Les espoirs les plus fous sont encore possibles pour le gouvernement allemand : le massacre de Berlin n'est-il peut-être qu'un accident provoqué par un chauffeur ivre, si possible polonais ? En tout cas, la télévision d'Etat entretient le suspense.
https://www.tagesschau.de/inland/schalte-berlin-lkw-101.html
Traduction (Claude Haenggli) : Après les attentats de Paris et de Nice, les autorités avaient mis en garde contre des attentats de même sorte en Allemagne. Un camion a maintenant foncé sur un marché de Noël à Berlin. Mais c'est trop tôt pour établir des similitudes, estime la télévision d'Etat.
Claude Haenggl, 20.12.2016/ 23h18
Admettre la réalité arrache des grimaces de douleur à la presse bien-pensante.
Le philosophe Chamfort déclarait il y a plusieurs siècles ” En ( France) , on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et l’on persécute ceux qui sonnent le tocsin.”
En clair , on minimise, on compatit , on excuse les criminels, et l’on diabolise la droite qui ose se rebeller.
Oui, bien juste l’occupant mort dans le camion ne peut être que le chauffeur polonais et le chauffeur fonçant dans la foule un pakistanais ou un afghan. Merkel t’es vraiment dans le pétrin cette fois !
Après ce nouveau carnage islamique pepétré par daesch à Berlin, les allemands vont-ils enfin se réveiller en se rangeant derrière Donald Trump pour éradiquer le cancer mahométan, ou vont-ils continuer à soutenir la criminelle moukère merkel qui a tellement de sang sur les mains, qu’elle semble être la réincarnation de Elisabeth Bathory, surnommée la ” comtesse Dracula”…
Vous les entendez claquer des dents…la peur…les étreint….ils ne peuvent se l’avouer….pas moyen de camoufler un acte terroriste…alors on fait le jeu du doute..pour retarder la colère populaire….
Perdu. Y avait bien un polonais, mais il a (certainement) été assassiné lors du vol de son camion !
Attention, pas d’amalgame, il s’agit d’un cas unique.
https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1_rNT3k2ZXB-f9z-2nSFMIBQKXCs&ll=47.310198623507524%2C7.242737926757854&z=8
Même en URSS ils n’auraient pas osé.