Alors que les cas de djihad augmentent en Suisse, de nouveaux cours de sensibilisation du personnel pénitentiaire sont lancés. Pour détecter des situations problématiques et agir.
«Recruter la relève pour la guerre sainte»
La Suisse romande n’est pas oubliée: le 7 juin, c’est à Fribourg, qu’agents de détention et de sécurité pourront se familiariser à la thématique, en français. «Les participants apprendront surtout à distinguer les actes religieux «normaux» des actes dangereux qui ont pour objectif de recruter la relève pour la guerre sainte», explique Thomas Noll.
Laurent Forestier, responsable de la communication du département de sécurité de Pierre Maudet répond au nom de l’Office cantonal de détention, qui regroupe huit établissements pénitentiaires, dont Champ-Dollon, le Service de probation et d’insertion et le Service d’application des peines et mesures. «Oui, nos établissements sont concernés, dit-il, mais dans des proportions moindres que ce qui est rapporté dans certains établissements français». Le pourcentage de détenus musulmans à Champ-Dollon était de 45% en 2015.
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la bonne formule serait aussi d’enfermer les pratiquants du prosélytisme islamique et incitateurs de haine,
l’incitation à la haine et à la violence sont des faits graves dangereux et condamnables non ?
Mme Sommaruga, relisez les textes de lois et appliquer les !
Une bonne formule consisterait à engager des aumôniers saoudiens ou qataris ne parlant pas un mot de français pour enseigner l’amour, la tolérance et la paix permettant une réinsertion réussie.