http://www.rts.ch/play/radio/le-journal-de-7h/audio/le-journal-de-7h-presente-par-blandine-levite?id=8174752  (25 novembre 2016)

minutes 9:00 - 10:44

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Bien que le Conseil fédéral puisse décider de mettre fin à l'exercice de la Swisscoy au Kosovo à tout moment, les effectifs ne seront ramenés à 190 soldats que depuis avril 2018, puis à 165 dès octobre 2019. En 2015, la Swisscoy a coûté 44,2 millions de francs. Avec 190 militaires, la facture devrait passer à 37,5 millions de francs par an, puis avec 165 militaires à 33,2 millions.

L’UDC demande que la diminution des frais occasionnée par le redimensionnement de la Swisscoy au Kosovo soit consacrée plutôt au budget « asile », budget qui explose année après année.

Lisa Mazzone, cette jeune  inexpérimentée et tellement prétentieuse, s’y oppose ! Elle veut que la Suisse dépense sur place l’argent ainsi économisé, pour aider les ONG sur place, accompagner les institutions et les mettre en capacité de vivre de manière « apaisée et autonome ».

Mais au nom de quoi les contribuables suisses devraient-ils financer un pays corrompu, un des relais du terrorisme islamiste ?

17 ans d’aide n’ont donc pas suffi ?

Depuis 1999, la Suisse a dépensé des milliards pour l’indépendance du Kosovo et pour des personnes issues de cette région.

Des militants, déformés par l’idéologie marxiste, ont réussi à faire gober aux Suisses :

- qu’il fallait faire partie de l’ONU,

- qu’il ne fallait pas parler des Kosovars très nombreux dans nos prisons et surtout ne pas en tirer les conclusions qui s’imposaient,

- qu’il fallait assister toujours davantage les profiteurs du « social » sans jamais rien exiger en retour,

- que notre mégalo MCR était digne de louanges et de reconnaissance pour la belle image qu’elle donnait de notre pays au monde entier,

- qu’à l’inverse, M. Blocher était une incarnation du Mal à bannir absolument de nos écrans, de nos pensées et de nos journaux.

Actuellement, ce combat titanesque se poursuit, le Patriote suisse est ridiculisé, tandis que les Droits de l’homme sont adulés.

M. Blocher a totalement raison lorsqu’il affirme que l’enjeu le plus important que la Suisse ait jamais connu est devant nous : à savoir gagner la bataille qui veut faire primer le Droit suisse sur le Droit international !

Cenator, 26 novembre 2016