«Corriger» les enfants? Un droit et même… un devoir selon le parti. Tollé.
Extrait de: Source et auteur
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S’il y a éducation, normalement il n’y a pas besoin de mettre de gifles. Bon, la société a bien changé depuis que j’ai eu les miens. J’entends souvent des parents dirent qu’ils n’ont pas le temps. Et comme dans toutes choses aujourd’hui, on essaie de guérir avec quelques choses, plutôt que d’essayez de se demander qu’elle est la source du mal.
Je suis membre UDC, mais n’ai jamais baffé mes deux enfants. Je suis persuadé qu’on peut éduquer des gamins sans les frapper!
Du moment que la secte préconise de royer sa femme pour lui apprendre la soumission, la giffle ne semble que fioriture. Il est vrai, ca n’est pas la secte qui a délivré l’ordonnance, juste scandaleux.
Taper, mais taper dans les règles de l’art… ??? ça me rappelle quelque chose de plus coranique, toute proportion gardée.
Une gifle ce n’est pas battre, personne ne devrait donner des gifles à dévisser la tête à ses enfants. Mais une bonne baffe ça peut bien aider à apprendre certaines choses qui ont de la peine à rentrer. En revanche, ce document recèle de bien d’autres bêtises malheureusement…
Si de temps en temps et de manière méritée, un enfant se prenait une bonne baffe, il arrêterait, pour ce qui est devenu une généralité, de se prendre pour un intouchable et d’avoir un comportement odieux et malhonnête. M. Verk, ce sont avec des théories bien-pensantes comme celles que vous défendez que nous sommes arrivés à une jeunesse de glands, de flemmards et d’égocentriques absolus. Il faut arriver à faire la part des choses entre une correction méritée et proportionnelle avec les mauvais traitements récurrents et gratuits. Si ils connaissaient le risque de leurs actions et les possibles conséquences, notre jeunesse (toujours en généra cela va de soi) serait moins promptes à se comporter en bande de connards absolus en considérants par défaut que tout leur est dû. L’enfer, dit-on, est pavé de bonnes intentions. Celle-là (ne pas toucher à un enfant) en fait très certainement partie…..
L’UDC Vaud ferait mieux de s’occuper des problèmes internes, plutôt qu’avancer des bêtises pareilles L’UDC Suisse s’est vite distancée de ces propos idiots.
On ne frappe pas un enfant, point final.
Car les conséquences pour sa vie adulte sont irréparables et seraient désastreuses.
@Anne: vous prenez le cas de violence sur un adolescent pour justifier la violence contre les enfants.
Impardonnable.
Feraient mieux de s’occuper de choses plus urgentes au lieu d’em…. les parents.
En parlant violence, c’est qui ce journaliste ? :
http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/Trop-possessif–un-journaliste-ira-en-prison-14672998
Quand ma mère (née en 1934) est arrivée dans un village comme nouvelle institutrice, fraîche émoulue de l’École Normale, elle a dû remplacer son collègue masculin qui avait la classe des grands. La voyant arrivé, un adolescent, plus grand qu’elle, s’est avancé, les mains sur les hanches en la fixant et en ricanant pour l’intimider. Ma mère a réagi au quart de tour : une monstre paire de gifles, bien appliquées, suivies d’un ordre sec. Elle n’a plus eu besoin de faire de la discipline après, les enfants avaient compris… et la classe pouvait travailler ainsi de façon sereine. J’imagine facilement ce qu’il serait advenu si ma mère avait intégré la mentalité du dialogue niaiseux…. Ce n’est pas étonnant que les nouvelles générations ont un niveau scolaire très médiocre, car la moitié du temps de classe est passée à faire de la discipline de parlotte. Les classes sont un bras de fer constant contre l’autorité, et les jeunes ne deviennent pas plus doux, mais plus violents, méprisants et agressifs, tout en étant incapables de se défendre réellement face au danger des personnes violentes qui déferlent, ne sachant plus reconnaître les sources véritables du danger.
