Jean Raspail est interrogé par Charlotte d’Ornellas (Boulevard Voltaire 27/04/16).
« Il n’y aura pas de solution sans force et comme la force ne peut s’employer qu’avec une certaine violence, il n’y aura pas de solution sans une certaine violence. Ce n’est pas ce que je souhaite, c’est ce que je vois. »
« Au moment de l’affreuse affaire du Bataclan, les fleurs, les bougies, tout le monde s’y est mis… mais où est la colère là-dedans ? »
J’adhère à 100% aux propos de ce Mr Vautrin, tôt ou tard nous aurons cette violente et nécessaire confrontation.
C’est devenu désormais évident : “il n’y aura pas de solution sans force”. La caste continuant d’imposer ses vues et de procéder au grand remplacement, le peuple n’étant prié que de délivrer des chèques en blanc soit à la peste, soit au choléra, sans espoir de peser suffisamment sur la caste pour changer le cours des choses, il est très évident qu’il se constituera partout des “isolats” comme le dit R Camus et qu’une guerre civile est pratiquement inévitable. Personnellement, pourtant conscient des énormes inconvénients qu’elle comportera, je la souhaite, car ce sera l’ultime chance d’éviter la subversion de notre civilisation par l’islam.