Au milieu du mois d'avril dernier, je m'étais permise de donner mon point de vue sur la dispense de serrer la main de leur enseignante dont bénéficiaient deux élèves musulmans de Therwil, dans le canton de Bâle-campagne. A l'époque, les autorités du canton avaient demandé un avis juridique sur la question, admettant que question il y avait alors que tel n'était pas le cas, le respect de nos valeurs n'étant pas négociable. Avec une telle entrée en matière, on ne pouvait que craindre le pire quant au résultat. Cette fois-ci, fort heureusement, le pessimisme n'était pas de mise, bien au contraire.
On apprend aujourd'hui que "l'intérêt public concernant l'égalité entre femme et homme aussi bien que l'intégration de personnes étrangères l'emportent largement sur la liberté de croyance des élèves". Du coup, il est possible pour les enseignantes d'exiger que les élèves leur serrent la main, même si cette marque de politesse et de respect heurte leurs convictions religieuses. On s'empressera de transmettre l'information au Département de l'Instruction publique de Genève qui voit les choses à tout le moins différemment.
Cette décision, que nous espérons appelée à faire jurisprudence, constitue le premier véritable coup d'arrêt à ces fameux accommodements raisonnables qui sont autant de capitulations dans la défense de nos valeurs. Régulièrement, on donne suite à une nouvelle requête qui devient un droit acquis en attendant la suivante. La nourriture, le voile, l'égalité hommes – femmes, à chaque fois une reddition en rase campagne pour les défenseurs de ce qui constitue l'âme de notre pays.
Il est bien évident qu'on ne saurait se réjouir trop tôt compte tenu des recours qui s'annoncent, stipendiés par Nicolas Blancho à qui la décision ne peut que déplaire. On se réjouit à ce propos de ses déclarations sur la question. Atteinte à la liberté de religion, contrainte inacceptable infligée à des mineurs dont on exploite la fragilité, conflit de loyauté entre les parents et l'école, élèves victimes, pris en otages et tutti quanti. Cette liste est loin d'être exhaustive tant l'homme a de la ressource dans l'insupportable.
Ce qu'il faut néanmoins retenir, c'est qu'on proclame que l'intégration de personnes étrangères l'emporte largement sur la liberté de croyance. C'est exceptionnel. On écrit noir sur blanc que l'intégration passe par le respect de l'ordre établi et non pas par son assaisonnement à la sauce islamiste. C'est un désaveu cinglant pour ces lâches de tous horizons qui ont perdu pour ne pas avoir engagé la lutte. Voile dans l'administration, suppression du porc, elles sont nombreuses, les personnalités qui tolèrent voire encouragent la corrosion de notre Etat de droit.
A terme, avec l'islamisation rampante de notre pays, c'est bien l'édifice entier qui finira par s'effondrer. Il n'est cependant pas encore trop tard même si chaque seconde d'inaction nous meurtrit. Prenons enfin conscience de cette menace insidieuse et furtive que représente le prosélytisme islamique dans notre pays et levons-nous pour soutenir les courageuses autorités bâloises dans leur décision. Pour que le mal progresse, il suffit que les hommes de bien ne fassent rien, dit-on. Eh bien justement, le mal n'a que trop progressé tandis que nous le regardions avancer sans mot dire. Il nous faut maintenant choisir de quelle manière nous envisageons notre avenir. Entre l'edelweiss et la burqa, j'ai fait mon choix.
Céline Amaudruz
http://www.tdg.ch/suisse/homme-tripote-plusieurs-enfants-pleine-rue/story/27287406
Merci Madame Amaudruz
Il ne faut accorder aucun crédit à l’islam.
Mais régulièrement tous ces médias gauchistes ainsi que les églises officielles veulent nous faire avaler une religion de paix et d’amour.
Cette histoire de refus culturel ou religieux de donner la main est l’exemple du faux problème que l’on monte en épingle pour pouvoir proposer des contraintes symétriques aussi stupides ( une amende pour refuser de toucher la main).Il va de soi que l’on respecte les règles et normes sociales de l’endroit où l’on se trouve. Si on ne le fait pas on passe pour un goujat ou un rustre. La honte sociale suffit à corriger normalement le tir. Il n’ a que la gauche moraliste et “anti-raciste” pour croire qu’on se sent coupable à ne pas accepter un comportement irrespectueux…
Merci de votre réaction. Beaucoup de nos femmes et hommes politiques seraient également bien inspirés de réafirmer leur adhésion à nos valeurs occidentales … voeux pieux malheureusement
C’est un bon début, mais j’ai aussi de sérieux doutes quant à son application, car les extrémistes ont pour volonté de nous forcer à accepter leurs revendications et les politiques n’ont pas hésité une seconde à se coucher devant leurs demandes. Pour ce dossier, il est question d’égalité entre homme et femme et de légiférer dans les milieux scolaires, alors j’invite Céline Amaudruz à aller jusqu’au bout de ce raisonnement afin que la communauté musulmane reçoive un message clair, comme quoi toutes nos valeurs ne sont pas négociables!!
Ouais, mais attention!
Les autorités bâloises ont pris une décision. La faire appliquer sera une autre paire de manches.
Si les parents de ces deux robots téléguidés par l’islam se rebiffent, qui aura le dernier mot?
Les mises en demeure, ils s’en foutent.
Les amendes, le social les paiera à leur place.
L’expulsion, les gauchistes s’allongeront sur le tarmac de l’aéroport pour empêcher le décollage de l’avion.
C’est la même problématique avec l’expulsion des criminels étrangers. Certains ont un dossier pénal épais comme le Larousse en vingt volumes, mais leurs intérêts personnels priment sur la sécurité des Suisses. Donc, la loi n’est pas appliquée.
À part cela, bravo, Céline! Tout est dit!
Je ne peux que vous féliciter pour votre prise de position, qui reflète ce que pensent de nombreux citoyens suisses que je connais, et même des résidents étrangers installés en Suisse de longue date. Votre prise de position est rationnelle et modérée, on ne peut pas vous taxer “d’UDC primaire d’extrême droite” , tout au contraire. On a le droit d’être fier de ce que l’on est, de ses propres valeurs! La xénophobie est souvent une réaction naturelle d’autodéfense, lorsque l’on se sent attaqués chez soi, et que l’on perçoit que les choses pourraient se gâter très rapidement, ou qu’elles ont déjà commencé à se gâter!