Burkhalter met le cap sur l'UE. La campagne contre les paysans et le conseiller fédéral Parmelin.
De Roger Köppel
Évidemment, le conseiller fédéral Didier Burkhalter continue de travailler à une adhésion rampante de la Suisse à l'UE. Le Neuchâtelois, rivalisant de prévenances et de courtoisie, aimerait conclure un «accord-cadre» avec Bruxelles, qui vise à un approfondissement des liens institutionnels entre la Suisse et l'Union européenne. Notre pays devrait alors reprendre automatiquement, à l'avenir, le droit communautaire dans toutes les relations contractuelles bilatérales avec l'UE, donc dans le cadre de toute notre politique migratoire et économique. En cas de conflit, selon Burkhalter, la décision reviendrait à la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE), l'institution juridictionnelle suprême de l'UE. Un accord, qui est en réalité une soumission, doit être trouvé d'ici l'été. C'est ce qui ressort des propos que Jacques de Watteville, le négociateur en chef de Burkhalter au service de l'étranger, a tenu à des parlementaires.
Le sympathique Secrétaire d'État des Affaires étrangères balaie d'un sourire charmant des objections justifiées selon lesquelles cet accord soumettrait la Suisse à des juges étrangers. Il explique qu'il n'y aurait pas soumission parce que la Cour européenne ne serait pas autorisée à prononcer des arrêts concernant la Suisse, mais seulement à émettre des appréciations sur la situation juridique. Ce que la Suisse en ferait serait laissé à sa discrétion, ajoute Burkhalter avec la naïveté d'un acheteur de voiture d'occasion qui se persuade que le tas de ferraille qu'on lui a vendu à un prix exorbitant est en réalité une antiquité de valeur.
Article complet à lire absolument :
Plus suave et mielleux que lui, très difficile à trouver… Avec la pianiste, c’est un couple de traitres parfaits ! Par dessus tout un officier de l’armée suisse, magnifique.
Posté par marguerite le 14 mai 2016 à 23h03
“mais dites-nous que ceci est une plaisanterie ?
en trois courbettes et quelques signatures, ils vendent le pays et les quelques acquis subsistant que leurs parents ont mis des années à obtenir ? ils dilapident la patrie comme on vend un objet dans un vide-grenier !”
Pourquoi tant de mots? La définition standard pour de telles personnes est tout simplement “traître”.
Même sa femme n’a pas confiance en lui, je pense que c’est pour cette raison qu’elle le suit pour ces déplacements à l’étranger !!!!!! où pour profiter sur le dos du peuple ?????
Burkha halter, recevra une sinécure à l’ONU comme prix de sa trahison. A voir sur internet : Brexit the film, très intéressant. Il démontre l’anéantissement de l’économie britannique par la bureaucratie bruxelloise, et pourquoi les hommes politiques sont friands de cette organisation. Même le Viagra y est gratuit! Pour Didi c’est pas utile, mais on ne sait jamais… Faire entrer la Suisse alors que l’UK en sort et que l’UE est au bord de l’implosion,et l’euro à l’agonie, ça démontre un aveuglement obsessionnel ou du crétinisme absolu, à moins que ce soit la démonstration de la corruption de notre pseudo-élite politique? Comment l’assemblée fédérale peut-elle renouveler sa confiance à de tels individus ? Il faut dire que le canton de Neuchâtel a de quoi susciter des interrogations : c’ est le seul canton où a été retrouvé des familles ayant tiré profit de la traite des esclaves ( dossier vite enterré par la presse ) et premier canton à abolir la crèche de Noël dans ses bâtiments publics!? Finalement Didi le Neuchâtelois, n’est-il pas en train d’accomplir ses devoirs : vendre les Suisses à une Europe anti-chrétienne, pour toucher ses 30 deniers !
Notons qu’il n’est pas le seul dans cette mission de bradage de la Suisse! Le couple mythique Leratbellay avant lui a réussi l’incroyable destruction de la banque en Suisse, alors que la mère Leuthard casse l’hydroélectricité, institue un contrôle absolu des terres enSuisse, rêve de tout léniniste, et dame Sommaruga en proférant l’invasion migratoire vise la destruction du pays de l’intérieur ?!
Pour que la Confédération résiste à autant d’Anti-Suisse , il faudra un miracle! Mais la folie de la BCE + Merkel Hollande devraient rapidement faire exploser l’Europe, du moins avant que nos traîtres n’aient abouti dans leurs devoirs sataniques : mentir, diviser, détruire.
mais dites-nous que ceci est une plaisanterie ?
en trois courbettes et quelques signatures, ils vendent le pays et les quelques acquis subsistant que leurs parents ont mis des années à obtenir ? ils dilapident la patrie comme on vend un objet dans un vide-grenier !
une plaisanterie oui mais une macabre plaisanterie !
dites-nous combien vous touchez plutôt ce sera ainsi plus clair une fois pour toutes !
ou c’est quoi alors une menace d’arme biologique ? la peste ? le nucléaire ?
drôle de notion du peuple souverain mes frères !
Les “appréciations” européennes sonneront comme des ordres. C’est de la novlangue. Pour faire passer la Suisse pour une bonne élève, notre CF n’hésitera pas à faire du zèle pro-européen. On le voit bien avec la pianiste ratée, lorsqu’elle va jusqu’à supplier Bruxelles de nous refiler encore plus de faux réfugiés musulmans.
Bonne exemple de BURKA HALTER président de la Confédération à l’époque, comment peut-on être conseiller fédéral président et détester les Suisses Allemand et Italien !!!! Il faudrait virer au moins deux traîtres à la Patrie: Pipi Gate et Burka Halter !!!!!.
http://www.rts.ch/info/suisse/5603260-didier-burkhalter-il-est-parfois-bon-de-parler-le-francais.html
Après le vote de dimanche sur l’immigration, le président Didier Burkhalter a défendu mardi la langue française et rappelé que la Suisse romande avait été une fois de plus mis minoritaire lors de ce scrutin. Deux jours après le oui à l’initiative sur l’immigration, Didier Burkhalter s’est à nouveau exprimé devant la presse mardi à l’issue d’une réunion avec la commission de politique extérieure du Conseil national. L’occasion pour le président de la Confédération d’une forme de remise à l’ordre à l’intention d’un journaliste alémanique. Alors que ce journaliste exigeait des précisions en allemand, le président de la Confédération a déclaré – en allemand – qu’il était “parfois bon de parler le français”, surtout dans le cas présent, car “la Suisse romande tout entière a dit non à l’initiative”. Et c’est elle qui “devra faire avec cette décision, comme d’habitude”, a-t-il ajouté. Et de souligner que la Romandie est la région la plus dynamique du pays. Quelle honte d’un pauvre petit président et conseiller fédérale !!!!.
L’UE est moribonde 😛 Encore 2 ou 3 soubresauts et le problème sera réglé…