Dans cet article est contenu tout le paradoxe de la salade "com' actuelle" dont les ingrédients sont : justice peureuse, idéologie gouvernementale du terrorisé, presse aux ordres, sémantique "attrape-couillons" et politiquement correct.
Les faits : il s'agit d'un sans-domicile fixe aux antécédents judiciaires (cinq condamnations) pour faits de violence et port d’arme. Dans un bus il crie : "À Nice, ce n’est pas 200 à 300 morts qu’il fallait, mais 2000 à 3000 Français qu’il fallait égorger. Je vais les égorger moi-même".
La com' : il s'agit d'un "déséquilibré", "pas dangereux".
Conclusion : la justice suit la com'. Il écope d'un mois de prison avec sursis et 70 heures de travail d’intérêt général pour «apologie publique d’un acte de terrorisme» et «menace de mort réitérée».
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