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@ P.Monnard 20.04 – 07:44 – votre commentaire est parfaitement exact, excellent.
« La démocratie » selon la RTS (et les médias de masse) c’est, avant chaque votation proposée par l’UDC, trois mois d’endoctrinement sans relâche et sur tous les supports disponibles pour contrer l’initiative. C’est la fabrication de l’opinion, du consentement, comme l’expliquait Bernays. « Quelle démocratie ? » en effet, Geronimo.
La RTS a déconstruit l’infrastructure des idées.
En transformant son organisation en une machine à promouvoir un système unique de valeurs et de normes (du fascisme mou, comme le dit si bien Simon Jones), elle nous a privé de notre outil à débattre ouvertement d’idées contradictoires.
La première étape pour retrouver cet instrument c’est de priver ladite RTS de ses ressources providentielles et de la forcer à se retrancher derrière un paywall. Toutefois, n’importe quel mouvement formé à cette fin sera massacré, anéanti médiatiquement, pire encore que l’opération contre l’initiative de mise en œuvre. (Le matraquage contre NoBillag est sans doute en préparation).
Le contre-pouvoir est divisé, Alexandre a raison. Mais des citoyens comme M. Windisch pourraient bien devenir les architectes de la future infrastructure des idées, car nous devons nous remettre à penser, c’est urgent, pour sortir, comme le dit Cenator, de ce désastre suicidaire.
La chute du communisme en 1989, la révolution de 56 en Hongrie et bien d’autres révolutions ont commencé par la prise du pouvoir sur les médias.
Celui qui peut se faire entendre gagne des adeptes.
Il y a donc deux manières complémentaires de combattre ceux qui travaillent à la destruction de notre pays :
1) créer suffisamment de contre-pouvoirs.
2) prendre leur place.
Par essence, les propos gauchistes déforment la réalité jusqu’à ce que cette dernière corresponde à l’idéologie ce qui leur procurera pouvoir, considération et richesses.
Le moyen permettant de parvenir à leurs fins, c’est la novlangue par le biais des médias. Le lavage incessant des cerveaux agit si profondément que la masse moutonnière finira par suivre sans résistance les injonctions du camp du « bien », de la bienpensance. L’ostracisation, la diabolisation continuelle de l’UDC ont porté leurs fruits. La majorité vote contre les initiatives UDC… parce qu’elles viennent de l’UDC. En ce sens, M. Blocher a raison de comparer cette propagande avec la propagande nazie.
Que feront les gauchistes aux patriotes si ces derniers émergent en Suisse? Simplement leur appliquer des mesures bien plus drastiques que celles réservées aux terroristes, aux djihadistes, aux criminels.
Comment se fait-il que des journalistes-fonctionnaires-gauchistes puissent sévir sans opposition depuis des décennies ?
Quels leaders pourront nous sortir de ce désastre suicidaire ?
@ Galileo. Le socialisme ne saurait s’apparenter à une démocratie. Ce sont deux termes antinomiques. C’est un paradoxe. Exemples: une femme fidèle, un homme honnête, etc. Vous comprenez ?
Très bonne intervention de monsieur Windisch. Le gauchisme est une utopie collectiviste, elle ne peut s’accorder avec la réalité. Pour exister, elle doit nier cette réalité et bâtir son monde imaginaire en s’attaquant aux fondations de cette société, culture, identité nationale, Histoire pour la substituer par une pseudo-culture ou tout n’est que façade, on ne crée rien mais on donne l’illusion au peuple que cette nouvelle culture est progressiste, humaniste alors que c’est exactement le contraire.
Le gauchisme à deux points forts :
– Sa capacité à mettre en place un corporatisme sociétal ; ils s’emparent rapidement de tous les organes d’influence et de décision dans les pays ( médias, enseignement, justice- en France), ce qui leur permet d’éliminer toute opposition d’opinion et d’avoir toujours raison dans leur délire, c’est le règne de la pensée unique.
– En contrôlant les médias et l’enseignement, ils mettent en place leur propagande, ce qui leur permet de s’attribuer toutes les vertus, humanisme, progressisme et de diaboliser leurs opposants comme le dit très bien Mr Monnard dans son commentaire.
Le plus grand danger du socialisme est qu’il veut à tout prix créer un “individu type” conforme à sa société idéale et ne supporte désormais plus ceux qui ne rentrent pas dans le moule.
La non acceptation de la réalité entraine souvent une automutilation intellectuelle et ils s’en prennent à la société en s’auto-culpabilisant en permanence.
Le tabou sur le gauchisme est grand mais comme le dit monsieur Windisch, un contre pouvoir commence à se mettre en place mais il est pour l’instant trop divisé, il lui faut un projet commun pour qu’il grandisse.
@Galileo
M.Monnard parle ici du totalitarisme ambiant et pas de démocratie. Quand pour seule réponse à une opinion on reçoit en guise d’argument des “raciste” “xénophobe” “populiste” “extrême droite” etc…. sans même avoir à argumenter ou justifier ces insultes (car connotés péjorativement), ce n’est pas de la démocratie mais du totalitarisme, “fascisme mou” saupoudré de pensée unique. Rien à voir avec la démocratie qui consiste à trouver un juste milieu entre deux arguments/opinions contraires et pas de faire taire un opinion contraire. C’est en tout cas dans les grandes lignes la définition que je me fais de la démocratie.
Galileo, quelle démocratie? La pseudo démocratie destructrice prônée par la goooche? Alors c’est un tout grand OUI!
Monnard, Apparemment la démocratie vous em…..!
Le fléau fondamental de notre société est cette classe de prédateurs parasites, les socialistes (la gauche, les collectivistes, les marxistes). Ils sont réélus car ils ont le contrôle des porte-voix les plus puissants (RTS par exemple, ou l’éducation comme le dit M. Windisch) et ils les utilisent pour :
•Donner aux gens l’illusion que tout va bien.
•Menacer ceux qui ont des idées non conformes de violence verbale : « populiste ! », « raciste ! », « xénophobe ! », etc… la liste est longue.
•Mettre en œuvre avec succès les techniques prouvées d’ingénierie sociale comme par exemple (mais pas uniquement): la fabrique du consentement, la manipulation des impulsions primaires ou encore la création d’une réalité fictive.
Cette classe de parasites est fermement au pouvoir et importe les électeurs nécessaires pour le rester, car elle est parfaitement consciente que de perdre son autorité, c’est perdre l’hôte dont elle se nourrit.
Les exclure du pouvoir c’est un peu comme arracher une tique, c’est difficile, ça fait mal, et c’est dégoûtant. Mais on se sent tellement mieux après.