Un peu de politique fiction pour finir l’année. Dans un entretien donné au podcast «The Axe Files», Barack Obama a donné son avis sur l’issue qu’aurait pu avoir l'élection présidentielle si la Constitution l’avait autorisé à se représenter pour un troisième mandat.
Il en a également profité pour défendre sa vision de l’Amérique. «J'ai confiance en cette vision, parce que je suis sûr que si je m'étais représenté et que je l'avais expliquée, je pense que j'aurais mobilisé une majorité d'Américains pour s'y rallier», a-t-il déclaré au podcast animé par son ancien proche conseiller David Axelrod et produit par CNN et l'université de Chicago, sa ville d’origine. Pour rappel, Donald Trump s'est imposé en récoltant le vote de 304 grands électeurs contre 227 pour sa rival Hillary Clinton.
Barack Obama à contre-sens de l’opinion ?
Alors que de nombreux observateurs ont expliqué la victoire de Donald Trump par la fracture dont la société américaine serait victime, le locataire de la Maison Blanche a livré une analyse plus optimiste de son point de vue : «Après l'élection et la victoire de Trump, beaucoup de gens ont suggéré que, d'une certaine façon, ce n'était vraiment qu'un rêve. [...] Mais la culture a changé, la majorité adhère à la notion d'une Amérique unique qui est tolérante et diverse et ouverte et pleine d'énergie et de dynamisme».
Le premier président noir de l’histoire des Etats-Unis a eu des mots très positifs pour Hillary Clinton. Si l’ex-candidate Démocrate a échoué, il considère qu’elle a «merveilleusement réussi dans des circonstances vraiment très difficiles». «Je pense qu'il y avait deux poids, deux mesures la concernant», a-t-il ajouté.
Barack Obama a rappelé que son parti avait remporté le vote populaire mais a blâmé une mauvaise «distribution de la population» pour les Démocrates avec notamment «un million de votes gâchés à Brooklyn».
Calme, vacances et écritures
Le 20 janvier, l’ancien sénateur de l’Illinois laissera sa place à la tête du pays à Donald Trump. Que va-t-il faire de son temps libre ? A long terme, il souhaite aider «à construire la prochaine génération de dirigeants, d'organisateurs, de journalistes, de politiciens. Je les ai vus aux Etats-Unis, je les ai vus à travers le monde». «Je veux utiliser mon coeur présidentiel comme un mécanisme pour développer la prochaine génération de talents», a-t-il poursuivi. Quant à savoir clairement comment cette volonté se matérialisera, il faudra patienter.
Mais avant cela, le futur ex-président souhaite se poser. Au lendemain de son départ de la Maison Blanche, ses «intentions sont de dormir, d'emmener mon épouse pour de très belles vacances». «J'ai envie d'écrire», a-t-il aussi confié.
«Je dois rester tranquille pendant un moment. Je ne veux pas dire politiquement, mais intérieurement. [...] Il faut se remettre synchrone avec soi-même et absorber ce qui s'est passé avant de prendre de bonnes décisions», a-t-il expliqué.
Quant à savoir s’il restera impliqué dans la vie politique quotidienne ? Pas question. D’après lui, cela «inhiberait le développement de nouvelles voix». Reste que pour un tel animal politique, l'abstinence risque d’être difficile. Il rappelle d’ailleurs qu’il reste «un citoyen» et selon lui, cela «induit des droits et des obligations». Il se réserve donc le droit d'intervenir en cas de «problème portant sur les fondements de notre démocratie».
Extrait de: Source et auteur
Le mauvais perdant n’a heureusement plus que quelques jours pour pour nuire à son pays et au reste de l’humanité.
Serait-il, lui aussi, impliqué, comme les Clinton et autres gangsters du sexe politiquement incorrect, dans le scandale du Pizzagate, que l’on cherche à camoufler par tous les moyens ?9h
Que veut écrire ce salafiste ? La liste de tous les nombreux crimes dont il est responsable avant d’être jugé ?
Encore un qui a son disque rayé et qui ne comprend rien.
Malveillance d’un perdant : Derrière les attaques d’Obama contre Poutine
Les relations entre le président russe Vladimir Poutine et le président américain Barack Obama sont envenimées et irrémédiablement compromises. C’est donc une bonne chose que Obama quitte ses fonctions le 20 janvier. Les mauvaises relations russo-US ne sont évidemment rien de nouveau. Elles ont commencé à se détériorer depuis la guerre anglo-américaine contre l’Irak en 2003. Pour Obama, il semble que tout soit devenu personnel. Le président US se comporte souvent comme un adolescent irritable, jaloux d’un rival de lycée.
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