La démocratie est un outil au service de l'Etat de droit et un outil au service de la liberté. La démocratie n'est donc pas une fin en soi . Elle est un outil. Si l'Etat cesse d'être un Etat de droit et si la liberté n'est plus garantie, alors cet outil qu'est la démocratie est bon pour la poubelle. A cet égard, on peut dire, sans risquer de se tromper, que la France n'est plus un Etat de droit ; et on peut même dire que de nombreux Etats membres de l'Union Européenne ne sont plus des Etats de droit. A partir de là, on peut poser un regard différent sur la Russie de Poutine. Certes, dans ce pays, les libertés ne sont pas toutes garanties.
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Cependant, pour nous qui vivons en Europe occidentale, pour nous qui sommes submergés par un flux migratoire musulman massif, pour nous qui sommes gouvernés par des lâches, la Russie de Poutine est devenue un exemple, presque un modèle, en tous les cas une amie. C'est notamment le cas sur le dossier syrien. Sans les Russes, la Syrie serait devenue un Califat, plus concrètement, le Califat de l'Etat Islamique (EI) au Levant. En quelque mois, Poutine a fait en Syrie ce que les Américains n'ont pas été capables de faire, durant de nombreuses années, en Irak.
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A ce propos, Ivan Rioufol, dans un article intitulé "Leçon de Poutine aux démocraties lâches", écrit notamment (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : C’est grâce aux frappes préalables de l’aviation russe contre l’État islamique que l’armée syrienne de Bachar el-Assad a pu libérer Palmyre. La cité antique, berceau de la reine Zénobie, était occupée par les djihadistes depuis mai 2015. Ils l’ont dévastée en partie, dans cette rage à tuer l’histoire dont héritent depuis Allah ces éradicateurs des civilisations passées.
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Ivan Rioufol : Les Russes, qui se sont retirés du champ de bataille avant de rendre possible la reprise de la cité antique, sortent vainqueurs de cette reconquête symbolique. Celle-ci dévoile, par leur absence parmi les libérateurs, la faiblesse des États-Unis et de leur allié français. La leçon à tirer de la stratégie poutinienne est simple : seule la force fera reculer l’idéologie islamiste, qui ne respecte que ce langage.
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Ivan Rioufol : Quand François Hollande parle d’"anéantir Daech", il est si peu convaincant qu’il récolte les foudres de l’État islamique, qui lui promet l’apocalypse et tient parole. Or ce ne sont pas par des minutes de silence ou des bougies rassemblées place de la République, à Paris, que les soldats du Coran, qui sont aussi bien en Syrie qu’en France, seront liquidés. Contre eux, la répression doit être féroce.
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Ivan Rioufol : L’accoutumance occidentale à la haine antichrétienne, qui n’a pas suscité l’indignation française après le massacre de 29 enfants (sur 72 tués) dimanche de Pâques à Lahore (Pakistan) par des islamistes, est le signal de l’engourdissement des démocraties libérales : elles ne voient de victimes que parmi les minorités musulmanes sur leur sol, sans s’effrayer du malheur des chrétiens en terres d’islam, qui préfigure leur sort, conclut Ivan Rioufol (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
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Seule la force fera reculer l’idéologie islamiste, qui ne respecte que ce langage. Contre elle, la répression doit être féroce. Je partage le point de vue d'Ivan Rioufol. Grâce à lui, et surtout grâce à Poutine, je vais passer un excellent week-end.
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Michel Garroté
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http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2016/04/lecon-de-poutine-aux-democrati.html
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Nombre de pays européens ne sont pas dirigés par des lâches mais par des TRAITRES. Ne nous y trompons pas, la différence et de taille.
Rien ne peut être espéré de l’avenir si nous ne nous rendons pas compte que nous sommes sur le mauvais chemin.
Etre ignorant de la vraie nature de ses ennemis est un grand défaut, puis une grande erreur.
La lâcheté des dirigeants européens actuelles doit être punie comme complicité avec nos ennemis
Exemple:les attentats de Bruxelles:
Avertissement : certaines informations sont difficiles à rapporter le 1er avril, évidemment. Sachez donc que Dreuz ne fait pas de poisson d’Avril, et continue, ce jour-là, à vous informer honnêtement des faits que les journalistes cachent ou déguisent.
