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Ajoutez cela aux menaces de mort proférées par des clandestins à la frontière macédoine (voir la brève ci-dessus). Combien de ces actes de violence ou de menaces seront-ils nécessaires pour que les gens comprennent que nous n’avons pas affaire à des “réfugiés”, mais à des envahisseurs belliqueux?
Pourquoi attendre qu’ils boutent le feu à nos infrastructures ? Je suis d’avis de leur couper l’herbe sous les pied en détruisant nous même le fruit de nos impôts avant qu’ils aient pu y mettre un pied. La confédération pourra ainsi réquisitionner tous les tas de cendres qu’elle voudra.