Alors que la distribution de repas chauds pour des migrants, des mendiants et d’autres marginaux va dépasser largement les 70’000 cette année à Lausanne, et que le nombre des associations de bénévoles n’a cessé d’augmenter, et les subventions avec, 24 heures des 29-30 octobre 2016 consacre une page entière aux associations en question (1).
Ce que cet article ne précise pas, c’est qu’après une journée de travail pénible, passée à vendre de la drogue dans la rue, nos dealers africains épuisés et affamés sont réconfortés sur place (2) avec nourriture chaude, distribution de vêtements, etc., prestations prodiguées par une armée de bénévoles venant directement sur leurs lieux de travail. Et comme le trafic de drogue s’étend toujours plus loin dans la ville, les gauchistes sont bien obligés de multiplier les centres de distribution pour ne pas fatiguer les bénéficiaires avec des trajets.
Pourquoi cette explosion des associations et du nombre des bénéficiaires (3) ? Est-ce que plus de Suisses sont à la rue ? Que nenni. Le nombre des gens « de chez nous » n’a pas cessé de baisser alors que le nombre des requérants d’asile, des déboutés, passés dans la clandestinité, n’a cessé d’augmenter. Avant la libre circulation, il n’y avait pas de voyages organisés de Tziganes qui venaient, par villages entiers, mendier dans nos rues… En Afrique, des villages entiers se vident de leurs jeunes hommes qui partent vendre en réseau organisé de la drogue en Suisse.
L’offre créant la demande et inversement, nous avons maintenant une pléthore d’organisations, anciennes ou nouvelles, comme l’Armée du Salut, la fondation Mère Sofia (Ada Marra présidente), l’abri PC de la Vallée de la Jeunesse, le Pastorale de rue, le Point d’eau, le Collectif Jean Dutoit, l’Espace, la Soupe, le Sleep-in, l’Usine, La Marmotte, le Passage, l’unité du CHUV pour populations vulnérables (prodiguant soins et médicaments gratuits, soins dentaires compris), et j’en passe… tout ce beau monde touchant des subventions substantielles, lorsqu’elles ne sont pas financées entièrement par les contribuables. Et le nombre des requérants d’asile déboutés mais non expulsés, «disparus dans la nature», recouvre chaque année un peu plus nos villes. Lausanne est champion suisse en matière de non-exécution des renvois.
D’une manière très organisée, après la distribution, chacun des trafiquants retrouve sa place, en centre ville et sur les artères qui s’en éloignent.
Que se passera-t-il lorsque les dizaines de milliers d’illégaux et de déboutés ne pourront plus être bichonnés de la sorte? Il est certain qu’ils ne plieront pas pacifiquement bagage pour rentrer au bled. L’infinie générosité et le laxisme à leur égard ne suscitera jamais en eux ni reconnaissance ni compréhension. La mentalité des pays d’origine des trafiquants de drogue fait que dans leurs têtes l’homme blanc est coupable et responsable de tous les maux de leur continent, et ils nous méprisent pour notre faiblesse. Et la pléthore des œuvres de bienfaisance ne fait que renforcer leur conviction : si nous faisons tout cela pour eux, c’est parce que nous sommes bien coupables.
Et que peut-on attendre de ces individus, totalement inadaptés à nos modes de vie, qui arrivent avec de faux papiers, de faux prétextes… demandant l’asile pour ensuite s’adonner à des activités délictueuses?
(2) « …Minuit va sonner. La maraude s’est établie à la place Chauderon. Elle se fait plus discrète, la police tolérant moins l’action des bénévoles lorsqu’il s’agit de venir en aide aux migrants. Les mines sont soudain graves: il reste beaucoup trop de nourriture à distribuer ce soir***, et les Africains qui prennent la camionnette d’Ingrid pour une cabine d’essayage sont gavés. Personne ne répond au téléphone dans l’usine squattée à Romanel par les migrants et le Collectif Jean Dutoit. Personne non plus au Sleep-In de Renens. «Ce n’est en tout cas pas moi qui jetterai tout ça à la poubelle. Cela me fait trop mal au cœur» assure Giny. Les sandwiches seront finalement mis de côté pour la maraude suivante qui ne tardera pas. Elle aura déjà lieu le lendemain soir. » (1)
(3) «En février 2008, nous servions 3751 repas et, en février 2016, nous passions à 6145, soit un bond de 129 à 212 repas par soir. Nous constatons une progression constante du nombre de nos bénéficiaires, tout comme du reste nos partenaires dans le réseau….» http://www.gauchebdo.ch/2016/03/10/11651/
Réflexions françaises sur le même sujet :
http://leplouc-emissaire.blogspot.ch/2016/10/lassistanat-social-bidon-stade-supreme.html
Cenator
http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Des-trafiquants-de-drogue-chouchoutes-dans-la-rue-24638264
C’est scandaleux.
http://www.20min.ch/ro/news/geneve/story/Une-petition-s-oppose-au-logement-de-180-migrants-18254649
En fait, le message subliminal diffusé par ces bien-pensants est le suivant:
” En Suisse existent des lois sur le droit au séjour, la protection des biens , le trafic de stupéfiants, etc. Mais ces dernières ne concernent que les Suisses et les étrangers intégrés. Les contourner est un droit. Nous vous y aiderons par tous les moyens, illégaux s’il le faut.
Avant d’être des clandestins, des voleurs et des dealers, vous êtes avant tout nos frères humains.
Et à ce titre, nous sommes disposés à trahir notre nation au profit de ceux qui la saccagent.”
Merci qui ? Au syndic Junod et à ses acolytes, à leur laxisme sans bornes ! Il faut destituer ses parasites, d’une manière ou d’une autre !