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Ils ont des badges pour passer la sécurité, aller jusque dans le cockpit. Ils travaillent au service des bagages, du nettoyage, de la restauration dans les avions : environs 60 jihadistes membres de l’Etat islamique ont infiltré l’aéroport de Bruxelles.
C’est ce que révèle une lettre explosive de la police de l’air de l’aéroport de Bruxelles citée par les quotidiens britanniques Mail On Line, The Sun et Daily Express et en Belgique par La Libre et Het Belang Van Limburg hier 31 mars. Pas par l’AFP ? Ah non, l’AFP a assez à faire avec ses propres islamistes.
Dans leur lettre, les officiers de police indiquent qu’ils ont signalé la présence de sympathisants terroristes à l’aéroport.
Ils expliquent que leurs badges leur donnent accès aux avions.
La police de l’air menace de se mettre en grève en raison des « déficiences sécuritaires. »
La police de l’air de l’aéroport de Bruxelles affirme qu’au moins 50 à 60 membres et supporters de l’Etat islamique travaillent aux bagages, au nettoyage des avions et au service des repas aux passagers.
Un document qui surprend par la gravité des accusations
Le courrier émane des membres du corps d’intervention de la police aéronautique, une section de la police fédérale compétente au sein des aéroports et chargée du traitement des plaintes et des dépositions, de la constatation de délits, de l’exécution de patrouilles et de missions de protection.
Les officiers dénoncent avoir signalé quotidiennement des lacunes en matière de sécurité à leurs supérieurs et à Brussels Airport sans avoir été entendus.
Ils affirment que les quatre niveaux du bâtiment de l’aéroport sont « très accessibles à tout un chacun », et donc aussi aux terroristes.
« Plusieurs rapports d’information destinés au service de lutte contre le terrorisme ont été dressés au sujet de contrôles d’identité des passagers comme de passants douteux », ajoutent-ils.
Des éclaireurs sont envoyés pour constater le niveau de sécurité afin de planifier des attentats.
Il n’existe aucun contrôle de sécurité des voyageurs et de leurs bagages avant ceux permettant d’accéder aux portes d’embarquement. « Cette politique d’ouverture est désuète dans d’autres pays depuis longtemps et constitue l’exemple-même de la situation d’insécurité fondamentale à l’aéroport de Zaventem. »
Les policiers font allusion aux innombrables incidents impliquant des sans-abri qui empiètent de façon permanente sur le fonctionnement du service, parmi lesquels des terroristes peuvent facilement se glisser.
Ils réclament une modernisation urgente de leurs équipements, à être équipés de couvertures balistiques et de chambres de pression (afin de lutter contre les explosions) et une révision de la procédure « inquiétante » pour le traitement des bagages abandonnés.
Ils demandent la mise en place d’une équipe de réponse rapide (SRT) formée pour intervenir en cas d’actes terroristes.
La lettre évoque la proportion relativement élevée de travailleurs situés dans les zones de tri des bagages au niveau du tarmac ayant un casier judiciaire.
Ils demandent un suivi actif du personnel problématique exerçant ses activités dans des zones sensibles de l’aéroport, un screening plus sévère des badges, le licenciement immédiat des personnes déjà suivies pour terrorisme et qui travaillent dans l’aéroport.
Les officiers de police affirment avoir prévenu la direction de l’aéroport que des badges qui permettent d’accéder aux avions ont été donné à des sympathisants de l’Etat islamique, et qu’ils n’ont pas été révoqués.
Ils indiquent avoir rapporté à leurs supérieurs avoir vu des gens suspectés de terrorisme surveiller l’aéroport à plusieurs reprises.
Les frères Ibrahim et Khalid el-Bakraoui qui se sont fait exploser ont été employés à l’aéroport et avaient une parfaite connaissance du terminal
L’information a été rendue publique quand des membres de la famille de deux des terroristes de l’attentat de l’aéroport la semaine dernière ont déclaré qu’ils ont travaillé au service du nettoyage de l’aéroport.
C’est un oncle des frères Ibrahim et Khalid el-Bakraoui, deux des terroristes de l’Etat islamique qui se sont fait exploser l’un dans l’aéroport l’autre dans le métro, qui a expliqué que les deux frères ont été employés à l’aéroport, ce qui leur a permis d’acquérir une parfaite connaissance du terminal qu’ils ont fait exploser.
