Subotica ou Szabadka est une ville historiquement hongroise, rattachée à la Yougoslavie en 1945. Sa population est mixte, hongroise et serbe.
Sa position proche de la frontière est devenue une malédiction.
Voici le résumé d’un article publié le 22 août 2016 :
Les migrants empoisonnent la vie des habitants autour de la gare routière de Szabadka
L’imigration massive en est déjà à sa deuxième année et impacte lourdement les villes de la région, telle Szabadka, où, même à l’intérieur de la ville, il y a plusieurs endroits où les migrants sont constamment présents. L’un de ces endroits est la gare routière, où, depuis deux ans, les migrants ne montrent aucune envie de s’intégrer.
Les habitants sont de plus en plus désespérés, ils se sont adressés à toutes les autorités possibles, sans résultat, tandis que les migrants règnent en maîtres sur la zone et font ce qu’ils veulent.
Ils boivent, volent, détruisent tout et jettent leurs détritus partout.
Inutile d’appeler la police : ils se cachent dans les entrées d’immeubles dès qu’elle approche et ressortent dès que l’alerte est passée.
Ils revendent les sachets de nourriture qu’ils reçoivent des œuvres d’entraide.
Ils envahissent les propriétés privées pour cueillir les fruits, voler des objets ou faire leurs besoins.
Ils insultent constamment les voisins – pas besoin de connaître leur langue pour comprendre les gestes.
Les associations pro-migrants les laissent faire sans lever le petit doigt : elles n’ont qu’indifférence et mépris pour le sort des habitants locaux.
Le personnel de nettoyage de la gare routière a peur, car les migrants leur jettent des pierres.
L’aide aux migrants est désorganisée et surabondante. Certaines organisations sont autorisées et d’autres non, mais impossible de savoir qui est qui. Des camions arrivent de Pologne, de Tchéquie, d’Allemagne, de Serbie et distribuent les paquets sans aucune organisation. La plupart sont finalement jetés par les migrants dans les jardins du voisinage.
Les pro-migrants donnent aux migrants des flyers en anglais avec des conseils sur ce qu’ils doivent dire aux autorités s’ils sont arrêtés à la frontière, et sur les points où la frontière est moins bien gardée.
Article complet en anglais : Gates of Vienna
Extraits et traduction Cenator
Article original en hongrois : Délhír
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