24 heures du 11 novembre 2016 consacre aux MNA sa manchette :
« Requérants mineurs: situation intenable dans les foyers d’accueil »,
son éditorial (p. 2) : Etre bon élève n’est pas suffisant
et un grand article (p. 25-26) : Sept tentatives de suicide parmi les requérants mineurs
*************
Le vendredi 11 novembre, alors que toute l’attention des médias est accaparée par les élections US, nous apprenons que le budget MNA du canton de Vaud passera de 4,9 millions à 8 millions. Hier soir (15.11.16), au TJ de 19h30, nous apprenons que le budget de l’EVAM (Etablissement vaudois d’accueil des migrants) va doubler en 2017.
En 2015, la Suisse a accepté 2740 MNA, six fois plus qu’en 2014, alors qu’en 2016, leur nombre serait de 1707 jusqu’au novembre, autrement dit un requérant d’asile sur quatorze serait un mineur.
Certains cantons n’ont aucune structure dédiée aux MNA. La journaliste Stéphanie Arboit, sur deux pages , développe son raisonnement et expose notre prétendue lourde responsabilité envers ces enfants que nous devrions traiter aussi bien que les « nôtres ».
Alors que les normes du Service de protection de la jeunesse sont de 1 éducateur pour 3 enfants, l’EVAM dispose d’un éducateur pour 6 enfants… « alors qu’ils ont traversé l’enfer ».
Dans le canton de Vaud, il y a actuellement 270 mineurs non accompagnés (MNA), dont 207 hébergés dans des foyers ad hoc. En 2015, il y avait 45 MNA hébergés en foyer.
L’EVAM dispose cette année de 384 plein-temps, dont 33 sont affectés aux MNA, soit 8%-9% des collaborateurs alors que cette population représente un pourcentage bien moindre.
De plus, deux foyers viennent de s’ouvrir depuis avril, portant à cinq le nombre de ces structures pour MNA. Mais le nombre des centres d’accueil semble insuffisant. Le budget cité plus haut ne comprend pas les frais liés à l’enseignement, aux soins médicaux pour ces chérubins exotiques, les frais (élevés) de justice, de police et d’incarcération… ni bien sûr les divers frais en aide sociale pour ces futurs assistés à vie.
La journaliste nous sert un long fleuve de sanglots :
« …Leur famille leur manque. Ils ont été envoyés avec une sorte de mission: dans le meilleur des cas, s’en sortir en se construisant un avenir meilleur. Dans le plus lourd des cas, renvoyer de l’argent. »
Nous apprenons qu’il y a des bagarres au couteau et que la police est appelée dans ces cas pour « désamorcer » les conflits, que « beaucoup de ces mineurs sont révoltés du décalage entre leurs espoirs de ce qu’on leur avait promis et la réalité. »
« Ils ont 13 ans et demi. Des gosses. Mais qui ont vu pendant leur périple pour rejoindre la Suisse plus de misère que d’aucuns, nés sous nos latitudes, n’en verront jamais en toute une vie. »
« …sept d’entre eux ont fait une tentative de suicide. Geste de révolte, de désespoir, mais aussi appel au secours. »
En 1995, le service des réfugiés, FAREAS, l’ancêtre de l’EVAM, a mis en place un service MNA avec 2 pleins-temps pour une soixantaine de mineurs, dont un tiers habitaient en réalité avec leur parenté. Actuellement il y a plus de 270 MNA et l’EVAM emploie 33 pleins-temps.
L’arrivée de ces mineurs n’a strictement aucun rapport avec les conflits dans le monde. L’offre suisse est maintenant connue en Erythrée, en Somalie, et dans chaque pays africain… et des parents de ces pays envoient leurs enfants « faire carrière » chez les Suisses qui sont riches et accueillants, tout comme une famille britannique envoie son rejeton à Eton College !
Souvent, il s'agit de personnes ayant un passé de délinquant, avec des problèmes de trouble de la personnalité.
Les MNA font des tentatives de suicide, ils seraient malheureux en Suisse… Mais le problème, c’est que leur adaptation à notre société a échoué ! Nous avons eu 25 ans de recul pour constater cela ! Leur encadrement est ruineux… et leur nombre explose !
Comment répondent nos élites « de gauche » à cette réalité ?
