3 commentaires

1. URICATE dit :
   16 août 2016 à 16:52

   Sur ces journalistes américains existe un discours remarquable que j’aurais aimé pouvoir applaudir debout ! Les propos de John SWINTON, Rédacteur en Chef du New Yord Time, (une dizaine d’années je crois…) lors d’un banquet donné en son honneur au dernier semestre 1891, à l’occasion de son départ à la retraite. Alors qu’un des convives propose de porter un toast à la Liberté de la Presse :
   « Quelle folie de porter un toast à la Liberté de la Presse indépendante ! Tous ceux qui sont ici ce soir savent qu’il n’y a pas de presse indépendante.Vous le savez. Je le sais. Personne parmi vous n’oserait publier ses vraies opinions et, s’il était tenté de le faire, vous savez à l’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. etc…etc…
   Le rôle d’un journal à New York est de détruire la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper aux pieds de Mammon, de se vendre, de vendre son Pays et son Peuple pour son pain quotidien. Vous savez cela moi aussi. Alors quelle folie de porter un toast à la Presse indépendante !
   Nous sommes des ustensiles et les vasseaux d’hommes riches qui commandent dans la coulisse. Nous sommes leurs pantins : il tirent les fils et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles « .

   C’était en l’ An 1891, nous sommes en l’An 2016 et les propos de John Swinton sont toujours d’actualité.

   SWINTON était d’origine écossaise et son parcours professionnel est à lire. Orphelin de père, il est jeté dans le monde du travail dès ses treize ans. Ensuite ? quelle fulgurante ascension, celle qui ne peut qu’appeler à l’ admiration et au Respect !

2. Au lien suivant, on peut se renseigner sur les nouvelles fuites (en provenance d’un des membres du Secret Service qui l’entourent presque toujours) concernant l’état de santé catastrophique de Hillary Clinton, que les médias dominants font naturellement tout pour taire et cacher:
   http://www.infowars.com/secret-service-whistleblower-hillary-has-major-neurological-problems/
   Voici les principaux symptômes. Hillary souffre
   –de convulsions, de spasmes quasi épileptiques, au contact de flashes d’appareils de prise de vue (ce phénomène a été filmé sur vidéo à plusieurs reprises); d’où le fait qu’elle évite autant que se peut faire les conférences de presse;
   –de manque d’équilibre; elle a fait déjà plusieurs chutes au cours des années et éprouve des difficultés à marcher. Ces chutes lui ont causé des concussions et un caillot sanguin. L’une l’a même laissée alitée pendant des mois. Vu ce manque d’équilibre, elle doit souvent être aidée par les membres du service secret, par ex. pour monter des escaliers (les photos le montrant sont disponibles sur la toile); le véhicule qui la transporte a dû être équipé d’un lift pour la descendre au niveau du trottoir ou la monter dans le véhicule;
   — probablement de la maladie de Parkinson;
   –de troubles de mémoire.
   D’autres vidéos la montrent sujette à des accès de rage incontrôlés (cet aspect de sa personne est en fait connu depuis longtemps, puisqu’il semble qu’elle frappait violemment son mari, ce qui d’un certain point de vue n’est pas incompréhensible). Il semblerait aussi qu’elle souffre d’incontinence, d’où les amples habits qu’elle porte. Ces derniers sont aussi destinés à la protéger de blessures qui pourraient la faire saigner profusément en raison du médicament anti-coagulant qu’elle prend.

3. Encore une fois, l’abominable engouement dont bénéficie la vieille harpie Clinton ne tient qu’aux seuls intérêts des monopoles de Wall-Street. La donzelle est indéfendable, donc, on la défend avec les arguments les plus spécieux qu’il soit. On appelle cela “démocratie” : à mourir de rire jaune !