A relire: Genève : Des étudiants sommés de laisser leur logement aux migrants
On ne saurait trop conseiller à ces étudiants de l'IHEID de laisser leurs logements à ces migrants, pour commencer.
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«Les réfugiés sont les bienvenus, mais pas vous, Herr Hofer!» C’est un accueil des plus hostiles qu’ont réservé hier soir les étudiants de l’Institut des hautes études internationales et du développement (IHEID) au politicien autrichien d’extrême droite Norbert Hofer, venu à Genève débattre de la crise migratoire avec – notamment – José Manuel Barroso, qui présida la Commission européenne de 2004 à 2014.
A chacune des prises de parole du candidat à la présidentielle autrichienne, une nuée d’étudiants disséminés dans un auditorium bondé brandissaient en silence des feuilles A3 portant des slogans sans équivoque: «Non à la xénophobie!» «Plus jamais ça!» «Dignité pour tous!» «Pas de morts en mer!» Et tout au long du débat, on entendait les manifestants vociférer à l’extérieur de cette salle de 600 places, tout en faisant résonner des coups sourds…
De quoi se plaignent-ils ces suppôts de “No border et welcome refugee”….ils DOIVENT OBLIGATOIREMENT ETRE SOLIDAIRE…un peu de cohérence les théoriciens “antifa”….Cédez vos logements et allez étudier dans des unis en Afrique pour un “érasmus solidaire” !
DEU :
http://www.20min.ch/schweiz/tessin/story/31097472
@Ralebol
C’est exactement ça, confronté à la réalité. Loin des grandes théories. On va pas aller très loin avec cette équipe.
Et bien les voilà confrontés à la dure réalité. Loin des grandes théories.
Il faudrait accueillir les réfugiés dans les universités et envoyer les étudiants travailler.
Tout à fait Bussy; ils huent Hofer qui ne pense qu’à sauvegarder son pays mais n’ont pas une seule critique à l’encontre de Goldman Sachs responsable de la ruine de milliers de gens et représenté ici par Barroso.
Pauvres petits étudiants crédules et manipulables que voilà!
Par contre, ces zélites en formation n’ont apparemment rien eu à reprocher à Barroso…. !
Quel monde de ploucs, arrêtez la terre, je veux descendre !