«Dossiers Tabous» : après la polémique, Bernard De La Villardière répond à ses détracteurs

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Visiblement très remonté par la tournure qu'ont pris les événements suite à son passage à Sevran (Seine-Saint-Denis) Bernard De La Villardière a publié un (très) long texte sur sa page Facebook dans lequel il se défend d'à peu tout ce dont l'ont accusé les médias quelques heures après la fuite d'une vidéo amateur de son altercation houleuse avec plusieurs jeunes mécontents de la présence des caméras dans leur quartier. 

Dans son texte, le présentateur invite notamment à visionner une nouvelle fois la vidéo qu’il a transmise au site Puremédias pour confirmer ses propos. Bernard De La Villardière évoque en effet une «fausse polémique» faite pour masquer «l’incapacité des autorités publiques […] à encourager voire organiser un islam conforme aux valeurs de la République».

Très en colère, Bernard De La Villardière s'interroge notamment «sur les raisons pour lesquelles les gouvernements successifs se sont couchés devant les assauts de l’islam radical», ajoutant que selon lui, «plus de la moitié de la dette publique française est détenue par des fonds étrangers ne doit pas être innocent dans cette forfaiture !»

Attaque envers ses «confrères» avides de buzz

Dans la deuxième partie de son réquisitoire, Bernard de La Villardière répond à certaines personnalités du PAF qui selon lui, «on voulu profiter de la polémique pour "créer le buzz"», évoquant notamment l'émission «Touche pas à mon poste» de Cyril Hanouna et ses «sympathiques chroniqueurs […] qui jouent les têtes de Turc du grand Mamamouchi du PAF».

Le présentateur vedette de M6 ne manque pas non plus de s'attaquer à l'hebdomadaire L'Express et son directeur adjoint de la rédaction Eric Mettout, qui avait publié un article particulièrement virulent sur l’émission «Dossiers Tabous».

«Il [Eric Mettout] exhale sa haine bien au chaud dans une des nombreuses usines à contenus du milliardaire Patrick Drahi. Dur, dur pour un ancien employé de SOS Racisme. Il est vrai que lui et son patron sont les complices objectifs des deux travers qui menacent le monde : la névrose égalitaire et le capitalisme sans foi ni loi. Eric Mettout se rend-t-il compte que son job de directeur adjoint de la rédaction de L’Express en fait un négrier ?», s'insurge celui que la paysage médiatique français appelle depuis quelques années déjà BDLV.

Le présentateur rappelle par ailleurs que son émission controversée qui a attiré tant de polémiques a réalisé un «joli score» avec «plus de 2 400 000 téléspectateurs», promettant de «continuer son travail d'investigations partout, sans amertume… et sans tabou !».

Lire aussi : Entre vérités et clichés, l'émission «Dossier Tabou» sur l'islam indigne les internautes

 

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