Nous avions prévu, et il n'était pas nécessaire d'être futurologue pour cela, qu'une masse impressionnante de médias seraient anti-Trump et trouveraient quasiment tous les jours quelque chose de "spectaculaire" ou de croustillant, vrai ou faux, pour critiquer et ridiculiser le nouveau Président des USA, tout en espérant obtenir la faveur d'une interview exclusive, comme le journaliste faussaire de CNN lors de la première conférence de presse du nouveau Président, faussaire qui a pris une claque d'anthologie et qui devrait prendre place dans les cours de "déontologie" des prétendues Ecoles de journalisme.
On pouvait espérer que le journal "de référence" suisse Le temps échapperait à cette maladie honteuse. Cette obsession en dit , en réalité, plus long sur les médias eux-mêmes que sur le programme politique de D. Trump. Et quand un média se risque à vouloir montrer qu'il en parle, c'est encore et toujours en mal, et en voulant en plus prendre appui sur un Prix Nobel, de gauche et qui s'est déjà si souvent trompé.
On sait, il est vrai, que le label Nobel n'est pas toujours une preuve de compétence extraordinaire, de qualité et de vérité, surtout depuis que le va-t-en-guerre Obama, responsable d'un nombre infini de guerres et de centaines de milliers de morts, a lui aussi obtenu un prix Nobel, celui de... la Paix!
Donc pour les friands et accrocs de l'anti-trumpisme primaire et pavlovien, ils peuvent consulter aujourd'hui les deux articles suivants du journal Le Temps :
ici et ici
Revoir la claque magistrale de Trump au journaliste faussaire de CNN, ici
PS. Il faut aussi réécouter les infos de la radio romande de 12h30 de ce jour : on dirait que des foules immenses d'Américains sont dans la rue partout dans le pays pour refuser la nomination du Président D. Trump (relevons aussi l'aspect très démocratique de ces manifestations!). On y a aussi parlé du mécontentement de certains locataires de la Trump Tower comme s'il y avait un mouvement de fuite général.
Prendrait-on ici aussi une nouvelle fois ses désirs et son idéologie (devinez laquelle?) pour la réalité?
Les journalistes du mainstream ne s’appellent plus des journalistes, mais bien des propagandistes…
On peut voir sur Breitbart des vidéos de ces gentils manifestants pacifistes, des crasseux de gauche “progressiste” les yeux injectés de haine, agressant avec violence les journalistes de Breitbart, leurs crachant dessus, volant leur matériel et versant du café brûlant sur ces derniers. Ammenés par cars entiers payés par Soros. Soros, l’employeur de Calimity-Rey.
Comment appelle-t-on les journalistes des merdias mainstream? La réponse ci-dessous:
Discours de John Swinton (1829-1901), chef du New York Times, lors d’un banquet donné en son honneur à New York à l’occasion de sa retraite.
“Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Il n’y en a pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et s’il le faisait, vous savez qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé $250 par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille. D’autres parmi vous sont payés le même montant pour un travail similaire. La fonction d’un journaliste est de travestir la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper aux pieds de Mammon, et de se vendre soi-même, de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous savez cela et je le sais; quelle folie donc de porter un toast à la presse indépendante! Nous sommes des outils et les vassaux d’hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes les marionnettes; ils tirent sur les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes….. des prostituées intellectuelles.
Par curiosité, je me suis amusée à lire le Temps et me renseigner sur ceux qui écrivent dans ce journal…décidément, qu’est-ce qu’ils se déchaînent, à part démonter les “autres”, ceux qui ne pensent pas comme eux… pas envie d’y retourner…
Il faudra trouver un autre nom pour ces “journalistes”.
“Journaleux” n’est pas assez fort, il s’applique à de mauvais journalistes. Ce ne sont pas de mauvais journalistes, ce sont de parfaits MENTEURS car ils ne vérifient rien de ce qu’ils captent tous azimuts et pire, certains d’entre eux INVENTENT.
Je propose de les appeler de “NEWS-MENTEURS” (désolé pour le demi-anglicisme).
Si vous trouvez mieux … le concours est ouvert. Il est réservé aux non-abonnées à LE TEMPS.
Il se chauffe pour l’élection de Marine LE PEN présidente !!!