Michel Garroté - Barack Hussein Obama, tordu jusqu'au bout, passe son temps à jouer au Golf à Hawaï tout en glissant des peaux de banane sous les pieds de Donald Trump (qui lui entre en fonction le 20 janvier 2017). Sur les dossiers israélien, irakien, syrien, iranien, russe, pétrolier et gazier, Barack Hussein Obama prend des initiatives qui vont compliquer la tâche de Trump lorsqu'il investira la Maison Blanche. C'est du Barack Hussein Obama tout craché : après avoir planté son pays qu'il déteste (wasp) pendant huit ans, il gesticule depuis son lieu de vacances pour continuer, jusqu'à la dernière seconde, à ficher le bazar.
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A propos d'Obama et Trump, on peut lire, sur capital.fr : En s’appuyant sur une loi de 1953, Barack Obama a interdit tout nouveau forage pétrolier ou gazier dans de vastes zones maritimes américaines (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : à quatre semaines de la passation de pouvoir, le président sortant américain Barack Obama a interdit de façon permanente les nouveaux forages gaziers et pétroliers dans de vastes zones maritimes des Etats-Unis, sur environ 500.000 km2, au large de l’Alaska ainsi qu’entre Washington et la frontière canadienne. Barack Obama s’est appuyé sur une loi de 1953 autorisant le président américain à interdire dans certaines zones maritimes toute recherche de gaz et de pétrole.
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Capital.fr : Une loi stipulant que les mesures prises dans ce cadre ne peuvent pas être remises en cause par un autre président, limitant ainsi les marges de manœuvre de Donald Trump. Le futur président avait émis des réserves sur la réalité du réchauffement climatique et promis lors de sa campagne d’élaguer les réglementations environnementales et de déréguler au maximum l’extraction pétrolière lors de son mandat. On peut donc craindre une guérilla juridique menée par le camp républicain pour remettre en cause l’offensive de Barack Obama. Les représentants de l’industrie de l’or noir ont déjà vivement réagi, accusant le président sortant de fragiliser l’emploi du secteur et d’ouvrir la porte à un renchérissement de l’énergie pour le consommateur américain, du fait de la perspective d’une offre restreinte, conclut capital.fr (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Cela dit, n'en déplaise à la gauche occidentale, quand Donald Trump accédera à la présidence, le 20 janvier 2017, ce ne sera pas "la fin du monde". A ce propos, Le Journal de Montréal écrit : (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Donald Trump entend transformer l’approche américaine de la politique étrangère. Il prône une approche dite transactionnelle, où tous les enjeux sont constamment sujets à renégociation et où les États-Unis n’hésiteront pas à faire prévaloir leurs intérêts (ndmg - ce qui, soit dit en passant, est parfaitement légitime).
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Le Journal de Montréal : Ce qu’on connaît de l’approche de Trump suggère qu’il n’hésitera pas à remettre en question les normes établies, comme en font foi ses actions et déclarations envers la Chine, ou les principes mêmes qui sous-tendent certaines institutions fondamentales comme l’Alliance atlantique. Si les États-Unis ont pu exercer un certain leadership et contribuer à un semblant d’ordre dans un monde chaotique, c’est entre autres parce que leurs actions étaient menées - même si ce n’était parfois qu’une façade - au nom de valeurs et de principes universels. Trump évacue complètement ces prétentions au profit d’une vision de l’intérêt national, conclut Le Journal de Montréal (ndmg - ce qui, là aussi, est parfaitement légitime). Fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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http://www.capital.fr/bourse/actualites/petrole-et-gaz-barack-obama-met-des-batons-dans-les-roues-de-donald-trump-1195510
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http://www.journaldemontreal.com/2016/12/22/la-fin-du-leadership-global
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Les USA n’ont pas contribué à un semblant d’ordre dans un monde chaotique, mais se sont appliqués à créer le cahot sous de fausses bannières notamment.