Pourquoi je quitte la France

Je quitte la France. Je n’y restais encore que pour prendre soin de mes vieux parents. Ils sont tous deux décédés maintenant. Plus rien ne me retient.

J’aurai la nostalgie de ce que fut la France ; mais je l’éprouve déjà présentement quand je suis en France. Ce pays n’est plus celui que j’ai connu dans ma jeunesse. Des mosquées y émergent, et des églises sont transformées en parkings. Le grand remplacement décrit par Renaud Camus est en marche, et des auteurs tels que Renaud Camus, ou Eric Zemmour, sont traînés devant les tribunaux parce qu’ils le disent.

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17 commentaires

  1. Posté par haricotcru le

    Le problème de fond est la corruption qu’on expérimente à ses dépens et qui vient par le haut. et cela fait exemple. Nous sommes dans un pays dans lequel le droit n’est plus qu’un leurre qui légitime l’impôt et l’oppression de ce qui dérange. Des réseaux ténébreux en cols blanc se répandent dans les administrations, les tribunaux aptes au non dire et non faire le droit. Des notaires peuvent spolier, voler sans qu’aucun procureur ou service fiscal cela dérange. les vassaux suivent et encouragent cette dictature que l’on dit molle au profit de leurs intérêts, presque heureux de la démolition d’autrui et sans comprendre que les branches seront coupées pour eux aussi à un moment donné. Je ne respire pas bien dans ce pays. La bêtise alliée de méchanceté y prend une place prépondérante. L’atmosphère relève de la collaboration. Il n’y a plus ici d’autres lumières que les ‘people’ uniformisées qu’on nous présente comme des héros, rémunérées pour nous servir le non penser.

  2. Posté par Dominique Marie le

    @ Médusa :

    En situation de danger, l’individu a trois options :

    1. RIPOSTER.

    2. FAIRE LE MORT.

    3. FUIR.

  3. Posté par Dominique Marie le

    « Ne cherchons pas à changer ce monde, changeons de monde. »

    Dieudonné, 6 avril 2016

  4. Posté par Simon Jones le

    La parole est le langage articulé humain destiné à communiquer la pensée, et est à distinguer des communications orales diverses, comme les cris, les alertes ou les gémissements. « Articuler la parole » consiste à former des signes audibles, les syllabes, formant les mots qui constituent des symboles. Métaphoriquement, la parole est devenue toute communication s’adressant à l’esprit (parler avec le regard, la gestuelle, le silence). L’étymologie du mot parole est la même que celle du mot parabole, en grec le mot παραϐολή signifie « rapprochement, comparaison ».

    La parole est le langage incarné de l’homme. La parole est singulière et opère un acte de langage qui s’adresse à un interlocuteur, éventuellement soi-même, mentalement, ou à un support par l’écrit par exemple. La parole permet d’exprimer des besoins, pensées, sentiments, souffrances, aspirations, du locuteur. La parole peut aussi constituer une observation plus ou moins subjective des faits, ou encore être la formulation d’une demande. Elle permet de témoigner d’un changement de conception du monde (épistémè). Dans ce sens, une vérité est la tentative de description de la réalité à l’aide de la parole.

    L’usage social de la parole a déterminé des langages particuliers nommés idiomes, langues, dialectes, parlers. L’utilisation d’une langue ou le choix des mots n’est pas neutre parce que le langage structure la pensée. Les querelles linguistiques ou atteintes aux langues peuvent être des tentatives de sujétion de l’Homme en imposant des paradigmes, comme dans le cas de la langue ou des expressions d’un groupe dominant.

    La parole permet de communiquer l’abstraction et permet sa mémorisation. Une abstraction peut permettre la création de concepts nouveaux distincts de la réalité. La parole est depuis longtemps physiquement mémorisée sur des supports divers, d’abord par les images comme avec l’art rupestre il y a plus de 30 000 ans1. Puis par l’écriture, dont la date d’apparition marque le début de l’histoire (en Mésopotamie en 3500 av. J.-C.). Et enfin, de nouveau les images reprennent l’ascendant sur l’écriture avec le développement des supports audio-visuels dans les sociétés contemporaines.

