Ca gamberge sec au Parti Socialiste Suisse. Les camarades viennent de lancer une campagne placée sous le thème "Toi aussi, tu en as marre de voir Trump & Co triompher ? Tu veux agir contre le populisme de droite ? Rejoins-nous !" Afin de motiver les troupes, l'affiche précise qu'il y a déjà 150 adhésions depuis les élections aux USA ! Merveilleux ! Ce faisant, la gauche reconnait que le patriotisme a le vent en poupe un peu partout, mettant en scène aux côtés de Donald Trump le Hongrois Orban, la Française Le Pen, le Britannique Farage et le Hollandais Wilders. Implicitement, l'inverse est également vrai. Si le populisme triomphe, c'est que ses adversaires perdent. On s'en était bien rendu compte depuis un certain temps mais ça va tellement mieux si les amis de la rose le reconnaissent.
Fort heureusement, la réflexion s'arrête en rase campagne dans la mesure où les conclusions pourraient être désagréables. En effet, il ne suffit pas de déplorer les succès de l'équipe d'en face, il faut aussi se demander pourquoi précisément l'adversaire gagne. Aller jusque-là ne manquerait pas de poser la question des options défendues par le PS, à savoir plus d'islamisme, plus de migrants, plus d'Europe, plus d'impôts et plus de liberté, ce dernier plus étant entendu au sens suppressif du terme. Peut-être est-ce là l'explication ? Militer pour multiplier les dérogations en faveur d'une religion mortifère, défendre des frontières ouvertes au monde entier, vouloir à tout prix nous imposer l'Europe à l'heure où elle s'effondre, baisser le pouvoir d'achat des travailleurs et faire taire l'opposition, voilà qui ne fait manifestement plus rêver grand monde.
Face à ce constat, on pourrait imaginer une remise en question, un toilettage idéologique pour tenir compte des réalités du moment, surtout de la part d'une formation qui se veut progressiste. Et bien non, bien au contraire, c'est avec un retour au 19ème siècle que Christian Levrat entend remplumer sa formation. Oui, l'avenir de la gauche en Suisse, c'est la lutte des classes. Remplacer le dialogue par la confrontation, voilà un programme qui ne peut que séduire les casseurs qui égaient régulièrement nos rues mais il est probable que cela ne suffise pas à susciter l'enthousiasme général. En passant, le président du PS inflige un cruel désaveu aux syndicats dont il met en évidence l'échec dans leur mission de partenaire social. Nul doute que les très nombreux délégués syndicaux professionnels que compte le PS auront été ravis de savoir ce que leur président pense de leur travail.
Réjouissons-nous néanmoins des options retenues par Christian Levrat. Sûr d'avoir raison même s'il est contesté dans ses propres rangs, le président du PS se trouve désormais dans la peau du capitaine Achab entrainant son équipage dans la mort pour chasser Moby Dick.
En attendant, nous avons encore bien du travail avant de voir les étendards se relever dans le vent. Les internationalistes n'ont pas encore dit leur dernier mot. On entendra encore longtemps Juncker et sa clique se prendre pour les maitres du monde, prétendant expliquer ce qu'il doit faire à Donald Trump. Face à la rébellion générale, seule Simonetta Sommaruga continuera d'aller aux ordres à Bruxelles. Si elle tient tant à remplacer le peuple par la Commission européenne, c'est qu'elle a fait siens les mots du contre-révolutionnaire français Louis de Bonald : "Ce ne sont pas les devoirs qui ôtent à un homme son indépendance, ce sont les engagements". Face à l'UE notamment.
La Côte-aux-Fées, le 23 octobre 2016 Yvan Perrin, président UDC-NE
Rien que leur logo me rappelle les pires heures du bolchévisme. Ce logo est d’une violence inouïe et Levrat se prend pour Trotski maintenant… Ces socialistes sont des dangers pour la sécurité sanitaire de notre pays, j’ai pu constater que la vue d’un socialiste provoquait en moi le syndrome de Gilles de la Tourette, c’est plus fort que moi, des noms d’oiseaux sortent de ma bouche spontanément…
A quand un grand mouvement contre la connerie humaine ???
Contre le populisme de droite Christian Levrat n’a rien d’autre à proposer que la démagogie de gauche ?
