pour Merkel et tant d’autres cosmopolites, Internet le dérange. Merveilleux aveu que voilà pour qui aurait encore des doutes quant à ses affinités politiques, ses buts.
En clair, c’est un traitre vis-à-vis de ses propres ouailles qu’il devrait protéger. Ce qu’il appelle “bannir les mauvaises nouvelles” n’est que le synonyme de censure.
Je lui rappelle que selon son propre dogme chrétien, la vérité doit être défendue. Même si cela lui déplait!
Pour moi les mauvaises nouvelles sont souvent les déclarations du Vatican : Comme non à la contraception mais oui aux envahisseurs moslems, mais aussi le marxisme réchauffé!
Bannir les mauvaises nouvelles ?
C’est formidable ! Nous n’entendrons plus les inepties papales ! MERCI !
Commentaire de Jérémy Schenker:
“L’ignorance du peuple nous garantit sa soumission” (Catherine II, impératrice russe) “l’ignorance et la bêtise du peuple font la force du dictateur” (Jdan Noritiov)