  5. Posté par Pierre H. le

    @ toi, la divinité chthonienne, si tu savais ce que j’en ai à battre de ce que tu penses !

  6. Posté par Hadès le

    @ PierreH : mais quel héro fais-tu ! Tiens au fait, quels sont tes faits d’arme, quelles sont les OPEX auxquelles tu as participé ? Parce que, vu ton type de comportement ça sent le mytho plein nez.
    Le mec se barre, point. Que vient donc faire ici ce CV long comme un jour sans fin ? Cela montre que le mec se barre à la première difficulté, (re)point. Et puis c’est quand même 3615 MyLife : tout le monde s’en fou.
    * Le pire c’est que CV ne lui rend pas service vu qu’il est responsable de ce qui nous arrive, au moins en partie.
    Alors n’attends pas de moi que je le plaigne, surtout pas.
    – “et contrairement à vous, il combat par ses écrits et sous son vrai nom” c’est sûr, ça fout la trouille ahahahah ! Surtout quand le mec écrit juste avant de se barrer…
    – Mon pauvre monsieur, vous ne savez même pas à qui vous vous adressez alors vos jugements à l’emporte pièce et votre condescedance envers les autres intervenants ne font que vous desservir.
    On attend tous votre réponse à la première question histoire de voir qui combat vraiment.

  7. Posté par Pierre H. le

    @Dominique Marie
    Vous avez entièrement raison ! Et les premières décapitations venues, nous verrons bien ce que feront tous ces hardis gaillard(e)s derrières leurs ordinateurs avec des pseudos.
    Déjà l’agression des 3 Suisses par 15 Érythréens il y a quelques jours en Argovie dans une gare, et personne n’a bougé !!! Alors, venir faire des théories après, loin des théâtres des opérations, c’est tellement facile !

  8. Posté par Pierre H. le

    @ Médusa
    Guy Millière (l’auteur de l’article), que je n’aime pas spécialement, connait certainement les USA bien mieux que vous ( il a été entre autres Ancien visiting Professor à la California State University à Long Beach), et contrairement à vous, il combat par ses écrits et sous son vrai nom le socialisme, l’immigrationisme, l’invasion islamique et l’islam en France avec tous les risques que cela comporte tant de par la république tyrannique française que par l’islam lui-même. Voilà son curriculum vitae qui n’invite qu’à une chose, se taire :
    Guy Millière, (spécialisation : économie, géopolitique). Titulaire de trois doctorats, il est professeur à l’Université Paris VIII Histoire des cultures, Philosophie du droit, Economie de la communicationet Maître de conférences à Sciences Po, ainsi que professeur invité aux Etats-Unis. Il collabore à de nombreux think tanks aux Etats-Unis et en France.
    Expert auprès de l’Union Européenne en bioéthique, Conférencier pour la Banque de France.
    Ancien visiting Professor à la California State University, Long Beach.
    Traducteur et adaptateur en langue française pour le site DanielPipes.org. Editorialiste à la Metula News Agency, Israël Magazine, Frontpage Magazine, upjf.org. Membre du comité de rédaction d’Outre-terre, revue de géopolitique dirigée par Michel Korinman. Rédacteur en chef de la revue Liberalia de 1989 à 1992
    Il a participé aux travaux de l’American Entreprise Institute et de l’Hoover Institution. Il a été conférencier pour la Banque de France, Il a participé à l’édition d’ouvrages libéraux contemporains comme La constitution de la liberté de Friedrich Hayek en 1994 dans la collection Liberalia, puis dans la collection « Au service de la liberté » qu’il a créée aux éditions Cheminements en 2007. Il a également été rédacteur en chef de la revue éponyme Liberalia de 1989 à 1992.
    Il a été vice-président de l’Institut de l’Europe libre ainsi que Président et membre du conseil scientifique de l’Institut Turgot. Il fait partie du comité directeur de l’Alliance France-Israël présidée par Gilles-William Goldnadel.

    Il est l’auteur de plus d’une vingtaine d’ouvrages.

    Alors qu’il en aie marre dans ce magma de moutons lobotomisé et avachi, je le comprends totalement !

  9. Posté par Dominique Marie le

    Chacun est dans sa peau. Chacun a son vécu. Et chacun fait ce qu’il peut.

