Les événements tragiques des derniers jours ont eu un peu raison de la tolérance des Suisses, selon le sondage en ligne mené par «20 minutes».
Pour le conseiller national Walter Wobmann (UDC/SO), père de l'initiative sur les minarets, le sondage prouve bien que «l'islam radical est perçu comme une menace.» «Il faut être aveugle pour ne pas voir qu'il se rapproche», poursuit-il.
Selon lui, on attend des politiciens qu'ils se distancient des extrêmes. «Or les autres partis de ce pays et les principaux courants religieux pratiquent la politique de l'autruche», regrette l'élu. Il pense par ailleurs que même les musulmans modérés ne prenne pas clairement position contre les radicaux.
Connaissant bien l’islam pour avoir longtemps vécu dans des pays arabo-musulman, je tiens à souligner quelques points très importants pour comprendre.
*** Nous avons perdu 35 ans à dire pas d’amalgame, ça n’a rien à avoir avec l’Islam.
***Les musulmans, dans leur immense majorité, sont sincères lorsqu’ils disent que leur religion est paix et amour car ils pensent la pratiquer ainsi. Mais ils ignorent ou refusent de voir la réalité d’une partie des versets coranique et des Hadiths contraires à toutes les valeurs humanistes qui légitiment la barbarie de tout musulman intégriste qui veut appliquer ces recommandations (lapidation, égorgement, amputation, apostasie, djihad etc.)
***Nos politiques et élites ont conforté les musulmans en ignorant longtemps (et certains continuent…) cette réalité qui aurait aidé les musulmans à faire leur introspection, se remettre en cause et avancer, trouver leur chemin. Lire “la maladie de l’Islam” d’Abdelwahab Medded un des plus grand connaisseur et amoureux de l’islam et de la civilisation arabo-musulmane ainsi que Michel Onfray qui a décortiqué toutes les religions et qui dit que : “le problème… est l’islam”.
Une religion qui n’a pas de clergé, qui n’a pas été réformé, qui se veut sacré, intemporelle, divine, spirituelle mais aussi politique, juridique , civilisationnelle et mode de vie est une bombe pour nos pays qui ont déjà réglé ce problème.
Le problème de l’islam n’est pas notre problème. Il ne nous appartient pas de le résoudre. C’est celui des musulmans des 57 états arabo-musulmans dont certains intellectuels arabe disent que c’est un cancer pour leur propre pays qui évite toute évolution ou développement.
Notre grande erreur est d’avoir oublié nos guerres de religions, et d’avoir laissé s’installer l’islam sans un encadrement rigoureux. Le puzzle qui conduit à la mort commence par le communautarisme, le foulard, la burqa, la mosquée, le halal, le ramadan, les prières dans les rues, l’embrigadement des imams salafistes et d’autres qui exacerbent l’identité arabo-musulmane des jeunes et suivent la révolte, les émeutes, la drogue, le djiahdisme etc.
La dernière enquête sur ce sujet de Pewresearch est bien plus fiable!
Il est facile de comprendre un terroristes musulman, il suffit de lire le coran, quelques “hadiths” voir pour compléter la dévote revue musulmane Darbiq. Par contre il m’est très difficile de comprendre un angélique idiot utile multiculturaliste qui est béat devant l’islam-idéologie et le soit disant islam de France dissident.
les musulmans ne pourront commencer à se distancer que quand ils seront assez nombreux et assez forts face aux autres – les Occidentaux doivent les aider au lieu de soutenir ces autres
1 % qui se sont trompés de case à cocher
24 % de bisounours
41 % qui commencent à se réveiller