Donner plus d’argent de poche à ces jeunes clandestins, créer plus de structures, offrir toujours plus pour agrandir la machine a aspirer les clandestins « migrants ». Aucune limite n’est posée puisqu’il s’agit du respect du droit de l’enfant, de l’homme…
Le problème est que le réservoir de ces mineurs (et des faux mineurs) est infini, mais l’argent des contribuables ne l’est pas.
La seule manière de mettre fin à ces abus, à cette mascarade du droit d’asile, c’est de le supprimer purement et simplement.
A l’origine, le droit à l’asile politique était destiné aux personnes ayant mis leur vie en danger à cause de leurs opinions politiques. La gauche s’est emparée de la cause des « réfugiés » pour des raisons électoralistes, parce qu’être de gauche, c’est vivre sur le sentiment de la culpabilité des citoyens (et, en passant, de leur argent).
De la même manière, les gauchos grappillent partout où ils peuvent l’argent public car le but, la moralité, les principes d’un gaucho se résument à l’ambition d’être élu à un poste bien rémunéré, puis de s’y maintenir le plus longtemps possible. Ils s’adaptent à n’importe quelle réalité, mutent s’il le faut, et comme des virus, ils parasitent nos sociétés.
Un exemple de cette mutation: l’ancienne appellation FAREAS comportait encore un « R » pour « requérant d’asile ». Mais comme l’invasion actuelle n’a plus grand-chose à voir avec les lois de l’asile pour les réfugiés, ils se contentent de renommer l’institution, qui devient EVAM, où le « M » pour « migrant » remplace le « R » !
La grande majorité de ces MNA seront des assistés, des fournisseurs d'emplois aux psychiatres et, au mieux, ils navigueront, toute leur vie, entre petits boulots et chômage-assistance sociale et seront à la charge des contribuables ou encore ils basculeront dans la criminalité, laissant plus de victimes sur leur passage que tous les Suisses réunis de leur génération.
Nous apprenons au TJ de ce soir (15.11.16) que 60%-80% des MNA présentent des troubles psychologiques.
Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des analphabètes, des irrécupérables !
Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des jeunes déjà délinquants chez eux !
Mais le TJ ne nous indique pas… le pourcentage des jeunes djihadistes formés par l’EI !
Comme tous ces MNA sont appelés à rester en Suisse (le TJ dit « devenir suisse »… ce qui restera quand même bien relatif), il faudrait faire d’eux une priorité pour y mettre les moyens.
La priorité serait plutôt de cesser d’augmenter les moyens pour les accueillir, et de les renvoyer chez eux manu militari… car un pays mettant ses priorités au soutien de n’importe quel profiteur débarqué, prétérite gravement sa population actuelle et à venir, qui devra assumer les conséquences d’une pareille irresponsabilité !
Cenator, 16 novembre 2011
Image : jeune coucou dans un nid de fauvettes – extrait de cette vidéo.
C’est un coup monté de toute pièce, puisque ça arrive seulement dans le canton de Vaud et surement du même centre, un adulte du système leur a fait comprendre que pour avoir plus, il fallait le faire, parce qu’avec les bobs qu’il y a dans cette institution, on peut s’attendre à tout. De plus aucun ne vient de région de guerre, étonnant non. La meilleur chose à faire c’est le rendre à sa famille non. C’est presque un enlèvement que de le garder de force ici. Et comme dit plus haut, il sont envoyés en mission, rien à voir avec guerre, mais pour profité d’un système en pleine déliquescence que celui de l’asile, une mascarade sans nom qui doit être d’urgence remanié de font en comble. La phrase qui en dit long sur la bouffée d’air qu’a lancé Merkel (beaucoup de ces mineurs sont révoltés du décalage entre leurs espoirs de ce qu’on leur avait promis et la réalité).
J’ai passé 22 ans de ma vie en Afrique …et vu tant d’injustice, de barbarie, de désastre et une démographie explosive irresponsable qui crée la misère et entraine obligatoirement des conflits pour la nourriture, la terre, l’eau etc…et pousse à l’émigration vers l’Europe.
Toutes les familles Africaines tiennent à avoir un fils , un frère , un père ou un oncle en Europe pour les aider ( c’est une discussion récurrente dans toutes les familles) .
