Si ce n’est pas une reculade, cela en a tout l’air. Dans une interview à l’hebdomadaire économique Wirtschaftswoche, Angela Merkel fait comprendre qu’elle renonce à son fameux « Wir schaffen das » (« Nous y arriverons »), formule qu’elle a employée à maintes reprises depuis le 31 août 2015 et qui, étant devenue le symbole d’une politique d’ouverture à l’égard des réfugiés de plus en plus contestée, lui est aujourd’hui très vivement reprochée.
« Parfois, je pense que cette phrase a été un peu exagérée, qu’on a mis trop de choses dedans, à tel point que je préfère ne plus guère la répéter. C’est devenu un simple slogan, presque une formule vide de sens », affirme la chancelière allemande dans cette interview dont seuls des extraits ont été publiés, l’intégralité devant paraître le 26 septembre.
Trop tard , Mme Merkel . De peur que nous oublions jamais les dommages que vous avez créé !
Trop tard, le mal est fait et cette racaille restera en Allemagne. Angela Merkel n’a pas d’enfants, qui seront obligés d’assumer ce changement profond de la culture allemande.
Elle ferait mieux de renoncer à la politique!
Quand je lis le nombre de commentaires sensés sur ce site, avec arguments à l’appui, je me demande bien comment on peut avoir à notre tête de telles personnes nulles, sans aucun patriotisme, et prêtent à sauter dans un navire qui coule…
A défaut de reconnaître son erreur politique magistrale..La Mutti est bien obligée de reconnaître…..qu’elle et son parti…n’y sont pas arrivés …..
Un désaveu cinglant dans les urnes….une économie allemande qui ne peut ou ne veut s’occuper du million de migrants…pour diverses raisons…
Heureux encore..le temps où les citoyens peuvent s’exprimer dans les urnes.. ( bien que le gouvernement suisse ne respecte pas les décisions du peuple en certains cas)
La démocratie est encore la dernière soupape …le dernier rempart à la guerre civile…..
Il ne s’agit pas de s’inquiéter de la montée des partis populistes dans toute l’Europe..mais bien d’en comprendre le pourquoi? Les effets ont toujours une cause….
Le déni de réalité ne peut qu’annoncer le fiasco….le chaos
En France…on consulte les français uniquement pour élire les politiciens……Leur seul moyen de désapprouver le gouvernement sont les manifestations….Et que ce passe t-il actuellement? …Des scénarios de guérillas urbaines….pouvant initier une guerre civile….Calais sous une autre forme…..
En conclusion, notre gouvernement suisse ferait bien d’en prendre de la graine, considérant que la Suisse ne fait pas partie de l’Europe de Bruxelles , qu’à ce titre il serait bien avisé , malgré les pressions du grand lobby économique sinon d’une idéologie mondialiste , de respecter la volonté populaire autant que faire ce peu..
L’Europe de Bruxelles est sur le chemin de la dérive…ses commissaires se font de plus en plus exigeants….et l’exercice d’une politique totalitaire se révèle au grand jour.
La libre circulation est plus que jamais remise en cause…
Pourquoi, diable, la Suisse s’accroche à un rafiot qui prend l’eau de partout?
Notre gouvernement aurait-il des idées suicidaires à son insu?
C’est précisément lorsque nous ressentons une certaine faiblesse qu’on se doit d’être forts…paroles de Louis XIV mais aussi de L’apôtre Paul….Lorsque je suis faible c’est alors que je suis fort.
Les expériences des uns devraient servir les autres….une question de sagesse à l’intention de nos soi-disant 7 sages…
Encore une qui croit à la magie des mots pour transformer la réalité… idéologue = danger pour ses administrés. Non Angela, l’Allemagne ne sera jamais plus l’Allemagne et je ne suis pas prête d’y retourner en vacances.
Maintenant, c’est trop tard.
Les vannes sont ouvertes, les envahisseurs vont se reproduire à l’envi, se regrouper et foutre le pays à bas.
Elle s’est débarassée du fardeau, ils sont justement en train d’en parler à l’ONU. C’est donc bientôt “Le Machin” qui nous imposera des quotas. Droit international, rengaine habituelle…
Cette communiste se comporte comme tous ses camarades de parti après que les crimes de Lénine, de Staline, de Mao et des Khmers rouges eurent été dévoilés : nous n’étions pas conscient de la portée de nos paroles de soutien, qui n’étaient pas à prendre à la lettre…