14 commentaires

1. Avec cette nomination les socialistes risquent en effet de perdre un siège au Conseil d’Etat. Cette amoureuse des terroristes est très détestée de la plus part de la population vaudoise. Je ne vois pas comment une personne qui méprise autant les valeurs suisses puisse accéder à un gouvernement cantonal. Je ne pense pas qu’elle quittera la CN, alors elle n’aura pas assez de temps à consacrer à sa nouvelle tâche.

2. Ces secondos socialistes sont insupportables et remplis de haine alors que notre pays leur a tout offert. La grande question est de savoir si les tertios naturalisés seront pire que les secondos?

3. Le Conseil d’Etat vaudois n’a pas besoin d’une islamo-collabo au sein de son collège, qui doit rester collégial et constructif. Qu’elle cherche à importer quelques vrais réfugiés africains subsahariens chrétiens, pacifiques et honnêtes, ou quelques immigrés philippins, vietnamiens, chinois, coréens ou japonais, passe encore. Mais pas la racaille d’allah ou des révolutionnaires ou narcotrafiquants latino-américains n’ont rien à faire chez nous!

4. Le nouveau drapeau Vaudois: Caramba e Revolution!
   En passant, une belle journée quand même, Wyss n’a pas passé à Berne.
   Proverbe Uruguayen: “y en à point comme elle”.

5. C’est bien si elle est élue, plus il y aura d’élus comme elle, plus vite ça va péter et moins il y aura de dégâts irréversibles !
   Allez les vaudois, Cesla qu’il vous faut !

6. Les découvreurs de talents frétillent. Cesla et Ada ne seraient-elles pas de futures excellentes conseillères fédérales? Madame Pipi, vous avez de la concurrence, on a peut-être trouvé encore pire que vous !

7. Voici le palmarès du PS…Cesla
   Plus pro-immigrationniste tu meurs….,
   Avec elle..c’est la grande invasion….les seuls droits des autres…voire aussi des terroristes…pendant qu’on y est….les pauvres ils sont en danger dans leur pays…mais pas nous….
   Je souhaite au PS une bonne plongée…avec une telle candidature……..
   ‘

8. La naïveté d’une grande partie des Vaudois fera que cette tâche sera peut être élue quand même.
   La presse de gooooche va s’y employer avec l’ardeur nécessaire.

9. Aïe, aïe, aïe, cette…bref, pourvu surtout qu’elle ne soit pas élue. Lausanne est déjà bien assez envahi, pénible et moche comme ça!

10. Comme quoi les guêpes sévissent même en hiver.

11. Les socialistes ont choisi la pire des trois candidates ; ceux qui penchent au centre gauche pourrons la tracer de bon cœur et sans regrets !

12. Encore elle ,il faudrait la renvoyer de suite chez elle au lieu de nous prendre pour des cons ,elle mérite quelques consultations chez un médecin ,idem pour Alda ,ces deux femmes sont dangereuses ,agressives ,et de toute mauvaise foi ,il ne faut absolument plus les écouter .

13. Voilà un choix judicieux ! Comme ça la gauche perdra sa majorité au Conseil d’Etat, et retournera dans l’opposition. Parce que les “huiles” du PS n’ont aucune idée de la mauvaise image de Cesla Amarelle auprès de la population. Les gens ont marre de ces universitaires qui se la pètent et se croient sortis de la cuisse de Jupiter. D’autre part Cesla n’a aucune expérience d’un Exécutif, là où sa “pugnacité” et sa “connaissance fine des dossiers nationaux” (je cite le PS) n’auraient que peu d’utilité. Les Vaudois préfèrent les personnes au caractère plus conciliant, plus arrondi, vaudois quoi, à une mordache de pasionaria, toute prof d’Université qu’elle soit. Le caractère vaudois ne se reçoit pas automatiquement avec la naturalisation, tant s’en faut, mais s’acquiert avec les années, de nombreuses années d’immersion totale en milieu fondamentalement, viscéralement vaudois.

14. « Cesla, (pour «Communauté des Etats socialistes latino-américains») est née à Montevideo, en Uruguay, de parents engagés.
    Professeure de droit à l’Université de Neuchâtel, spécialiste des migrations », elle milite pour que la Suisse devienne un refuge pour tous les migrants et surtout les engagés, comme elle et ses parents,, qui, ne réussissant pas à réaliser leur projet dans leur pays, viennent se réaliser en Suisse, quitte à faire taire les suisses récalcitrants, quitte à renverser le système dont elle a pourtant bénéficié sans entraves.
    Sa position : « Nous allons gagner !» (L’ivresse du pouvoir, qui est à l’opposé de ce qu’est une démocratie, l’élu étant au service de ses citoyens ? )« Si la personne est en danger de mort dans son pays, nous n’avons pas le droit de la renvoyer. Même si c’est un terroriste. »
    Dans sa vision, les suisses n’ont donc pas le droit, eux, de se protéger, ils n’ont que le devoir de protéger, surtout les engagés (et/ou enragés) politico-religieux.