    La guerre, c’est le sauve-qui-peut, il ne faut pas se leurrer, ce sera du chacun pour soi pour survivre. Mais ce n’est plus “la guerre de Grand-Papa” où on était tous solidaires, tous unis, un même front “face à l’ennemi”, tout ça c’est finito, tu oublies.

    Autrefois, la guerre était différente, elle se passait “à l’extérieur”, au front, ou bien elle impliquait un occupant que tout le monde voulait bouter dehors.

    Mais quand la guerre a lieu dans sa propre rue, dans son jardin peut-être (…).

    Quand les dirigeants du pays sont eux-mêmes les ennemis qui vont pilonner le peuple.

    Quand les dirigeants du pays font eux-mêmes venir des chevaux de Troie pour instaurer le chaos et exterminer leur peuple.

    Quand les dirigeants du pays exposent leur peuple aux pires massacres terroristes du fait qu’ils ont trahi les sbires qu’ils avaient formés et que ces sbires se retournent ensuite contre ce pays.

    Quand les dirigeants du pays désarme le peuple avant le chaos pour qu’il ne puisse plus se défendre.

    Quand les dirigeants du pays ont commencé à censurer, interdire, arrêter, enfermer, surveiller, policer.

    Quand les dirigeants du pays sont eux-mêmes des traîtres à la patrie et qu’ils ne pensent qu’à exterminer et faire exterminer les Chrétiens qui ont fondé ce pays, on fait quoi ?

    Pauvre France, Clovis doit se retourner dans sa tombe…

  10. Posté par Médusa le

    Cette personne est comme les “réfugiés” : elle va où elle pense avoir le plus de profit. c’est le système de l’eau qui coule toujours au plus facile.
    – Je dis à cette personne de renoncer à la nationalité française : c’est trop facile de garder des portes de sortie en crachant ça et là sur un pays puis l’autre.
    – C’est pour et dans son pays qu’il faut se battre.
    Je connais bien les USA depuis les années 80 : aujourd’hui cela n’a plus rien à voir.

    Reviendra t-il tout penaud, la queue entre les jambes : je le crois.

  11. Posté par Dumesnir Henri le

    Les Etats-Unis sont économiquement, socialement et de manière sociétale dans une déliquescence bien plus avancée que l’Europe occidentale. Avec tous ces groupes ethniques qui vivent cloisonnés, ces gangs et ces ploutocrates mondialistes au pouvoir, un taux de demandeurs d’emploi d’environ un tiers, le surendettement du pays font que l’effondrement de la société américaine est proche. L’Europe suivra le même chemin. C’est la fin du monde occidental tel que nous le connaissons encore aujourd’hui qui va se produire à court terme.
    Pour ceux qui ont envie de déserter le vieux continent, l’Australie me semble un bien meilleur choix. Pour ma part, quoi qu’il arrive en Suisse ou Europe, j’y resterai !

  12. Posté par Pierre H. le

    @Andrea
    Encore un détail… Si l’on se battait pour de vrai contre notre gouvernement et contre l’invasion (comme les résistants en France contre les nazis), alors là oui, ceux qui ficheraient le camps seraient des déserteurs. Mais quand la majorité accepte son sort, ne se bat pas et veut se suicider, vous n’avez qu’un seul devoir : sauver votre peau et celle de votre famille.

  13. Posté par Pierre H. le

    @Andrea

    Facile de traiter les autres de déserteur et de ne rien faire soi-même. Déserter est la seule chose à faire quand tout le monde veut se suicider et personne ne veut rien faire ou ne faire qu’en paroles.

    Déserter, c’est déjà mieux que ne rien faire.

  14. Posté par Andrea le

    Encore un déserteur.

  15. Posté par Sancenay le

    Le but des mondialistes dont tout particulièrement les mondialistes yankees consiste justement à faire de tout être humain un ” migrant” , si ce n’est -ou les deux à la fois- un matériau parmi d’autres.
    C’est donc au mieux se soumettre et au pire collaborer que de lui donner ainsi factuellement raison. Moi je préfèrerai mourir au pays de mes “vieux parents” et les rejoindre un jour là où ils sont , mais en passant par notre sol , c’est à dire : sans l’avoir jamais déserté.

