L’invasion en direct

Le 20 octobre dernier, dans le train Viège-Lausanne, le « film réel » du début de carrière d’un jeune requérant d’asile africain s’est déroulé au su et au vu des voyageurs.

Un jeune Africain se trouvait sur le quai de gare avec un gros sac poubelle plein à craquer et une valise ouverte, étalant son contenu au vu de tout le monde. Une bouteille d’alcool cassée, remplie d’une matière brune épaisse, parmi des vêtements en vrac, était l’objet de sa préoccupation. Ce jeune homme avait un petit air de « fraichement débarqué en Suisse ». Il avait des bouts de papier dans un cornet en plastique avec les documents qu’on remet aux requérants d’asile dans les centres d’enregistrement… et un téléphone portable, qui fut le centre de son attention durant le voyage jusqu’à Lausanne. Un couple âgé le regardait d’un air ébahi pendant ses appels, couple auquel cet Africain jetait parfois un regard haineux.

Le contrôleur, après avoir regardé son téléphone, a échangé quelques mots avec lui puis, avant d’arriver à Lausanne, est revenu pour lui redire quelques mots.

A Lausanne, le «fraichement débarqué» était attendu par des gens ayant un air du «Collectif R».

 

En remarquant la présence incongrue de cet Africain dans le paysage local, les questions suivantes jaillissent d’elles-mêmes :

- Combien de ces vaillants jeunes soldats déboulent sur notre sol chaque jour ?

- Combien vont-ils coûter aux contribuables dans les décennies à venir ?

- Qui a organisé son voyage, comment et par quel financement ?

- Quels seront les délits qu’il commettra ?

- Quelles sont les diverses pathologies qu’ils nous apportent généreusement (HIV, etc..) et qui seront soignées aux frais des contribuables ?

- Quels sont ses objectifs, qui est-il RÉELLEMENT ?

- Combien de ce genre « d’enrichissements » foulent quotidiennement le sol de notre merveilleux pays ?

- Comment tout cela va-t-il se terminer… et quand va commencer « le début de notre fin » ?

- Notre civilisation survivra-t-elle à cette invasion ?

- Pourquoi la population fait-elle semblant d’ignorer ce qui se déroule sous ses yeux, et ne réagit-elle pas pour barrer la route à cette invasion mortifère ?

- Comment faire prendre conscience aux Suisses de la réalité suicidaire de cette invasion, de leur « mise en esclavage » par les gauchistes ?

 

Tout ce désastre incommensurable qui se prépare est la faute des gauchistes, des médias, des élus sans scrupules, des ennemis de la Suisse… mais également de tous ceux qui détournent les yeux, qui n’ont pas le courage de regarder les choses en face et qui attendent que les problèmes se résolvent tout seuls, sans que cela leur coûte rien ni qu’ils soient impliqués.

Un commentaire

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.