Fin mars, le nombre de frontaliers étrangers en activité était exactement de 82'392, soit 5500 de plus en un an (+7,2%)
Si la tendance observée par l'OCSTAT depuis le début de l'année se maintient, la barre des 100'000 permis frontaliers (permis G) sera franchie cet été à Genève. Fin mars, 98'485 personnes bénéficiaient du sésame, dont 82'392 exercent une activité dans le canton.
A ce chiffre s'ajoutent les frontaliers genevois qui n'ont pas besoin de permis de travail ainsi que les fonctionnaires internationaux qui ne figurent donc pas dans cette statistique.
Tout comme le nombre des frontaliers étrangers en activité s’est accru de manière importante en une année: à la fin mars 2016, ils étaient exactement 82'392, soit 5500 de plus qu’en mars 2015 (+7,2%). Il faut remonter à 2013, indique StatistiqueGenève, pour observer une croissance relative supérieure. A l'échelon du pays, la progression annuelle au premier trimestre 2016 atteint 3,7 %.
Un frontalier sur quatre travaille à Genève. Le Tessin compte 62'647 frontaliers. Par rapport à la population résidente respective des deux cantons, la part des frontalier représente 17,6% au Tessin et 16,9% à Genève.
A tout les internautes de ce site avec une histoire empirique, certainement des faits réels, un patron peut engager 100% de frontaliers, il est inattaquable, d’ailleurs les Suisses ont voté POUR. Alors c’est quoi ce Ramdam.
A Hubert@
Mais si, mais si, les Francais viennent au contraire chez nous pour nous enseigner le travail méticuleux, la productivité , la paix sociale, l’inventivité et l’esprit d’initiative!
Une journaliste francaise le prétend du moins, dans son opuscule paru il y a quelques temps..
Dans tous les cas, une chose est sûre. Les frontaliers français ont réussi une chose […] Cette chose est la baisse de la qualité du travail fait. Expérience faite, je peux dire qu’un Français ne sait pas TRAVAILLER!
http://www.rts.ch/info/culture/livres/7709033–oui-je-voulais-provoquer-car-il-y-a-un-vrai-racisme-anti-francais-en-suisse-.html
Est ce que cette journaliste s’est posée la question de l’accueil qu’offriraient les Français aux Suisses si 100’000 passaient la frontière pour aller travailler chez eux. Je pense que l’on aurait “Nuit debout” à la frontière. Enfin le droit devrait encadrer tout ça en attendant un nouveau texte. En attendant, les salariés suisses se font marcher dessus sans broncher…
Essayez d’envoyer les chômeurs suisses en France et vous apprendrez ce que le terme ” fraternité” signifie pour un Frouze!
J’ai une fois proposé à un Francais de rebaptiser la ville de Pontarlier en FRONtarlier. Il a ri jaune!
Et leur suffisance, leur arrogance! ( pas tous, beaucoup envient la Suisse et sont reconnaissants)
J’avais aussi dit une fois à un frontalier qu’ici, il était en Suisse, et pas au Sénégal . Pour tenter de le faire redescendre de son trône et lui rappeler que mon pays n’était pas une colonie du sien!
Et pourtant il existerait en Suisse un racisme “antifrouz”. Une journaliste française a même pondu un bouquin et on lui a donné la parole par ex. sur Léman bleu!
Le calcul n’est pas très juste, parce qu’il ne faut pas prendre la population résidente, mais la population active comme comparaison. Et comparer aussi par rapport au nombre d’emplois du canton.
Le canton de Genève à 350’000 emplois, ce qui fait qu’avec 82’000 frontaliers, un pourcentage 25% des emplois sont occupés par de frontaliers. Si on compte que sur les 50’000 résidents français habitants sur le canton, il y a 30’000 actif, cela fait 110’000, donc pas loin du 1/3 des emplois.
Ce qui est le plus scandaleux, c’est que le chômage ne diminue pas, ou s’il diminue, c’est parce que les chômeurs sortent des tabelles.
Mon fils a été jeté, comme tous ses collègues suisses de son job pour des frontaliers “meilleur marché”, ma belle fille a été jetée, de son job, comme une malpropre, pour y engager, dès le lendemain, un étranger, meilleur marché…mon voisin se trouve aux sociaux, jeté pour des frontaliers…mon neveu, remercié pour restructuration…engagement la semaine d’un frontalier pour son poste…etc etc, des familles détruites, des personnes en burn-out, des gens déprimés à vie, des carrières professionnelles détruites, et en plus, il faut se taire pour le politiquement correct et pour ss
Ahurissant et le MCG ne fait que 25%, vraiment tous pourris…..les électeurs.
Elle est Suissesse, elle pouvait travailler une année dans l’horlogerie et depuis deux ans elle n’a plus été engagée dans cette horlogerie à Genève. Elle a fini au social. Dans l’industrie des horloges travaillent beaucoup de frontaliers, pourquoi cette Suissesse ne trouve-t-elle pas de travail?? Je boycotte ces marques !
Des contrats limités on ne connaissait pas en 1980 ? Ils n’ont plus de morale! Que prendre !
Plus grand est le bénéfice dans une entreprise plus les managers peuvent se servir dans la caisse et s’attribuer des salaires mirobolants ! Tant pis pour les autres!