Malgré une large victoire, le Premier ministre hongrois n'a pas réussi à mobiliser assez d'électeurs pour que son référendum anti-migrants soit validé. "C’est un drôle de dictateur que Viktor Orban ! Un dictateur qui appelle le peuple aux urnes et s’incline pour un quorum insuffisant. Un dictateur bien légaliste", s'amuse Éric Zemmour. "Les référendums se suivent et se ressemblent en Europe. Les mêmes arguments, les mêmes coalitions sociologiques et politiques, les mêmes insultes aussi", analyse-t-il.
"Les élites politiques, politiques, économiques, financières (...) en tiennent encore pour une approche économique : ils parlent chiffres, croissance, commerce. Les peuples pressentent qu’il y a plus vital encore : le destin de leur nation en tant que nation", décrypte le journaliste. "Les uns veulent gagner plus d’argent au nom de leurs grands principes ; les autres veulent au moins sauver leur âme puisqu'ils sont déjà les grands perdants de la mondialisation", poursuit-il. "En France aussi, on aimerait bien voter sur le sujet de l’immigration, mais nos élites ont décidé qu’on n’aurait pas notre mot à dire. On doit être trop bête", conclut-il.
Ben ouais, M. Zemmour ! Les faits sont là : M. Orban n’a pas récolté suffisamment de votes en Hongrie. De plus les diverses “mésaventures”électorales autrichiennes auront aussi finalement pour résultat prévu un vote de bienpensance. De même qu’en Allemagne. Quant à la France, on peut s’attendre à ce que Juppé le modérateur-expérimenté-ne-voulant-pas-déplaire-aux-minorités soit élu président en 2017. Bref, tout est planifié, tout est sous contrôle. Ceci étant possible parce que la majorité
Comme d’habitude, Éric appuie -et il a raison !- là où ça fait mal ! L’énormes problème est bien celui de la sauvegarde de nos cultures, et cela passe par la reconquête du pouvoir sur ces castes apatrides et gloutonnes.