Il a déclaré au quotidien britannique Mail On Line : « ils travaillaient au nettoyage à l’aéroport et dans un restaurant. Ils nettoyaient l’aéroport pendant les mois d’été. »
Les policiers affectés à l’aéroport ajoutent :
« Certaines personnes suspectées d’avoir combattu en Syrie sont venus à l’aéroport en se faisant passer pour des touristes, disent les auteurs de la lettre. Nous avons signalé leur présence, mais nous ne savons pas ce qui a été fait suite à ce rapport ».
Les policiers expliquent avoir suspecté des employés de l’aéroport, particulièrement après avoir vu certains d’entre eux célébrer les attentats de Paris en novembre.
« Quand nous avons vérifié leur identité, nous avons eu plusieurs surprises. Certains étaient connus pour leur idéologie radicale et avaient un long passé avec la police, » précisent les officiers.
« Encore aujourd’hui, il y a au moins 50 supporteurs de l’Etat islamique qui travaillent à l’aéroport. Ils ont des badges de sécurité, et ils ont accès au cockpit des avions ».
« Dans le passé, un certain nombre de personnes ont eu leur badges révoqués parce qu’ils étaient liés à l’Etat islamique. Mais clairement, pas tous, et spécialement le personnel des magasins, des services de nettoyage et des bagages où nous avons vu les gens plus suspects. »
4 jours avant l’attentat, la police avait signalé les problèmes de sécurité à l’aéroport
Le syndicat belge de la police, le NSPV, a expliqué au ministère de l’intérieur, vendredi 18 mars, qu’ils se mettront en grève si la situation n’est pas améliorée.
Alain Peeters, le secrétaire général a déclaré en outre : « Les tristes évènements du 22 mars démontrent que nos craintes étaient justifiées. Nous demandons plus de sécurité et plus de personnels ».
Les policiers ont affirmé qu’ils ne retourneront pas travailler lorsque l’aéroport réouvrira à moins que le nombre de personnels est augmenté, et qu’aucun véhicule ne puisse approcher à plus de 100 mètres du point de contrôle qui est mis en place comme à l’aéroport Ben Gourion en Israël.
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Les policiers se sont plaints de ne pas avoir assez de ressources. Par exemple, ils n’ont pas assez d’uniformes pour se déplacer dans l’aéroport, sans parler qu’ils n’ont pas d’armes assez modernes.
Les policiers concluent leur lettre ouverte en affirmant que la menace terroriste n’est pas assez prise au sérieux.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Si l’on suit la logique développée dans cet article, soit : “Seule la force fera reculer l’idéologie islamiste, qui ne respecte que ce langage. Contre elle, la répression doit être féroce.”, alors pour éradiquer cette idéologie sur le sol européen, que faut-il faire ?
Les bases du djihadisme proviennent du corpus musulman. Par conséquent, l’interdiction de l’islam doit être totale dans les démocraties occidentales. Les zones gouvernées entièrement ou partiellement par la charia dans villes du vieux continent doivent être dés-islamisées par la force, sans quoi le djihadisme va continuer à exister et se développer. Les musulmans qui refusent de respecter le droit occidental et/ou qui ne veulent s’intégrer doivent être expulsés de force dans un pays musulman, peu importe la nationalité de ces individus !
Je partage moi aussi le point de vue d’Ivan Rioufol. L’ennemi nous méprise parce que nos bobos lui opposent des jérémiades, peluches, bougies, petits cœurs, fanfaronnades, l’auto-détestation à la sauce Témieukmoi, un hédonisme débile de surcroît. L’ennemi ne voit guère que quelques lavettes déjà tombées en dhimmitude. Vladimir Vladimirovitch Poutine sait quel discours il faut tenir à cet ennemi : des obus, des bombes, des fusées. La mort pour les amoureux de la mort, quoi de plus logique ?
Est-il si impossible de bloquer certains Molenbeek avec des chevaux de frise et de les nettoyer systématiquement ? Pour le coup, on pourrait laisser les orfraies européâstres et les gauchistes pousser leurs goualantes droits-de-l’hommistes : “quand les blés sont sous la grêle, fou qui fait le délicat”, disait le poète.