Hongrie, Kiskunhalas – Dans le camp de migrants de Kiskunhalas, où se trouvent 484 migrants, la police a dû intervenir pour gérer un début d’une émeute. Heureusement, la situation a été rapidement sous contrôle et personne n’a été blessé.
Les migrants voulaient quitter le camp de Kiskunhalas, où ils sont détenus pour régulariser leur situation, conformément à la législation européenne. Fatigué d’attendre leur régularisation administrative, 300 d’entre eux ont essayé de s’échapper du camp et la police a dû intervenir. Les migrants ont réclamé la «liberté» (« freedom« ), mais aussi une meilleure nourriture. Plusieurs migrants ont jeté leurs assiettes dans le réfectoire et ont refusé de manger, bien qu’aucune grève de la faim n’est été débutée.
La situation est maintenant de retour à la normale, après que la police a négocié avec le porte-parole auto-proclamé des migrants. En janvier, plusieurs hommes avaient été arrêtés dans ce même camp lorsque que des migrants ont jeté des pierres sur les agents de police. La police avait alors essayé d’empêcher les migrants de se battre en raison d’un différend sur l’utilisation d’un ordinateur mis à leur disposition.
Depuis le début de l’année, 14.000 clandestins sont déjà entrés dans le pays et ont été arrêtés. La Hongrie a annoncé en mars vouloir fermer tous ses camps, sauf deux près de la frontière autrichienne. Mais pour l’instant, en raison de l’afflux de 100-150 personnes par jour, la plupart des camps sont encore en service.
Extrait de: Source et auteur
Ce sont des colons, pas des réfugiés. Nous devrons expulser tout ce beau monde dans la violence. […]
Évidemment, lorsqu’on observe des policiers bottés, casqués, équipés de matraques et de chiens, on fait moins le mariolle!
En Suisse, les ” forces de l’ordre” , muselées par leurs supérieurs, n’ont que le droit de servir d’interprète, de porter les baluchons ou d’apporter des Tupperware de bouffe ethnique.
Si la police ose lever le petit doigt,……..” Raciiiiiiiiste! “
Ils ne sont pas contents et bien vite fait, ils retournent chez eux. De toute façon ce ne sont pas des vrais réfugiés, ce ne sont que des profiteurs. Les vrais réfugiés ne se comportent pas de cette manière.