La situation n’est guère meilleure en Wallonie alors qu’en Flandre elle ne se rencontre que pour un enfant sur quinze rapporte le journal L’Echo.
Selon les statistiques du service de placement flamand, le VDAB et le groupe de recherche Steunpunt Werk, 25,7% des enfants bruxellois grandissent dans une famille où personne ne travaille
Merci à Anne Lauwaert
@Anne….La Belgique…une des champions de l’immigration de masse…n’arrive plus à gérer l’emploi à ce qu’il semble…et va faire exploser ses assurances sociales..
Il faut être fou dingue pour en arriver là…
Où me tromperai-je?
De manière générale le monde francophone n’a pas la même approche économique que le monde germanophone….ou anglophone….l’Europe va lentement et sûrement vers un désastre….et les traîtres de Bruxelles passeront à la cocotte…
Les banquiers qui mènent le bal auront encore de l’or en réserve..pillée partout..mais celui-ci ne pourra rien contre les révoltes populaires.
Gouverner c’est prévoir…donc ses gouvernants témoignent de leurs incapacités flagrantes….
Quand le bateau va à vau-l’eau les capitaines cupides et lâches s’en fuient du bateau et laissent les passagers couler….
Si 25% des enfants grandit dans une famille où personne ne travaille, cela signifie que ces enfants n’apprennent pas ce que “travailler” veut dire…ajoutez-y l’immigration – combien de temps un pays peut-il résister dans ces conditions?
effet indirect: la Belgique était un pays riche – dans les années 60 nous passions 2 mois de vacances dans le sud de la France et dans les années 70 nous pouvions nous permettre de louer un chalet pendant 1 mois dans le Val d’Illiez… actuellement de plus en plus de familles belges ne peuvent plus se permettre une semaine de vacances… c’est du tourisme en moins pour la France ou la Suisse.
Idem pour l’enseignement: dans les années 60 l’enseignement belge était excellent, aujourd’hui l’article cité dénonce “la qualité qui laisse à désirer” Des profs comme Mia Vossen clament leur désespoir dans la presse = dans le désert… Que fait la France ?
En Suisse, le clivage est identique.
Les cantons romands, donc francophones, accueillent la majorité des populations inintégrables sur le marché du travail, originaires d’Afrique du Nord ou subsaharienne. De plus, l’accès aux services sociaux est considéré comme allant de soi.
En Suisse alémanique, la culture du travail et de l’investissement personnel a encore le vent en poupe et l’on est vite ostracisé si l’on vit de la charité publique. Question de mentalité.
Champions du chômage, de l’assistanat et des villes sales. C’est la Suisse romande.