Freddy Eeckeman travaille à Calais. Le jeudi 4 août, il a dû faire face à plus de 200 migrants munis de bâtons.
[...] Le 4 août dernier, 5 h 30 du matin. Ce Cappellois se rend au travail à Blériot-Plage. Convoyeur de fonds, Freddy Eeckeman est habitué au danger. Mais ce qu’il voit ce matin-là le marque. « À hauteur de Transmarck, j’ai dû ralentir. Les migrants avaient installé des barrages avec des arbres. Le poids lourd que je suivais ne s’est pas arrêté et a foncé. Je voulais profiter de cette ouverture… c’était sans compter sur les migrants. Cagoulés et arrivant par centaines, ils faisaient barrière avec leurs corps. » Pendant près de 20 à 25 minutes, munis de leurs bâtons de plus d’un mètre, épais de 15 à 20 cm de diamètre, « ils se sont mis à taper les voitures à l’arrêt. Si mon collègue, avec qui je fais du covoiturage, ne m’avait pas empêché de sortir, je ne serais plus là », assure Freddy Eeckeman, la gorge nouée.
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Merci à M. Scheller
Elle est où la fierté Gauloise et la Marseillaise !? Ah mais c’est vrai, ce n’est pas la Corse…
La guerre civile bat son plein à Calais…pendant que Cazevide et Le Mou de l’Elysee se tapent de paisibles vacances….
Français vous êtes désespérants….qui vous a euthanasié?