9 commentaires

  1. Posté par MichelSwiss le

    La faute, en premier lieu, au CF qui s’assied sur la volonté populaire clairement exprimée le 9 février 2014 contre l’immigration de masse. Depuis cette date, tous les problèmes liés à cette immigration qui explose (sans jeu de mot) découle de leur attitude méprisante envers les citoyens suisses.
    Le CF rejette la responsabilité sur les patrons auxquels il aurait été demandé d’engager moins d’étrangers.
    Autrement dit: “C’est pas moi, c’est l’autre !”.
    Après s’être assis sur la volonté populaire, assis sur la Constitution (signature de l’accord de libre circulation avec le Kosovo), tout ce que le CF trouve à répondre est une puérilité qui ne satisferait pas un enfant de 4 ans !

  2. Posté par Alex le

    Il fera rien ce Monsieur ! Que des paroles! Réveillez vous les romands! Ou est votre détermination de vous soulever ? Au social avec les Suisse . Engagez des frontalier Ils apportent une plus – value à notre économie car ils consomment en France et ils utilisent nos routes et nous assumons le tout avec nos sous.
    Mais les égouts sont pleines pourquoi ? Ils font leur besoins chez nous et ils rigolent! Prrrt..
    Je suis français, je t’engage, je te donne la place du petit helvete! Que du fromage …..

  3. Posté par Jeferson le

    Je suis normalement plutôt pour la dérégulation et une saine et libre concurrence. Mais là ça va trop loin. Il est temps de fixer des quotas réalistes, qui exigent de ne pas dépasser un certain pourcentage d’étrangers et de frontaliers dans nos entreprises. Faute de quoi la Suisse va devenir une succursale du PS français.
    Les frontaliers soit-disant compétents ont commencé par envahir les services RH, puis à force de “s’engager parmi” ce véritable cancer étend ses métastases dans tous les services.
    Il faut que ça cesse.

  4. Posté par henri le

    ici à Lausanne cela n’est pas mieux, nous sommes Suisse est cherchons depuis 2 ans du boulot et chaque fois c’est ou des Portugais ou Français qui ont le job. Alors merci le social qui remplace les employeurs.

  5. Posté par Derek Doppler le

    Entouré de parasites à l’extérieur, cerné par les c… à l’intérieur. Elle est pas belle la vie à Genève?

  6. Posté par G. Vuilliomenet le

    Parce qu’il n’y aurait qu’à Clairbois que l’on embauche des Français? On ne se foutrait pas de notre tête par hasard? Je ne dis pas frontaliers car nous avons des compatriotes genevois qui sont partis vivre en France, chassés d’une certaine manière par les autorités genevoises elles-mêmes qui ont préféré le fric au bien-être de leurs administrés, en gros, ces autorités se sont comportées comme de vulgaires putains.

  7. Posté par Cenator le

    La phrase « les deux frontaliers embauchés proviennent du même village que le directeur adjoint » est devenue à la Radio romande : « les deux frontaliers embauchés proviennent du même village ».

  8. Posté par Nico le

    Mais c’est sur toute la ligne que l’on nous mène en bateau. D’un coté on nous dit que les résidents ne sont pas assez qualifié.
    Donc de 1- l’immigration de masse n’est plus une chance, puisqu’on nous rabâche que c’est des travailleurs à valeur ajoutée, pas tant que ça, et la réalité ce n’est 10 à 20% vraiment de valeur ajoutée, mais pas chance pas assez qualifié, Ahahaha!!!!! Une vrai rigolade de bisounours cette mascarade.
    2- 80’000 frontaliers + 30’000 français actifs qui habitent le canton, donc 110’000 travailleurs, presque un 1/3 des 350’000 emplois sur Genève, si c’est pas une mafia, qu’est-ce que c’est.

  9. Posté par Charles Alexis le

    Allez, Monsieur Poggia, venez pousser un grand coup de gueule sur les observateurs avec les infréquentables que nous sommes !!!

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