Si c’est là toute la somme de ses idées politiques, il ferait mieux de se recoucher avec une bonne grosse dose d’aspirine.
A qui Levrat a-t-il donné des gages si lourds qu’il ne puisse se défaire de ses conceptions désuètes, répétitives, lassantes, profondes à force d’être creuses?
Qu’a-t-il à proposer aux Suisses qui n’ait déjà été seriné par tous es devanciers socialistes ? Rien, le vide sidéral: en voilà une belle politique.
S’il ne reste rien d’autre à ce triste sire que de mettre en balance Trump et ses millions gagnés dans les affaires et Clinton, candidate de Wall Street, et ses millions escroqués à l’Etat et aux donateurs obligés de la fondation éponyme, cela signifie: 1) que les millions socialistes ne gênent pas les socialistes; 2) que l’ennemi des socialistes ce n’est pas la finance, ce sont les sans-dents qui ont élu un républicain; 3) que les conceptions démocratiques de Levrat se limitent à glorifier les socialistes, et leurs électeurs, et à vilipender ceux qui votent autrement: plus de 60% des voix, c’est peut-être du populisme, mais c’est encore et surtout de la démocratie…
Toujours cette verve joyeusement moqueuse et décapante! Encore plus savoureuse quand elle titille un triste sire pour qui j’ai si peu de goût. Merci Monsieur Perrin!
Voici de belles brochettes de bobos made in France et bien-pensants, chagrinés par la pertes subites de leur privilèges indus. http://lesobservateurs.ch/2016/11/20/deneuve-binoche-biolay-une-soixantaine-de-personnalites-disent-stop-au-hollande-bashing/ Et le mêmes passent leur temps à signer pour toutes sorte d’imbécilités qui soutiennent ce fascisme rouge rose vert. “Indignez-vous !” proclamait l’autre cornichon du P.C. Comme si les gens intelligents et occupés par leur travail n’avaient plus que cette activité principale. Avec les votations et les élections balayons ces gauches pourries pour ne pas être induits à le singer en faisant de l’agitation dans la rue et en signant des pétitions illusoires.
Les socialistes devraient se défaire rapidement de ce Lévrat et l’envoyer gagner sa vie comme employé dans une entreprise productrice pendant quelques années pour qu’il devienne un citoyen réaliste, honnête et travailleur.
Alors maintenant en Helvétie il y a ce vilain populisme réaliste de droite qui écoute le peuple et est à son service et il y a le populisme de gauche internationaliste, sentimentaliste et vindicatif qui s’agenouille devant l’UE, les oligarques mondialistes et l’islam-idéologie et méprise le peuple qui comprend pourtant aussi son électorat traditionnel.
Hillary Clinton a perdu parce que son argument principal était que le peuple américain avait besoin avant tout de la défaite de son adversaire.
Trump a gagné parce que son argument principal était que le peuple américain avait besoin avant tout de sa victoire.
Le PSS assume donc la tactique, perdante, de Clinton, qui est celle des antifas, de ne rien proposer d’autre que de détruire l’adversaire diabolisé, laissant la route de la victoire ouverte à tous ceux qui auront des projets et des solutions à proposer.
Bon débarras, même si les troubles sociaux que la gauche sait si bien provoquer ne manqueront pas de parsemer le chemin de sa disparition maintenant annoncée.
Les peuples occidentaux commencent à se rebeller contre les élites bien-pensantes qui leur imposent la mondialisation à outrance synonyme de dumping salarial et chômage, une immigration massive synonyme d’islamisation et profonde régression, un politiquement correct synonyme de dictature étouffante…. en fait, par “agir contre le populisme de droite”, il faut comprendre “défendre les privilèges de sa classe”, classes des bobos bien-pensants et patrons exploiteurs qui vivent très bien de la mondialisation, eux, et qui importent massivement des migrants à exploiter ou pour faire tourner l’industrie de l’asile et se préparer des électeurs favorables aux payeurs d’allocations.
Et tout ça en se fichant complètement du futur de leurs enfants et petits-enfants !
Pourvu que ce boulet ne se fasse pas débarquer par ses camarades. Un tel imbécile est précieux lorsqu’il joue dans l’équipe adverse.
Un petit bourgeois, comme le sont la plupart des pontes du PS, qui veut la lutte des classes?
Décidément, on aura tout entendu dans la bouche de ce monsieur.