Aimer son enfant, c’est le confier à des passeurs afin qu’il rejoigne l’éden Européen où il pourra avoir un avenir et vivre dans l’abondance en évitant la misère et le reste…
Si les Suisses veulent être généreux, le flot ne tarirat jamais …l’Afrique a doublé ces dernieres années et redoublera dans les années à venir pour atteindre 2,4 milliards bientôt.
Si les Européens ne changent pas leurs lois, ils vont être submergés et dépenseront de plus en plus d’argent jusqu’à se ruiner, tout en important de graves problèmes ingérables.
La solution est de ne plus permettre l’installation définitive d’enfants mineurs, mais les raccompagner à leur majorité chez eux ou changer la loi. Sans ces dispositions, ce traffic ne s’arrêtera jamais…
C’est le même problème avec les soit disant ” réfugiés” qui détournent le droit d’asile et qui partent en vacance chez eux dès l’obtention du statut, comme ce fût récemment le cas des Erythréens.
Il faut arrêter cette immigration économique illégale…si rien de courageux n’est fait, le prix à payer sera très lourd et socialement irréparable pour les pays d’accueil.
Et les suicides chez nous, qui en parle ? Je trouve la vidéo avec le nid tellement réaliste. C’est un vrai plaisir de l’écouter.
Il existe de nombreuses vidéos d’ interviews de ces pauvres égarés. Certains sont incontestablement encore des gamins. Ils ne manient pas encore la duplicité. Leurs prétentions sont tellement ubuesques, qu’aucun média n’a encore osé les publier, du moins sans les censurer. Ainsi certains affirment qu’ils ne sont pas venus jusqu’ici pour porter des habits à la mode ou pour manger, mais qu’ils visent bien plus haut compte tenu de l’étendue leurs droits.
Est-ce que les réfugiés boat-people, qui avaient eux aussi vécu des atrocités au Viet-Nam, se sont -ils singularisés par la délinquance, les revendications, la paresse endémique et l’inemployabilité?
Deuxièmement, les MNA actuels ne sont-ils pas déçus par leur séjour en Suisse car ils n’ont pas, encore, reçu de Mercedes et d’appartements avec vue sur le lac, tous frais payés et télé grand écran de surcroît ?
Lorsqu’on vit de la charité publique, on la ferme et on ne revendique pas.
L’islam me fait penser à un puck de curling se dirigeant vers l’Occident, et ceux qui polissent la glace sont les gauchistes et les bien-pensants et autres évangélistes.
Dans tous les pays ces migrants ont découvert que le statut de mineur leurs donne des avantages évidents sous l’angle délits-justice-police soins de santé et jeunes aides locales prête à être violées pour une urgence sexuelle. Donc ce statut est recherché pour échapper aux sanctions de comportement pénalement délictueux. Ce qui bien évidemment encourage des majeurs à se profiler comme mineurs et encore plus des terroristes. Mais nos bonnes âmes admettent toute cette faune d’imposteurs sur parole et il faut vraiment que les délits soient très grave pour qu’un examens médical permette de découvrir la supercherie. Toutes l’industrie de l’immigration courtise ce type de client, les primes d’assurances pour les enfants son nulles, des officines du business des permanences médicales ne peuvent délaisser un tel potentiel d’investigations, de bilan de santé et même psychiatrique ce qui gonfle ainsi leur chiffre d’affaires sur le dos des cochons de payants qui eux subissent les hausses de primes sans fins. Des enfants… quelle honte de calculer ainsi .. on les entend déjà ces bonnes consciences qui s’épanouissent près du tiroir-caisse, la Sommaruga en tête.
La barque est plus de pleine et elle va finir par couler si ça continue comme ça. On n’a pas besoin de charger encore le bateau avec ces piranhas mal élevés, nuisibles, irrécupérables et ruineux. Qu’on les laisse de manger entre eux. Lors de la guerre du Sonderbund, l’Afrique et le Moyen-Orient ne sont pas venu aider la Suisse. On a su se dém….. tout seul et construire une vraie nation, par nous-mêmes. On ne leur doit absolument rien. Au contraire, la plupart d’entre eux ne sont que des sales profiteurs, des menteurs, des tricheurs et des criminels en puissance. Que ces parasites d’immigrationnistes – le cancer de notre nation – s’enfoncent bien ça dans le crâne!