Les quatre États du groupe de Visegrad (Hongrie, Tchéquie, Pologne et Slovaquie) opposent une résistance farouche au plan de l’Union européenne visant à répartir les 160.000 « demandeurs d’asile », plan qu’ils qualifient de « diktat » violant leur souveraineté nationale.
Quelques citations illustrant des prises de position inconciliables :
- « L’un des principes sur lesquels reposent le Système est la primauté du droit communautaire. »
(Margaritis Schinas, principal porte-parole de la Commission européenne)
- « Nous ne voulons pas voir dans nos pays les conséquences de la création d’un grand nombre de communautés musulmanes […] Cela est pour nous une expérience historique. »
(Le président hongrois Viktor Orbán, 3 septembre 2015)- « Au début de l’automne 2015, nous avons érigé une clôture sur la frontière verte extérieure de l’Union européenne et l’espace Schengen. Cela a servi à protéger la plus grande réussite de l’Union européenne, à savoir la liberté de circulation dans l’espace commun du marché intérieur […] Nous ne voulons pas répartir la charge de la migration sur toute l’Europe, nous voulons l’éliminer, y mettre un terme. »
(Viktor Orbán, 11 juillet 2016)- « Nous perdons nos valeurs européennes et notre identité, tels des grenouilles plongées dans l’eau froide qui s’engourdissent et finissent lentement ébouillantées dans l’eau devenue bouillante. Tout simplement, lentement, il y aura de plus en plus de musulmans, et nous ne reconnaîtrons pas l’Europe. »
(Viktor Orbán, 30 septembre 2016)Source :
Pour en savoir plus : de.gatestoneinstitute.org/9109/ungarn-migranten
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