NDLR. Nos lecteurs nous écrivent.
Jusqu'à présent, les Autrichiens avaient cru
- que les demandeurs d'asile déboutés avaient à quitter le pays le plus rapidement possible
- qu'ils ne recevaient plus d'aides matérielles
- que ceux qui obtenaient frauduleusement des subventions ou même l'asile étaient sévérement punis
Ce n'est pourtant pas le cas, ainsi que le ministre de l'Intérieur autrichien vient de l'avouer, justifiant ainsi les critiques formulées par le parti libéral FPÖ du candidat à la présidence Norbert Hofer, traité jusqu'à présent par les médias de "raciste" pour les doutes qu'il avait exprimés à ce sujet.
Traduction:
En fait, ce que les immigrants illégaux reçoivent n'est pas aussi plantureux que les allocations attribuées à ceux qui ont reçu l'asile (s'ils ne travaillent pas, ce qui est la plupart du temps le cas). Toutefois, les allocations de base qui leur sont attribuées en Autriche représentent toujours beaucoup plus que ce qu'ils gagneraient dans leur pays d'origine. Elles sont par conséquent si attractives que les demandeurs d'asile déboutés n'éprouvent aucun désir de repartir.
www.andreas-unterberger.at/2016/10/das-geheime-schlaraffenland-fr-vlkerwanderer/
Commentaire (Claude Haenggli) : Qu'en est-il en Suisse ? Il faudrait poser la question à la Mère Theresa des clandestins, Madame Sommaruga.
Claude Haenggli
Norbert Hofer président !
Même chose en Suisse non?