Deux Marocains en situation irrégulière sont jugés à partir d’aujourd’hui pour plusieurs viols collectifs commis sur des garçons âgés de 8 à 11 ans.
Dans le quartier, tout le monde les aimait bien. Ils étaient considérés comme des “tontons”, des gens “de confiance, gentils et disponibles”. Les enquêteurs expliquent aussi qu’ils avaient appris à “se rendre utiles en assurant la garde des enfants à des moments où les parents n'étaient pas disponibles ou défaillants”.
“Jeu” secret, viol et bonbons
Sauf qu’en juin 2014, un garçon de huit ans se présente avec sa mère à la police. Il raconte le “jeu” secret qui lui était proposé par les deux Marocains en situation irrégulière en France. Les deux hommes de 47 et 52 ans le violaient dans leur appartement commun du Xe arrondissement, puis lui donnaient des cadeaux et des bonbons pour acheter son silence.
Deux autres garçons, de 10 et 11 ans, font le même récit. Le procès des deux hommes débute aujourd’hui aux assises de Paris. Ils risquent jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle pour viols sur mineurs avec circonstances aggravantes, liées au fait que ces actes étaient commis “en réunion” et par des personnes “faisant autorité”.
Nos remerciements à Heidi von Rütli
A Sergio@
Remarquable analyse!
C’est exactement ce que j’avais à dire, mais vous m’avez devancé.
Ce sont des clandestins, donc intouchables par définition. Ils ne sont pas Blancs, donc protégés. Ils vivent selon leurs coutumes et n’ont de fait, pas commis de délit selon la doxa mulismino-mondialiste. Enfin, ils sont au bénéfice de tout un train de mesures sociales et les avocats de gauche se bousculent pour les défendre. Le risque que la Justice les condamne est pour le moins limité. Tout au plus, ils s’exposent à recevoir la double nationalité
“20 de réclusion criminelle”: il faudrait ajouter la castration physique et un gros coup de pieds dans les fesses jusqu’au Maroc! Mais pour qui se prennnent ces racailles islamiques du Maghreb??