Turquie, Ankara – « Nous souhaitons voir la Turquie dans l’Union européenne dans un future proche. » a dit le ministre des affaires étrangères, membre du PiS, Witold Waszczykowski, au cours de sa visite à Ankara. Mercredi, le chef de la diplomatie polonaise a rencontré le président Recep Tayyip Erdogan et son homologue turc Mevlüt Çavusoğlu, ainsi que d’autres officiels turcs. Les discussions ont porté principalement sur la coopération bilatérale, les relations UE-Turquie, la crise migratoire et les questions de sécurité du Moyen-Orient.
Le ministre Waszczykowski a commencé sa visite à la capitale de Turquie en rencontrant le président Erdogan. « Nos relations ont une longue tradition vieille de plus de 600 ans, » a souligné le ministre durant la rencontre. Il a également fait par de son espérance de voir naître d’importantes décisions au sommet de l’OTAN en juillet à Varsovie, afin de renforcer le flanc Est de l’alliance. Le président Erdogan a noté que la Pologne est un partenaire spécial de la Turquie. « Nos relations ont gagné une nouvelle dynamique récemment. Je suis reconnaissant à la Pologne pour son soutien aux aspirations turques, » a-t-il souligné.
Les deux parties ont déclaré espérer intensifier leur coopération économique. « Les offres pour les projets de développement des infrastructures polonaises peuvent devenir un moteur de progression de nos relations économiques. Nous comptons aussi sur l’intérêt de coopérer pour le secteur de la défense, » a noté le ministre polonais.
Durant les discussions du ministre Waszczykowski avec le ministre des affaires étrangères turc Mevlüt Çavuşoğlu, les sujets principaux ont été la sécurité au Moyen-Orient et les relations de la Turquie avec l’UE. « Nous voulons que l’UE aide la Turquie dans pour les problèmes générés par les conflits chez ses voisins. Nous voulons aussi résoudre les problèmes générés par la crise migratoire, » a dit le ministre polonais. Le ministre des affaires étrangères turc a signalé que la Turquie a accueilli trois millions de réfugiés de Syrie et d’Irak. Il a souligné la nécessité de leur offrir des soins décents et une éducation à leurs enfants.
Le ministre Çavuşoğlu a remercié la Pologne pour son soutien à la procédure de candidature et pour la suppression des visas européens pour les citoyens turcs. « Nous Polonais avons depuis de nombreux années un intérêt à mettre en place un système de visas faible, voire ne pas en avoir du tout, » a assuré le ministre Waszczykowski.
Durant la conférence de presse Waszcykowski a estimé que, sur les flancs Est et Sud de l’OTAN, les « problèmes existent du fait du comportement agressif de la Russie. »
Lors de sa rencontre avec le premier ministre turc Ahmet Davutoğlu, les discussions ont porté sur les relations bilatérales incluant la coopération en matière de sécurité. L’organisation du sommet de l’OTAN cet été à Varsovie a aussi été un sujet majeur. Le ministre des affaires étrangères Witold Waszczykowski a également rencontré à Ankara le président du parlement turc Ismail Kahraman.
MFA Press Office
Extrait de: Source et auteur
Pour certains polonais, le sentiment anti-russe est tel qu’il leur fait dire et faire n’importe quoi. Il faut leur dire que les choses ont changé et que l’ère soviétique est terminée. Ils devraient avoir bien plus peur des rapaces étasuniens que de leur voisin oriental, car ces premiers ont beaucoup moins de cœur, ou plutôt pas du tout. Pourtant cela devrait se voir….
Il faut qu’il arrête la vodka au petit déjeuner. Ou alors pas plus d’un litre.
Mais pour le moment, comme je le ressens à Cracovie, les polonais ne veulent pas plus des turcs que des russes … et de la dictature européâtre.
Soit il est tombé sur la tête et va se faire limoger dès son retour … ou alors la fière Pologne est en train de baisser ses culottes devant les américains censés les défendre de la Russie (qui n’a nulle intention d’envahir la Pologne, mais c’est un vieux réflexe polonais que de la croire).
Quoi qu’il en soit, ça ne sent pas bon tout ça !
Effectivement, Vautrin, je n’ai pas bien pigé non plus ! A moins que la Pologne ne soit victime de quelques discrètes pressions…
Attendez… On nous dit que la Pologne refuse l’invasion. Et ici on nous dit que son ministre des AE vient discuter avec l’Erdogan. Donc la Pologne serait d’accord pour introduire le cheval de Troie de l’Islam dans la Cité ? Aberrant ! Il doit y avoir de sales pressions des otaniens étasuniens, pour qu’une telle démarche contraire aux intérêts des peuples européens soit entreprise.
Il reste à espérer le Brexit et l’écroulement de l’entité européâstre pour que l’ottoman soit tenu en lisière.
Ô mânes de Jean III Sobieski, revenez chasser le Turc mahométan !