Un garçon de 13 ans d'Amsterdam était le seul enfant blanc dans sa classe. Et cela n'a pas été facile. Il a été maltraité et victime d'intimidations. L'adolescent a tenu pendant deux mois complets mais il s'est alors effondré.
Ses camarades de classe ne parlaient que le turc et le marocain. Le garçon n'avait pas de lien et était encore seul à la cantine.
La semaine dernière, il est revenu la maison en pleurant. "L'école n'a pas pu lui offrir un environnement sûr. Nous avons alors décidé de le chercher à l'école", a déclaré Peter van der Lichte, père de l'enfant victime d'intimidation à RTL Nieuws. Les parents de l'enfant avaient choisi le Collège Waterland parce qu'il y avait un département de sport.
"Il n'a pas été dit lors de l'entrevue d'admission que Mees serait le seul garçon blanc. (...) "Mon fils a vraiment fait de son mieux, mais cela n'a pas suffi."
"Vous ne souhaitez pas utiliser le mot, mais c'est de la discrimination", ajoute la mère Trudy."
Source Traduction Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
AH! je comprends mieux pourquoi, ils veulent faire apprendre l’arabe à nos enfants, alors que le chinois sera indispensable. Evidemment si nos enfants sont seuls face à un flot de jeunes arabes, c’est la solitude et la maltraitance qui les attendent.
Donc nos politiques savent que les masses arabes ne vont pas cesser de venir et donc submerger notre Europe puisque c’est eux-mêmes qui vont les faire venir.
Sous couvert d’un PACTE POUR LES MIGRATIONS, qui nous ferait croire que celui-ci a été créé à l’intention du monde entier, mais qui en fait, ne concerne que l’EUROPE dans sa cohabitation future avec le monde arabe, NOUS COMPRENONS MIEUX POURQUOI L’ARABE EST IMPOSE DANS NOS ECOLES.
Réponse à Tommy . Tout d’abord il faut savoir que les femmes voilées sont interdites dans les lieux publics , une plainte doit être déposée pour non respect des Lois républicaines en vigueur et cette même plainte doit être déposée contre l’état si celui -ci fait la sourde oreille . Nous n’avons pas à nous laisser fléchir par qui que ce soit sur nos terres . Et ceux à qui cela ne plaît peuvent retourner dans leur gourbi ! Car là- bas , s’ils ramènent leurs fraises , ils se font exécuter ! Alors ici , c’est respect sans revendications sinon à dégager !! Terminé !!
Je suis entièrement d’accord avec Alix !!! Il va falloir réagir et vite , ne nous laissons pas prendre notre France et les autres pays d’Europe par les muzzz !! C’est trop grave ce qui se passe !! Défendons nos patries , nos valeurs , nos coutumes ! N’oubliez pas que les Templiers les ont fichus dehors en 1300 !!! Et on recommencera ! Place aux Français européens aux administrations , police , gendarmerie , armée de Terre , Air et Maritime et en Politique !!!
C’est pareil en France. Hollande et une partie de la classe politique envisage même de céder des pans de territoire français aux muzzs afin qu’ils vivent leur charia tranquilles. Un conseil, préparez vos armes. Il est hors de question qu’on laisse faire. On s’apprête à les tuer sinon nos enfants n’auront plus de pays.
Et ne croyez pas que suis xénophobe.
J’ai simplement constaté lors de ma carrière que les Viet-Namiens, Sri-Lankais ou Tchèques s’intègrent à merveille, vous sont reconnaissants et occupent souvent les meilleures places de la classe.
D’autres ethnies par contre se singularisent par leur communautarisme, leurs revendications et leur mentalité d’assistés à qui l’on doit tout.
Par exemple, lors des voyages d’études, ils partent du principe que la caisse scolaire financera l’intégralité des coûts tout en se réservant le droit d’imposer au reste de la classe leurs caprices alimentaires ou culturels.
Et aucune reconnaissance n’est à espérer, considérant que c’est à nous de nous aplatir devant eux.
Je me rappelle d’une élève vivant avec sa mère, caissière dans un grand magasin, faisant des ménages pour faire bouillir la marmite. Cette élève était d’origine grecque.
Aujourd’hui, elle est cardiologue.
Se sentir étranger dans son pays…dans un lieu public éducatif doit être insupportable.
Un enfant, voire un adolescent doit être marqué au fer rouge..pour vivre de telles choses….
