Interrogé, mercredi, sur une éventuelle réévaluation d’interdire l’entrée des musulmans aux Etats-Unis, après l’attentat de Berlin, Donald Trump déclare: « Vous connaissez mes projets. Cela prouve que j’ai raison, à 100% », rapportent plusieurs médias américains.
Le président élu a également déclaré que l’attentat de Berlin était un « attentat contre l’humanité ». « Voilà ce dont il s’agit. Un attentat contre l’humanité et cela doit cesser ».
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« Des civils innocents ont été tués dans les rues alors qu’ils se préparaient à fêter Noël. L’Etat islamique et d’autres terroristes islamistes attaquent continuellement les chrétiens au sein de leurs communautés et lieux de culte ».
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Donald Trump ne veut pas que son pays soit pris en otage par des musulmans. Il a bien raison. Il a compris que le communautarisme à l’américaine, le multiculturalisme européen angéliques et le politiquement correct, congrégation moderne de la culpabilisation dénommée aussi La Bête, sont devenus une manufacture de musulmans radicaux dont la productivité et le prosélytisme sont stimulés par les actions militaires sans succès des USA et de leur vassal européen au Moyen-Orient et en Afrique, par les milliards de l’aide publique internationale et par certaines campagnes médiatiques comme la dernière « Love Life » pour la prévention du Sida, une de ces campagnes publicitaires où la liberté sexuelle confine à la pornographie et qui tuent l’amour hétérosexuel et le mariage aristotélicien.
Chez nous, le déni de la réalité de politiciens comme Sommaruga, Burkhalter, Berset, etc, et de dirigeants angéliques nous coûte très cher en terme de qualité de vie: on emmerde de plus en plus, il n’y a pas d’autre mot, tous les gens honnêtes et polis à cause des incivilités, brigandages et attentats des bandes de voyous (pardon des groupes affinitaires!), des gangsters et des terroristes, sans oublier toutes ces nouvelles entraves et ces surcoûts pour voyager, etc. Pas étonnant que, confronté quotidiennement à ses étrons pourrissants, tant de citoyens suisses moyens se sentent perdus, désécurisés, frustrés, exploités , appauvris, pris en otage et abandonnés par des élus traîtres.