Plusieurs responsables allemands ont accusé ce week-end Angela Merkel de trop mettre l'Europe dans les mains de la Turquie. Et d'exposer l'Union européenne à un chantage du président Recep Tayyip Erdogan. «Je ne suis pas contre des discussions avec la Turquie, mais je crois qu'il est dangereux de devenir aussi dépendant d'Ankara», a ainsi déclaré Horst Seehofer, chef de file de la CSU, le parti conservateur bavarois allié de la CDU d'Angela Merkel.
Des membres du SPD (Parti social-démocrate, partenaire de coalition de la CDU), de la gauche radicale ou des Verts, ont aussi exprimé leur préoccupation. Cem Özdemir, codirigeant des Verts, le parti écologiste allemand, et fils d'immigrés turcs, a ainsi déclaré à Welt am Sonntag que l'accord avec Ankara exposait l'Europe au risque d'un chantage, en jugeant qu'Angela Merkel était en grande partie responsable de la situation. Sahra Wagenknecht, membre du parti de gauche radicale Die Linke (La Gauche) a aussi évoqué le risque de «chantage», estimant qu'Erdogan «se sent nettement renforcé pour piétiner les droits de l'homme».
Par ailleurs, le coût de l'accueil des réfugiés en Allemagne sur les cinq prochaines années va friser les 100 milliards d'euros. 93,6 milliards jusqu'à la fin de 2020 pour être précis, selon le document de travail du ministère des Finances cité par l'hebdomadaireDer Spiegel. Les services du ministère de Wolfgang Schäuble ont été sollicités pour un arbitrage financier. Car l'État et les Länder se disputent sur la répartition des coûts: les régions s'attendent à régler une facture de 21 milliards d'euros cette année, et jusqu'à 30 milliards d'euros par an d'ici à 2020.
Les calculs du ministère mélangent les mesures d'intégration et d'hébergement des réfugiés ainsi que le coût du soutien au développement dans les pays d'où proviennent les gens frappés par la guerre ou la pauvreté. À Munich comme à Hambourg, on somme le gouvernement fédéral de prendre en charge la moitié des coûts mais Berlin répond qu'il paye déjà bien davantage. Cette querelle de chiffonniers a éclaté dès le début de la vague d'immigration. Les deux parties ont convenu de la régler d'ici à la fin du mois: une nouvelle réunion de conciliation est prévue jeudi prochain.
Je commence à avoir de la peine à comprendre, que les millions d’allemands qui sont dans la précarité ne se font pas entendre, maintenant qu’ils savent tout ça.
Que dire de Merkel qui, seule, a décidé de l’invasion/islamisation/décomposition de l’Allemagne. Sa décision d’accueillir des population arabo-africano-musulmanes inadaptées, inintégrables, inemployable et d’importer des problèmes graves socio-ethnico-religio- politico-culturels et civilisationnels est incroyable.
Comment les politiques qui l’entourent ont-ils laissé faire ?
Pourtant , ils savent ce qui les attend…communautarisme, ghettoïsation, décomposition de la société… cohésion sociale , identité, mode de vie, histoire, valeurs, etc…et mosquées, foulards, burqas, refus d’intégration, violence, djihadisme, drogue, natalité explosive irresponsable etc…tous les maux qui coûteront des fortunes sans avoir de solutions.
Le seul gagnant est le patronat qui lui avait demandé 800.000 esclaves, petites mains à bas coûts.
Trop tard !!! Le mal est fait, comme pour l’invasion de l’Europe sollicitée par la même traîtresse…
A croire que Merkel et ses nains de pacotille de l UE ne connaissent pas de bons medecins dans leur proximite.Mais esperons qu un tribunal puisse leur faire longtemps regretter leur haute trahison !
Intéressant. Donc, “on” commence timidement à se réveiller dans la caste politique allemande, et à mettre en question la politique invasive de Merkel. Il reste à attendre quelles seront les conséquences positives de ce réveil bien tardif.
Enfumage, c’est toujours les mêmes qui font semblant de critiquer la Grosse Bertha et finalement tout passe comme prévu !
Et dans les coûts engendrés par l’invasion, ils ne calculent certainement pas les coûts indirects… police, justice, insécurité, décomposition de la société…. et ces rigolos vont d’ailleurs jusqu’à dire que ça booste l’emploi, même si les emplois créés (nettoyeurs, sécuritas, gendarmes…) le sont tous à la charge du contribuable, donc sans aucune valeur ajoutée !