Suite à la condamnation de son compatriote Alain Jean-Mairet, Oskar Freysinger, entre deux réunions, a répondu aux questions de Pierre Cassen
Pierre Cassen : Votre compatriote Alain Jean-Mairet vient d’être condamné lourdement par un tribunal français, la 17e chambre, pour avoir, comme directeur suisse, publié un texte très critique contre les pratiques barbares de l’islam, écrit par un Tunisien. L’argument du tribunal, et de la Licra, partie civile, est que ce texte se trouvant accessible en France, tombe sous le coup de la loi française. Comment réagissez-vous à ce jugement ?
Oskar Freysinger : c’est le retour de Torquemada et de l’inquisition, mais appliqué à l’islam. Le dogme du politiquement correct a pris la place des dogmes religieux. Cela annonce la fin de la liberté de parole et donc de l’état de droit démocratique. De plus, le fait que les frontières physiques et les frontières juridiques ne sont plus congruentes montre l’avancée d’un mondialisme dont le but est la destruction des états nation. On fait comme s’il y avait UNE loi universelle déterminée par une clique dogmatique cherchant à imposer son pouvoir de manière planétaire. Cette évolution nous rapproche d’un brave new world affligeant.
Pierre Cassen : Il vous arrive, vous aussi, ainsi qu’à certains de vos compatriotes, de critiquer ce dogme. Craignez-vous une jurisprudence qui remette en cause votre liberté de parole, et plus largement la souveraineté suisse ?
Oskar Freysinger : pas en Suisse, pour l’instant. La démocratie directe et la soif de liberté du peuple Suisse empêchent cette censure. Mais la tendance est ici aussi au musellement par peur du débat démocratique.
Pierre Cassen : Avez-vous l’intention de réagir, et si oui, sous quelle forme ?
Oskar Freysinger : on ne peut pas agir sur la loi française depuis la Suisse. Si j’étais Alain Jean-Mairet, j’ignorerais ce jugement totalement infondé et problématique du point de vue institutionnel.
Propos recueillis par Pierre Cassen
Interview sorti en premier sur Riposte Laïque
Faut en profiter pour en faire une jurisprudence à l’échelle de l’Europe…
Misérable justice déliquescente à la française…
Elle ne loupe pas une occasion de perdre toute considération…
Pfff !!!
je pense que les peuples doivent reprendre la main cad leur souveraineté qu’on leur a volée et remplacée!!! et appliquer l’article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen
Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Eddie, c’est probablement le calcul de Me Haddad, aller jusqu’au bout de la procédure, c’est-à-dire devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
Maintenant, va-t-elle désavouer le verdict de la 17ème chambre du TGI de Paris, ce qui serait un camouflet à la justice inique de la Rance voisine. Je pense qu’il faut garder espoir, nous pourrions bien être, comme disent les Vaudois, déçus en bien.
Je ne crois pas qu’il faille faire fi de ce jugement, il faut faire appel, même aller jusqu’à Strassbourg.
L’on ne sait pas tout ce que nos dirigeants qui font de l’aplatventrisme devant l’UERSS et les mondialistes ont signé.
Il faut dire merde à la 17ème chambre du TGI de Paris.
Oskar Freysinger a vu juste! Foutons nous de ce que pensent ces fossoyeurs de la démocratie . Lorsqu’un musulman insulte notre culture, on le fait passer pour un ” déséquilibré” et on l’excuse illico!
Saint Augustin
“A force de tout voir on finit par tout supporter… A force de tout supporter on finit par tout tolérer… A force de tout tolérer on finit par tout accepter… A force de tout accepter on finit par tout approuver !”