Christian Hofer: En d'autres termes, le démantèlement des acquis sociaux des Européens afin de les mettre en concurrence avec les moins exigeants... Voilà donc l'enrichissement que l'on nous promettait, celui qui est réservé aux riches tout en faisant peser le poids des problèmes générés par l'immigration de masse sur la population autochtone, ses impôts, sa sécurité, au péril de ses traditions.
**********
Le patron d'Airbus, l'Allemand Tom Enders, appelle son pays à plus de flexibilité sur son marché du travail, une nécessité, selon lui, si l'on veut intégrer les migrants dans le pays.
L'Allemagne, qui s'attend à accueillir jusqu'à un million de migrants en 2015, devrait être plus "pragmatique" et leur ouvrir plus largement son marché du travail, écrit Tom Enders dans un contribution au journal allemand Süddeutsche Zeitung parue ce lundi 26 octobre.
"Nous devrions avoir le courage de (le) déréguler", poursuit M. Enders, prenant pour exemple le modèle mis en pratique aux Etats-Unis."Cela peut paraître difficilement imaginable maintenant. Mais aux Etats-Unis, les migrants sont intégrés avec succès parce qu'on les autorise à travailler très vite après leur arrivée", poursuit le patron d'Airbus Group.
Un travail précaire préférable aux allocations, selon le patron d'Airbus
Il propose ainsi de faire des aménagements dans le salaire minimum, introduit en Allemagne en début d'année, et de faire preuve de plus de flexibilité dans les contrats à durée déterminée.
"Des centaines de milliers de jeunes personnes dans les centres de réfugiés ne devraient pas être condamnés à (...) ne rien faire. Ils ne trouveront une porte d'entrée sur le marché du travail que si nous l'ouvrons et le rendons flexible", poursuit-il.
"Il est préférable pour eux d'entrer sur (ce) marché (...) par le biais" de petits emplois peu rémunérés "que de ne pas avoir de travail, de vivre des allocations et d'être condamnés à l'oisiveté et à la frustration", estime-t-il.
Un temps prompts à s'enthousiasmer pour l'arrivée de centaines de milliers de réfugiés, les milieux économiques et industriels allemands se sont récemment faits plus frileux, s'inquiétant notamment des coûts et des effets sur le marché du travail.
” On voudrait qu’on soit intelligents et on nous prend pour des cons !…mais comment on ferait alors ?!…” Notre regrété Coluche
Quel est le salaire de Monsieur Hofer?.
Que seront tentés de faire des migrants musulmans détestant l’Occident et voulant atteindre le paradis entourés de 72 vierges pour avoir fait disparaître 300 passagers chrétiens d’un Airbus en plein vol ? Oh, c’est pas de chance, des écrous se sont malencontreusement dévissés à 10’000 mètres d’altitude. Ou des hublots ne sont détachés. S’ils font ça, je ne prends plus l’avion.
En outre, c’est vrai qu’il n’y a pas de chômage en Europe. Interrogez les jeunes Espagnols.
enders , bientôt un tribunal pour ce genre de crapule ?
Intégrer les envahisseurs dans des airbus, pas de détecteurs d’explosifs à l’embarquement, destination transatlantique, tout pour s’éclater, que du bonheur.
… et Airbus deviendra, ainsi, le No. 1 des constructeurs de sous-marins dans le monde !
Ce qui ne semble pas provoquer l’enthousiasme général.
un marché du travail plus souple…..ben ça on le savait déjà….pour l’économie la classe moyenne est trop moyenne à leurs goût…..plus souple c’est payer moins pour plus de travail et virer les gens directement sans souplesse
Avec leslicenciements annoncés je trouve le comportement de ce monsieur plutôt cavalier !
Et comme les cadres sup d’Air France, mais lui en référence à Saint-Martin, il est prêt à craquer son costard volontairement pour le partager ! Ah le saint homme, vive la révolution ! arrêtez moi, je vais me convertir !
Pour ma part, je trouve que, à qualification égale, le salaire doit être égal. Combien de manoeuvres peu ou pas formés travaillent dans nos entreprises ? Chez Airbus, il y a sûrement assez de tâches à exécuter, qui ne demandent pas un niveau de formation élevé. Cependant, je trouve aberrant que l’on veuille exploiter les migrants. S’ils sont payés au même tarif que les ouvriers européens, on peut exiger d’eux qu’ils paient tous les frais qu’ils engendrent, qu’ils soient assurés et traités exactement comme tous les citoyens. C’est sans doute un des seuls moyens de mettre fin au marasme actuel. Ne pas hésiter non-plus à renvoyer systématiquement les parasites et refuser d’accepter des hommes seuls, en provenance de pays africains sûrs, qui ne viennent que pour profiter de notre système.
Qui oserait prendre un avion construit ou révisé par des analphabètes du Soudan ou dont le système de sécurité a été contrôlé par un bédouin de Tunisie?
Non, arrêtez vos balivernes: ces soi-disant diplômés n’en ont qu’un, celui d’assisté à vie.
Bien sûr cet esclavagiste des temps modernes et ses petits copains ne risquent pas de perdre leur emploi, eux !
Mais quel toupet qu’un mec certainement surpayé fasse ouvertement la promotion d’emplois peu, très peu rémunérés !
Et combien va-t-il en engager de ces ingénieurs chez Airbus ?
On connaît nombre d’entreprises qui ont disparu pour avoir eu l’idée saugrenue de compter sur l’immigration quantitative ou lieu de qualitative. Si les avions tombent ne cherchez pas plus loin !
On se demande par ailleurs de quelle utilité seraient des bédouins illettrés pour Airbus ?