Tommy, votre témoignage me glace le sang…
En ce pays de Vaud…c’est à partir de la pyramide politique , pour ne pas la nommer la Conseillère d’état , Mme Lyon, que déteint sur la base toute cette démagogie de l’étranger qu’il faut chouchouter, protéger coûte que coûte quand bien même il s’avère un tyran, ou ses parents ignorants et arrogants….
Il est temps de remettre les pendules à l’heure et de considérer les enfants comme égaux…et nos supérieurs selon leur provenance…
Ayant fait une petite incursion dans le monde scolaire….j’ai constaté qu’à bien des égards, des enfants si protégés par cette bien-pensance étaient pour certains particulièrement difficiles et distraits. Qu’il fallait user de tout un arsenal pédagogique afin de les stimuler, les encourager…
L’exigence accompagnée de bienveillance est toujours payante..
Combien il est important de ne pas se soumettre à cet esprit du temps…de complaisances sans fondement de certains d’hommes de direction voulant conserver envers et contre tout..leur place au soleil…
Rien n’est acquis en ce bas monde.
Comme le démontre l’exposé, il est s’avère impératif de soustraire un enfant d’un milieu aussi néfaste….Il y a tant d’établissements privés excellents et attentifs aux revenus des parents…
Avant tout, l’école doit rester accessible à tous…et égale pour tous. C’est un service public de premiere importance et à ce titre, doit remplir sa pleine fonction….au risque d’être soumis à la vindict populaire…c’est entendu…
À Genève, ce n’est pas d’aujourd’hui !
Mon filleul et mon neveu, respectivement nés en 1988 et 1987, ont vécu cette expérience multicultu(r)elle au Cycle d’Orientation.
Le premier, traité quotidiennement de “p’tit-suisse”, a fini par répliquer qu’il était fier de l’être. On l’a copieusement insulté et qualifié de raciste. S’en est suivi une agression grave. Étant la victime, il a du changer d’école, alors que les trois agresseurs (ou “sauvageons” comme dirait Cazevide) sont restés en place.
Le second, plus timide et comprenant vite la vie dure réservée aux autochtones, m’a fait cet été (à 29 ans) cette confidence: “Avec mon nom de famille (à consonance latine), je disais que j’étais italien, et on ne me faisait pas chier!”
Dans les transports en commun de Genève, nous prenons conscience que nous sommes bientöt une minorité! Et le seul racisme qui est toléré est le racisme anti-blanc. Au Pàquis par exemple des propos racistes de la part de “moyen-orientaux” envers des africains ne dérangent…personne, mais on m’a traité de vieux con de blanc…Bagarre, mais ne pas déranger la police elle a déjà trop à faire dans le secteur.
Merci Tommy pour votre témoignage édifiant. Il faudrait trouver un média honnête (si cela existe encore) pour relayer votre propos. Et surtout, ne pas hésiter de porter plainte pour racisme anti-blanc (pour l’histoire de la poignée de main).
C’est effectivement ce que j’ai constaté bien souvent lors de mes 36 années d’enseignement à 100% en terre vaudoise.
À savoir le fait que les élèves autochtones doivent faire profil bas face aux Maghrébins, Turcs, Congolais, Kosovars ou autres Portugais, dont les ” parents” , très souvent au social , se revendiquent sans cesse du statut de victimes du racisme pour imposer leurs lois à autrui.
Et ça marche!
Le plus scandaleux, c’est que les doyens et directeurs entrent dans le jeu, faisant a priori de l’élève suisse un raciste, un égoïste ou un provocateur.
Vu que ces personnages sont inféodés au DFJ , téléguidé par des socialistes en exclusivité, le maître comme l’élève suisse ont toujours tort.
J’ai même vu un jour notre directeur faire des courbettes face à une musulmane voilée, qui a pourtant caché sa main dans un foulard pour ne pas se contaminer en serrant la main d’un Chrétien.
Mais ce genre d’incidents ne franchit jamais les murs des salles des maitres.
Ou ce même directeur interrompre un conseil de directeurs d’établissements scolaires pour recevoir sur le champ des musulmans quérulents.
Mais pchuuuut!
Dans un quartier près de chez nous, il y a deux Suisses sur 21 élèves dans une classe, les parents sont consternés. Je remercie la gauche au passage d’avoir rempli l’école, comme ils ont rempli les urgences des hôpitaux, les transports publics et allongé les queues devant les guichets des administrations. L’argent des contribuables distribué sous forme d’aide sociale, d’allocation et de subsides, coule à flots.