Une idée pas idiote du tout. Durant 16 ans et des changements de locataires, je n’ai jamais eu de problème. Et d’un coup, arrivée des sauvages, ni nègres, ni musulmans, ni migrants qui font le tam-tam nuit et jour dans votre habitat comme dans un squat… bardés de prétentions universitaires. Encore des diplômes bidon signés P.S.. Coup de marteau sans arrêt durant 3 heures, difficile de savoir à quoi ça peut bien servir. Fabriquer des feuilles d’or ? Jeux vidéos violents durant 10 heures avec des basses qui correspondent au passage d’un train dans un tunnel. Rire, meubles bougés, tapage de pieds à 3 heures du matin etc. et encore rire lorsqu’on les interpelle à 3 heures du matin. Et mon enquête a déterminé qu’il s’agissait d’une feignasse dont la mère a été responsable du P.S.. Et la police constate, mais est-ce qu’elle colle une amende ? Difficile d’y croire puisque c’est récurrent. Et puis la police bisounours conseille une conciliation… Une technique bien dans l’air du temps. But éviter de sanctionner et tourner la qualité de demandeur et victime, en coupable. Méfiez-vous des conciliateurs qui ne veulent en fait pas faire leur boulot. Comme si des faits constatés ne suffisaient pas. Avec un dénommé Maudet dit conseiller d’Etat, qui mis face à une rom répond “y a qu’à pas leur donner” on a une police de plus en plus du même genre: “y a qu’à pas écouter”.
Ce sont là des manques manifeste de baffes et de coup de pieds au cul et d’un laisser faire dont les conséquence sont à la charge des futurs voisins.
Dans la distribution il ne faut pas oublier les dépravés qui ne sont pas nécessairement prêtres , comme le suggèrent cyniquement les média , qui s’intéressent de façon malsaine aux enfants.
Peut-être que Jean Christophe Schwaab n’en a pas suffisamment reçu à bon escient.
La conception moderne de la société est-ce des adultes castrés en extase devant l’enfant tyran ?
L’enfant, qui a un comportement inadapté cherche à tester les limites de ce qui est admissible et les parents ont le devoir de le recadrer.
Quand on a plus un papa et une maman mais un parent1 et un parent2 et un organisme social(iste) pour parfaire son éducation…
Le résultat, ce sont de futurs adultes désorientés ayant de plus en plus recours aux toujours plus nombreux psychiatres, incapables de supporter la moindre épreuve ou contradiction.
Je n’ai pas vécu au moyen-âge, mais si un instituteur m’avait giflé, je ne venais pas me vanter auprès de mes parents qui auraient remis la compresse (braves parents). Je ne suis pas mort pour autant et capable d’affronter les aléas de la vie.
Non. Battre un enfant reste une défaillance d’adulte.
Dans son enfance, Schwaab n’a pas dû se ramasser suffisamment de baffes. Que cet abruti cesse de faire dans l’émotionnel vendeur, sa conception à lui de la modernité.
Les parents fixent un cadre auxquels les enfant doivent se référer. A l’école, on ne va quand même pas laisser les élèves décider eux mêmes de toutes les matières et sujets qu’ils auraient éventuellement envie d’étudier.
Ces chochottes de gauchistes déconnectés de la réalité ont la prétention de vouloir remettre en question le droit à la gifle, pratiqué depuis le début de l’humanité ? Il ne s’agit pas de tabasser ses gamins 365 jours par an pour passer ses frustrations. La gifle doit venir en dernier recours si, après avoir demandé, expliqué, démontré, le gosse ne veut absolument rien entendre. On est loin de la maltraitance. La gifle est une “arme” de dissuasion. Imaginons une ville sans forces de police, ou bien des policier désarmés et sans moyens de contrainte (quoiqu’avec notre code pénal bisounours…).