Joseph Anticevic, 47 ans, était au Bataclan le 13 Novembre, où il a perdu sa femme.
«Cette haine que j’essaie de contenir de toutes mes forces à chaque instant, je ne peux pas la cracher, je ferais peur à tant de monde. Mon discours dérange.» Il se dit lui-même «inécoutable», les mots «fraternité» et «vivre ensemble» lui donnent la nausée.
Il fait souvent le même cauchemar. La nuit, le jour, n’importe quand. Parfois, les images surgissent au milieu d’une discussion, sans prévenir. «Je me revois en train de marcher sur les cadavres pour m’enfuir. Le plus dur, ce n’est pas la vision, mais la sensation. Marcher sur des corps, le sang jusqu’au mollet, cette sensation est horrible.» Son visage grimace, puis se referme. Il dit : «Mon problème, c’est d’avoir survécu.»
Que le Bataclan rouvre aujourd’hui ses portes le rend complètement dingue. «Je tourne en rond depuis une semaine. Cette idée que des gens puissent faire la fête à l’endroit où elle a été assassinée, je ne peux pas le supporter. J’ai la rage.» Il voulait se pointer à l’ouverture avec une pancarte «Bon concert, amusez-vous bien». Ses amis l’ont dissuadé : «A quoi bon. Laisse faire, les gens sont passés à autre chose. Calme-toi, Jo.»
Il parle de cette société dans laquelle il ne se reconnaît plus, de ces discussions qu’il n’arrive plus à tenir parce que les gens «de toute façon ne peuvent pas comprendre». Il mime avec un certain talent (on a ri) ces personnes bien intentionnées qui posent leurs mains sur les siennes et disent avec compassion : «Sois fort, Jo, tiens bon. Pour les enfants.» «Comme si j’avais le choix, comme si je pouvais m’écrouler.» Ou bien ces «salut, ça va ?» que l’on dit par automatisme, forcément maladroits. Parfois, il arrive à répondre avec humour : «Oui, écoute, là, ça va super bien. Comment te dire, au top.» D’autres fois, il collerait bien des pains.
Tiens, un témoignage qui a échappé à la censure. Je suis certain que la grande majorité des victimes partagent les sentiments de ce monsieur. Mais au nom de la bien-pensance, on les tient à distance. Encore combien de temps ?
Pas de miracle, nous devons eradiquer l’islam hors d’Europe, si nous voulons que nos peuples survivent, et repondre oeil pour oeil, dent pour dent, il y a assez de batards en soutanes dans nos rues!
Total respect et soutien à ces familles qui se révoltent et qui ne trouvent pas normal qu’un des leur ait été amené à l’abattoir en remerciant ses bourreaux avec pour seules armes des bougies réchaud et des feuilles de papier couvertes de grands coeurs….
Inshallah….dans un lieu où des dingues ont hurlé Allah Akbar….et on fait un bain de sang…
Il faut être fou à lier où se moquer à doses de cheval…des victimes….pour en arriver là…
En fait…c’est simplement nier la réalité…
Il y a de paix…que quand il y a justice….Hors, le type qui a conçu l’horreur est dans une cage dorée à qui on fait ses 36 volontés de peur de déclencher la crise d’hystérie, abonné au mutisme….et un procès à la St Glinglin. De l’argent dépensé pour des cacahouètes….
Lui infliger le même sort qu’il a imaginé envers ces innocents.
Le même style imbecile que d’accepter la construction d’une grande mosquée à Ground Zéro…
(Qui a été combattue)…Qui sont ces dhimmis à l’état pur?
Tant que ces fous d’Allah opèrent…il ne faut aucune reddition…c’est leur faire la part belle.
Si ces tueries barbares ont pu avoir lieu en France, c’est grâce à nos responsables politiques, aux bonnes âmes humanistes, aux gauchistes et même à une partie de la population restée passive devant cette immigration Africano-Arabo-musulmane qui est devenue, par le nombre une véritable invasion/colonisation/islamisation qui s’est ghétoisée, communautarisée pour devenir le terreau de ce Djihadisme sanguinaire.
Quand on installe dans son pays ce puzzle mortel ( ghettos où poussent mosquées, écoles coranique, fanatisme, salafisme, Whahabisme, foulard, burqa, halal, ramadan etc…), même si 95% des musulmans pratiquent leur religion pacifiquement , l’expérience montre qu’il y a toujours une infime partie qui passe à l’action , tout simplement pour appliquer certains versets Coraniques belliqueux et criminels qui valorisent et légitiment le Djihadisme au nom d’Allah .
C’est l’expérience et l’observation de 22 ans passés dans des pays Arabo-musulmans…Il faut au moins cette durée d’immersion dans les sociétés arabo-islamique pour comprendre le processus et la puissance d’embrigadement de cette religion.
Ce n’est certainement pas un cas isolé : on dit que de nombreuses familles de victimes ont refusé que le nom de leurs membres tués par les fanatiques musulmans ne figure pas sur les laques que le lamentable élyséen a dévoilées le 13 novembre. Ce qui est étonnant, c’est que le journal bobo fasse état de la révolte d’un homme contre ces manipulations déshonorantes.
Jo, je vous comprends, mais je suis convaincu que la réouverture du Bataclan est indispensable pour bien montrer à ces saloperies de barbus qu’ils ne nous abattront pas.