  16. Posté par Myrisa Jones le

    Il y en a qui vont regretter de n’avoir pas voulu défendre et préserver une forme de secret bancaire en Suisse, un arrangement plutôt qu’une suppression totale, pour garder la manne en Europe! Ceux qui nous ont le plus accusé et condamné tout en y participant par derrière, les élites françaises, vont être dans les premières a en payer le prix fort par un assèchement total des finances publiques et le chaos social qui en débouchera inévitablement.
    Il leur sera bien plus difficile de recouvrir ce qui est parti à l’autre bout du monde en Asie ou aux EU par exemple.
    Fallait réfléchir un peu, au lieu de se faire une publicité médiatique bon marché uniquement pour être élu. Vous savez le fameux ” mon ennemi, c’est la finance!”. La Suisse leur a juste servi de paillasson parce que c’était un petit pays.
    On récolte ce que l’on sème.

    Les élites économiques fuient le vieux continent !

    Par Nicolas Bonnal 7 avril 2016 Économie

    C’est officiel : selon l’agence New World Wealth, le vaisseau européen prend l’eau, et les fuient le vieux continent, ruiné et envahi.
    Les métropoles de la France et des pays méridionaux comme l’Espagne, l’Italie ou encore la Grèce se vident de leurs bons riches. Les millionnaires quittent des villes comme Paris, Bruxelles, Athènes ou Rome. On ne précise pas (comme c’est curieux !) quel rôle peuvent avoir les réfugiés dans la fuite de ces villes.
    Et le document ne parle pas non plus de Cologne ou de l’Allemagne ! Quel dommage !

    Élément intéressant : Londres, capitale incontestée du Richistan jusque là, est en déclin. Nous le savions grâce au Monty Python John Cleese qui disait en 2012 ne plus reconnaître sa bonne ville !
    Les Anglais de souche, ou nés à Londres, la fuient… Ils gagnent d’autres contrées moins exotiques ou inquiétantes. Des villes comme Chicago aux États-Unis, soumise à la violence de 3 000 gangs ethniques, se vident aussi de leur population la plus prospère. Mais le continent nord-américain est grand, parfois encore assez vide et permet à tout riche de trouver sa thébaïde.
    Le document évoque dix mille français – dont trois mille Parisiens – qui ont quitté la France en 2015 en insistant sur les causes : les frictions islamo-chrétiennes (ces chrétiens, tout de même !) qui poussent pas mal de Juifs français à se réfugier à Tel Aviv, devenue une des villes les plus riches du monde.
    Les autres fuyards (fuyards ou réfugiés ?) filent en Amérique du Nord et en Australie.
    On ajoute aussi que les frictions russo-américaines sont évoquées dans le texte et inquiètent en haut lieu (puisqu’elles se solderont par une guerre nucléaire lorsque Clinton et Juppé seront élus).

    Fini la Suisse ! Le riche se réfugie aux antipodes ; non pas en Patagonie comme le héros de Jean Raspail, mais en Australie et en Nouvelle-Zélande, promue Eldorado du Richistan depuis la saga du Seigneur des Anneaux. Des villes comme Sydney, Melbourne, Auckland sont ainsi pleines à craquer de riches. Et le document ne parle pas des îles qui s’arrachent à prix d’or dans ces contrées sauvages !

    On citera Chesterton et le nommé Jeudi pour expliquer le problème : « Vous partagez cette illusion idiote que le triomphe de l’anarchie, s’il s’accomplit, sera l’œuvre des pauvres. Pourquoi ? Les pauvres ont été, parfois, des rebelles ; des anarchistes, jamais. Ils sont plus intéressés que personne à l’existence d’un gouvernement régulier quelconque. Le sort du pauvre se confond avec le sort du pays. Le sort du riche n’y est pas lié. Le riche n’a qu’à monter sur son yacht et à se faire conduire dans la Nouvelle-Guinée. Les pauvres ont protesté parfois, quand on les gouvernait mal. Les riches ont toujours protesté contre le gouvernement, quel qu’il fût. »

    Si les riches se mettent à détester leur douce mondialisation…

    http://eurolibertes.com/economie/elites-economiques-fuient-vieux-continent/

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